Inquiet

Dans mon éternelle réflexion, je me dis qu'est-ce que ce sera d'avoir du pot en liberté un peu partout? Ceux qui ont un dossier criminel à cause de ça, que feront-ils? Où est la logique dans tout ça? Les gens qui fument la cigarette actuellement ne peuvent le faire qu'à une certaine distance des portes d'entrée publiques. Qui veut vivre dans un endroit où ça sent le «doux»? Moi je ne sais pas pour vous, mais je n'y vois rien de pertinent. Et, en tant qu'ancien professeur de théâtre, faut-il vraiment enseigner ce genre de chose? Nous avons eu une PM au Canada, et nous l'avons détrônée parce qu'elle avait avoué avoir inhaler quelque chose... Qu'arrive-t-il? Si c'est légal pour les citoyens, c'est légal aussi pour le PM. Un PM gelé à nos frais? Je suis vraiment enthousiaste! J'aimerais que ce soit différent. Je ne paie pas autant d'impôts pour me faire imposer ce genre de choses. Quel merdier! Une fois en place, comment se déprendre de ça? Je suis perplexe et aussi vraiment inquiet! Où s'en va-t-on? Je pense qu'il est temps de changer de sujet, c'est vraiment déprimant! Donc je reviendrai avec les idées un peu plus positives la prochaine fois!

C'est ça, vivre!

Hier nous avons eu une rencontre avec la travailleuse sociale de notre plus jeune, à propos de son anxiété. Difficile en tant que parents de réaliser que votre enfant peut avoir autant de craintes. Difficile de prendre conscience que votre enfant vit ce genre de choses, comme de l'insécurité à travers les autres. Dans la zone des casiers, dans l'autobus. Donc nous aurions dû, nous aussi, demander de l'aide face à l'adversité? Face à nos peurs? Face à l'intimidation? Je ne sais pas quoi penser. Des fois je me dis que c'est ce genre de choses qui m'a forgé; c'est à force de faire face à la vie, quelle qu'elle soit, que nous devenons quelqu'un. D'autres fois je me dis que si j'avais eu de l'aide, ma vie aurait été différente. J'ai été élevé à me débrouiller, à trouver des solutions par moi-même. Les ressources que nous avions étaient très limitées, et, demander l'aide d'un intervenant, comme un adulte à l'école, amenait souvent souvent des complications dans d'autre sphères de notre quotidien. Pas d'Internet, quinze kilomètres d'autobus à faire pour se rendre à l'école, quinze aussi pour revenir à la maison! Une transition vraiment longue et horrible à vivre. Mais nous ne sommes pas morts! AU contraire, bien vivants! Tout ça pour dire que c'est beaucoup de temps à consacrer pour le bien de ses enfants. C'est beaucoup de réflexion, d'inquiétude. Et, avec deux enfants au cheminement particulier, des fois la fatigue lance un appel. Il ne faut pas se décourager, penser à des choses joyeuses. La vie est un cadeau, un privilège; alors il faut saisir l'occasion d'être heureux, de grandir en paix avec soi-même. À force de chasser nos inquiétudes, de s'éloigner des énergies négatives, ressortira le bonheur qui est là, juste au dedans de nous! À bientôt!

Froid ce matin.

Moins quinze ce matin, en mode lumière rouge allumée pour économiser du courant. Quelle arnaque notre fournisseur d'électricité! Un seul fournisseur, qui est régit par le gouvernement! EN plus d'un monopole, un ministère! Ils font des publicités pour nous inciter à moins chauffer nos maisons quand il fait plus froid! Pourquoi? SI leur réseau n'est pas assez fort, au prix que ça nous coûte, il faut se poser des questions! Quand on appelle pour avoir des renseignements, ou pour du service, soyez prêts mentalement à entrer dans une autre dimension! Dépendamment du département, vous serez surpris positivement ou négativement. Une chose est sûre, toutes les fois que j'ai appelé là, j'ai eu l'impression de parler à des gens blasés ou encore inintéressés par leur travail. Et n'essayer pas de les bousculer, vous serez perdants! Rien ne les dérange! C'est comme une maison éternelle, habitée par des fantômes. Tout est immuable! Pourtant, certains ont le culot de dire que ça nous appartient! Foutaises! Si nous étions actionnaires de ce monopole, tout serait différent! Mais tout est possible! Par contre, privatiser certaines institutions gouvernementales dans le but de redonner aux citoyens le contrôle sur leur argent, ça serait cool. Mais les gens auraient peur que les «nouveaux propriétaires» leur soutirent encore plus d'argent que le gouvernement. Tellement endoctrinés, «trempés» dans la machine, on dirait que d'en sortir est épeurant. Au oint tel que la semaine dernière, certains ont dit qu'ils refusaient l'argent proposé par le gouvernement! En tous cas, moi je vais la prendre. De toute façon, les plus jeunes vivent au jour le jour, avec des paiements par mois. Donc de l'argent tout de suite, ça vaut le coup. Ce qui arrivera ensuite, on verra. Y a rien comme l'essayer pour le savoir!

On repart après encore une autre fin de semaine trop courte.

Encore une fin de semaine tellement bien remplie! Faire autant de choses, c'est merveilleux. Mais les faire avec sa conjointe, c'est encore mieux! Chaque jour, je me dis que je dois en profiter au maximum, et j'essaie d'en parler aux autres le plus possible! Pas si facile. Se perdre dans ses pensées, se perdre dans ses finances, ce sont des situations dans lesquelles on peut y laisser bien du temps. Alors il faut se botter le derrière continuellement. Des fois je me dis que je devrais prendre ça un peu plus relax, mais pas longtemps après ces merveilleuses pensées, je deviens souvent mal à l'aise de ralentir et je repars de plus belle. N'empêche que le réaménagement de la salle de lavage est absolument fantastique! Simple, joli et fonctionnel! Pour ce qui est du plan des autos à préparer pour l'hiver, ça va bien. J'ai passé à travers la Toyota hier. Elle est prête pour aller se faire «beurrer» dans nos chemins! Heureusement que ça s'est bien passé en fin de semaine, parce que vendredi en PM, ce fut une autre histoire... Prisonnier litérallement de la route, dix centimètres en quatre heures et le Black Friday, ça n'a pas fait bon ménage! J'avais l'impression d'avoir adhérer à un club de morons! Des gens impatients, des gens en pneus d'été, des gens qui avaient oublié comment conduire lorsque les chemins deviennent glacés, bref, c'était vraiment bordélique! J'y ai perdu un après-midi. Heureusement que ma douce revenait dans la soirée. Malgré une fatigue normale suite à une semaine de travail, ce fut un vendredi soir très agréable. Merci la vie! Merci pour cette belle fin de semaine et à bientôt pour de nouvelles aventures!

Vendredi, yes!!!

Y a-t-il des semaines, mis à part quand je prends des vacances, pendant lesquelles je ne me défonce pas? Encore une autre semaine qui aura été très bien remplie. Départ un peu mal planifié, mais on s'en sort habillement. Un gros vendredi en perspective, mais pas trop de report à la semaine prochaine, et l'aventure avec la carte de crédit me dérange pas mal moins ce matin que mercredi. Bin oui. Lunatique que je suis, n'ayant pas reçu le relevé du mois d'octobre, je n'ai pas payé le solde de ma carte de fournisseurs. Du coup, ceux qui gèrent cette carte ont gelé la carte. Je sais que c'est ma faute, mais quand tu t'en vas mettre de l'essence et que la transaction est refusée, tu te demandes ce qui arrive. Ensuite, mes logiciels qui se mettent à me poser des questions: il y a un problème avec votre paiement. Il vous reste 28 jours pour régler ça. Ayoye! Je décidais alors d'appeler pour voir. Après une heure de bavardage, j'ai compris que je dois être plus alerte. N'empêche, je me suis inscrit aux alertes «textos» et courriels. Sait-on jamais, je suis capable de récidiver. J'ai payer mon solde, mais la carte prendra 2 à 3 jours ouvrables avant de redevenir fonctionnelle. On verra bien. Une chose est sûre, moi je suis content que le gouvernement nous rembourse un peu. Après tout ce qu'il nous enlève chaque année, ça va faire du bien. Ceux qui croient à une séduction électorale, pensez au moment présent et mettez de côté votre orgueil. Qui peut se permettent de cracher sur de l'argent? Les gens qui courent à longueur de semaine avec les enfants ont besoin de cet argent. Sur quelle planète sommes-nous? À croire que la convergence des médias vous aurait bourrer le crâne assez pour que vous demandiez plus de taxes et que vous refusiez de l'argent? Avec la »crosse» d'Hydro-Québec, ce n'est qu'un pansement en attendant. Ceux qui veulent plus de taxes sont ceux qui disent ne pas aller au Walmart. Et ceux qui critiquent les sous des libéraux n'ont jamais eu faim dans leur vie. Assez de ces conneries! Prenez le temps de respirer, ensuite, prenez conscience que nous sommes vendredi et allez magasiner comme tout le monde en ce Black Friday. À plus!

Une belle soirée

Ce matin, je me sens un peu coma. La journée d'hier fut très diversifiée. Des hauts et des bas. Je me rends compte par mes agissements que je suis pas mal déphasé. Alors je vais me reprendre. Mon souper avec Stéphane, par contre, fut très agréable! Nous avons tellement jasé! Nous avions du temps à reprendre. Ensuite nous sommes allés voir BladeRunner 2049. Bien sûr, il faut aimer ce genre de production. Dans un futur absolument déphasé, il est important de bien vouloir entrer dans cet univers, créé de toute pièce, mettant en vedette Ryan Goshling et en finale, Harrison Ford. Des images à couper le souffle, une image sonore hallucinante, il faut voir ce film en salle. D'entrée de jeux, tout est là, l'ambiance, l'éclairage, ce côté à la fois macabre et futuriste. À l'époque, Ridley Scott avait dépeint notre avenir comme une terre très polluée, mais habitable. Cette fois-ci, Denis Villeneuve a signé notre avenir aussi sombre, sale, habitable et surpeuplé. Difficile de démèler les humains des replicants. Extraordinaire vision, qui m'a enlevé de mon quotidien. J'ai réussi à oublier ma journée, mes soucis, tout! Et j'en remercie Stéphane et la vie pour ça. Aujourd'hui je n'ai pas un instant à perdre, beaucoup de pain sur la planche. Et ma Bibi qui revient demain! J'ai bien hâte! Pour ceux qui pensaient aller voir ce film, dépêchez-vous, sa présence en salle achève! Bonne journée!

Vous avez dit légalisation?

Ça se poursuit, ces soubresauts de dame nature. Un degré ce matin, il pleut! il faut être fait fort pour survivre à ce délire. De plus, avec l'arrivée du pot, ça va prendre des nerfs d'acier. Admettons qu'on est ouvert d'esprit, que c'est la grande ouverture, ça reste difficile à comprendre. Pourquoi inciter les gens à ne plus fumer depuis des années, mais en 2017, rendre la marijuana légale. Avec une tonne de règlements, des emplois créés, un vrai ministère! Je n'arrive pas à y voir clair! Est-ce pour le trou d'eau une façon de faire de l'argent? Est-ce une façon de calmer certains qui lui font trop de trouble? J'ai beau chercher, je ne trouve pas en quoi cela peut améliorer quelque chose. Économiquement, suivant le modèle actuel d'économie, ce sera géré par le gouvernement, alors ce sera un trou, une perte, un nouveau déficit. Politiquement, il y aura plus de gens qui dorment sur la «Switch». Mais socialement, qu'arrivera-t-il? Mes enfants ne reviennent tout simplement pas. Moi non plus d'ailleurs! Je suis même scandalisé à l'idée de voir certains de nos dirigeants, être «gelés» avec notre argent! Bin oui! De savoir que des gens dont le salaire provient de vos impôts fument du pot, ça vous dit? Oh ils doivent déjà le faire, mais là, ce sera légal! Une fois bin allumé, qui sera là pour leur interdire dans les lieux publiques? Qui s'occupera de faire respecter la loi? Je suis complètement dépassé par ce dossier. N'y trouvant aucune solution, ni aucune utilité, mis à part la création d'une autre tare sociale, je dois me taire jusqu'à nouvel ordre. À plus!

Tout un sage ce matin!

Quand je me suis couché hier soir, il faisait moins treize. Ce matin moins douze. Mais il annonce trois degrés pour aujourd'hui, un degré pour cette nuit. Allez donc comprendre quelque chose. Difficile de trouver un équilibre dans tout ça. Et puis, c'est dur sur le corps. Peau sèche, exzema, humeur de truck... Ouin. Il faut avoir des pensées heureuses, comme que Joanne sera de retour ce vendredi. Que ma journée sera plus productive que celle d'hier! Moins d'erreurs serait bienvenu, et une meilleure planification. Pourtant, je n'étais pas si loin d'une journée à mon goût. Mais le désordre, le rangement complètement déficient me dérange. De savoir que ça pourrait être mieux m'asticote et me déconcentre. Par contre, j'ai commencé à travailler sur le Jack Fest 2018. Jusqu'à maintenant, tout va bien. Il faudra mettre les bouchées doubles pour y arriver, mais je suis très optimiste. Et puis, il y a le temps qui file entre nos doigts. Il ne fait que passer. Chaque minute est importante, elle se doit de rapporter quelque chose. Du repos, de la production, du bon temps, mais rien ne doit se perdre. Plus jeune, je me disais que dormir ne me donnait pas grand chose. Aujourd'hui, une trentaine d'années plus tard, après trois enfants, et des tas de responsabilités, je dois admettre que le repos, ainsi que le sommeil sont bienvenus. La vie va trop vite, l'humain veut aller encore plus vite. Certaines choses pourront être plus vite, d'autres ne le pourront jamais. À nous de faire de bons choix. Car certains choix, comme nous le savons tous, peuvent changer notre vie pour toujours. Et tout n'est pas sous contrôle, il y a les autres, il y a les impondérables, il y a les imprévus! Façonner sa vie, c'est vivre intensément, en regardant droit devant. Comme il est impossible de changer notre passé, inutile de s'attacher à ce dernier. Il ne servira que de référence pour ce qui s'en vient. Et pour le futur, c'est bien d'avoir un agenda, mais il y a des possibilités que tout soit à recommencer, à planifier de nouveau. C'est comme ça, on n'y peut rien, comme la météo!

On reprend ça.

Un autre matin où on se demande quelle saison sommes-nous vraiment? Avec un début d'automne très doux, plus confortable que l'été, on pourra dire que le mois d'octobre fut merveilleux. Par contre, le mois de novembre fut presqu'une tragédie avec toute cette pluie et ce froid... Isshh!! Il faut se consoler en pensant que ce ne sera que temporaire, comme toute les saisons. N'empêche, quel froid encore ce matin, après une journée plutôt moche, avec un mélange de pluie, de verglas et de neige. Beurk! ALors il faut se crinquer, se dire que cette semaine sera la meilleure! J'ai fait le plein de bonne humeur en rencontrant mes objectifs de la fin de semaine. Et j'entends continuer ainsi jusqu'aux fêtes, car c'est ce blitz là qui s'en vient! Déjà tanné d'entendre certains parler d'un Noël blanc. Nom de Dieu, est-ce si important? Rien à foutre de devoir gratter à longueur de semaine, sous prétexte que nous avons un Noël blanc! Le mince tapis blanc qui recouvre actuellement notre parterre suffirait amplement. C'est vrai que plus je vieillis, plus les enfants vieillissent, l'émerveillement devant la neige disparaît de plus en plus. Oh je ne dis pas que je vais bougonner tout l'hiver, loin de là, je vais tout de même trouver des moyens de m'amuser. Et j'y compte bien. C'est juste que le choc fut brutal. Nous avons perdu dix degrés de moyenne quotidienne en un journée et, boum! Terminé! On ne le reverra sûrement qu'au printemps! Difficile à accepter. Heureusement que la fin de l'été fut cool, ainsi que le début de l'automne, car j'ai attendu l'été tout l'été. Sur ce, bonne semaine!

À Go, on trippe !!

Après un samedi complètement génial, je m'apprète à en faire autant avec ce dimanche. Hier j'ai vécu des tas de choses et je me sens heureux, malgré l'absence de ma Bibi. Trouver un vélo pour ma douce sans faire exprès, fut une expérience absolument merveilleuse. Événement vécu en bonne compagnie, dans le cadre d'une vente «privée» annuelle chez Louis Garneau. Que dire de plus? Nous étions trois membres de Team Alex Leclerc, prêts à se crinquer pour de nouvelles balades en vélo. Mais je crois que le vélo dehors est terminé pour 2017. Les prévisions météos sont très froides, et je crois que ça ira au printemps 2018. J'aurai eu une belle année, pas trop chaude, quoi qu'en pense les autres. Ensuite je me suis trouvé des roues mags pour mon nouveau Nissan. Mais quatre roues mags pour 70$, ça n'arrive pas tous les jours. Alors je suis allé les chercher. J'ai déjà deux bonnes raisons d'avoir hâte au printemps! Et dire que l'hiver n'est pas encore commencé... Et j'ai commencé mon blitz esthétique sur nos véhicules. Blitz qui devient une sorte de tradition annuelle du fait que Joanne va passer une semaine en Floride à chaque mois de novembre. J'ai commencé par le RVR. Lavage et décontamination, pose de pare-pierres, cirage et traitement de cuir; installation des tapis d'hiver et aussi de essuie-glaces d'hiver. Je me suis occupé des filtres à air et habitacle. Ensuite ce sera le tour de ma vieille Toyota Echo, qui repousse les lois de l'automobile en nous donnant une seizième année de fiabilité et de bons services rendus! Quand j'ai loué ce véhicule, en 2002, je n'avais pas tellement d'attentes, mais je voulais une voiture fiable et économique. C'est ce que nous avons eu depuis. Un entretien régulier, un antirouille tout aussi régulier (chaque année), c'est tout! Et dire que des gens me disaient : pourquoi tu as choisi ce char là? Yé laid!! J'en n'entends plus de ce genre de commentaires depuis au moins dix ans. Je dois décontaminer la carrosserie, enlever le promoteur d'adhésion qui reste suite au dernier«wrap», et l'envelopper en blanc perle. Bien hâte de voir le résultat final!  Et pour terminer, au tour du petit véhicule de ma belle-mère, j'ai nommé son Kia Rio. Loin d'être un véhicule emballant, il a au moins le mérite d'être fiable. Lavage, décontamination, cire, vérification des protections de bas de portes et aussi d'assise du pare-chocs arrière. SI j'ai le temps, je me tape aussi l'intérieur. Si la tendance se maintient, je devrais avoir fini tout d'ici dimanche prochain. Car j'ai aussi une semaine de travail qui commence demain!

Ce sera un beau dimanche, il pleut dehors, mais il fait tellement sombre et humide, j'ai de la difficulté à croire que le soleil est levé! Alors j'en profite pour faire des trucs intérieurs. Je suis vraiment comblé d'avoir un garage aussi polyvalent! Bon dimanche!

Moi aussi!

Ayoye! Ce matin il fait moins onze degrés! Hier matin, il faisait deux degrés! C'est dur sur le corps ce genre de conneries de dame nature! Ensuite, suivant la météo, il va pleuvoir demain! Issh! Vive le Québec dans son entièreté! N'empêche, une chance qu'il y a ces phénomènes pour nous distraire, sinon on ne ferait que penser à toutes les façons dont nos dirigeants réussissent à nous taxer. Loin d'être sorti du trouble, le parti des taxes se continuent. Chaque projet de loi s'accompagne d'une nouvelle taxe. Où je ne suis plus, c'est quand il faut payer. À quoi bon faire des projets pour relancer l'économie, si on se fait gruger par des taxes! J'ai déjà démontrer, par le biais d'un calcul très simple, que le gouvernement ramassait tellement d'argent avec les taxes, qu'il était difficile de comprendre pourquoi nos services sont si pourris, que nos routes soient si peu entretenues, et, qu'il y ait autant de gestion de l'offre! Petit calcul simple, démontrant que plus de 100% de la valeur marchande de certaines choses qui sont vendues, revient dans les poches du gouvernement par le biais des taxes! Il faut partir du début de la chaîne: après la production, un détaillant achète ses produits pour les distribuer (les vendre); il paie de la taxe sur ses achats. Lorsqu'il les revend, ses clients lui paient aussi les taxes. Et ces clients, qu'ils soient propriétaires de magasin au détail, ou bien transformateur de ces produits, vont les revendre aux clients finaux en chargeant des taxes. TOut ce temps là, le gouvernement encaisse, comme par magie, des sommes considérables! Et souvent, le montant acquis par ces fameuses taxes dépasse la valeur initiale du produit! Donc le gouvernement encaisse sans arrêt, 24 heures sur 24, une véritable fortune, sans même lever le petit doigt! Arrêtez-vous pour y penser! Un café, chaque matin, en allant travailler. Combien rapporte-t-il en taxes, par rapport à sa valeur initiale? Voilà! Faites l'exercice avec d'autre chose, juste pour vérifier! On s'en reparle!

Les vendredis!

Finalement, la neige s'est changée en pluie. Il reste tout de même un petit fond blanc. Tout est mouillé et un peu dégueux. Mais en ce vendredi, aussi bien rester de bonne humeur et profiter d'une autre journée pour être heureux. C'est aujourd'hui que ma douce épouse part pour la Floride avec ses trois sœurs et sa mère. Je ne dis pas que je suis heureux de ça, mais je suis content pour elle. Et c'est un moment privilégié à passer avec sa mère. C'est beau de voir à quel point elles réussissent à avoir une certaine complicité. Je dirais même que c'est admirable. Passer une semaine avec mon père, je ne sais pas, je crois que ça pourrait être intéressant. Ça pourrait amener des moments cocasses. Une semaine avec ma sœur? Pour l'instant, je ne l'ai pas appelé au bon moment pour sa fête, alors j'ai été mis au courant que ça ne l'a pas rendue heureuse. Une semaine avec mon frère? Je crois que ça pourrait être un peu long. Bref, ça revient toujours au même, il faut faire sa chance, il faut saisir les occasions d'être heureux quand elles passent. Malgré le temps qui parfois nous irrite avec ses contraste de température.Malgré les élucubrations du Maîîttrre qui nous coûte vraiment trop cher! Malgré les histoires abracadabrantes que les médias nous livrent depuis quelques semaines. Car la vie continue. Le temps n'arrête pas. Chaque minute qui passe se doit d'être une quête vers le bonheur. Alors je continue d'affirmer que les vendredis, ou le dernier jour de travail de votre semaine se doit d'être une façon d'accéder au bonheur!

L'hiver arrive.

Je suis allé coller des lettres dehors cette semaine et je trouvais que la saison tirait à sa fin pour ça. Même chose pour le vélo, alors que je viens de compléter une semaine entière à l'intérieur. Chaque chose à une fin. Il faut apprécier les moments qu'on vit et qui nous font du bien, car ils ne reviendront pas. Comme l'hiver arrive, c'est normal que ceux qui ne pratiquent pas de sports de glisse ou autres trucs hivernaux, soient un peu au neutre. Il n'y a rien de plaisant à rouler en voiture dans le trafic quand ça glisse, quand il y a du verglas, ou que le vent nous souffle un gros tas de neige. Et puis, les préparatifs pour accueillir cette saison sont plutôt longs et plates. Donc, comme je le disais, il faut saisir les bons moments et les savourer. D'où l'importance d'aimer sont travail, car une fois celui-ci terminé, il ne reste pas tellement de temps pour des loisirs. Je ne sais pas pour vous, mais je travaille beaucoup et j'adore ça. Par contre un petit break de temps en temps est toujours le bienvenu. Le fait que je veuille accomplir un certain nombre de choses me donne cette poussée pour avancer, continuer. Des fois, il y a des projets qui ne me stimulent pas. On dirait que le défi ne me dit rien, ou encore, que le client «ne m'allume pas». Je ne sais pas trop comment l'expliquer. Mais ce genre de dossiers finit par m'exaspérer et je dois faire une corvée pour les accomplir, un à un. Je cherche à faire mieux. Le suivi de mes dossiers aussi, finit par prendre du retard. Je dois parfois y mettre plus d'énergie pour arriver à prendre le dessus. Tout un défi d'être entrepreneur, mais aussi employé. Mais je dois rester concentré sur l'essentiel, être heureux!

Inquiétude

C'est tellement tranquille au niveau de la politique municipale, ça sent la surprise (mauvaise), et je n'aime pas ça. Surtout qu'ils ont (les médias) commencé à préparer le terrain avec des articles «autour» du sujet, comme dire que la ville de QUébec est la seule à ne pas avoir de projet de transport en commun. Faudrait commencer par s'occuper de celui déjà en place, qui nous coûte des millions et qui, pour le prix, est peu efficace. Chaque fois qu'il y a un grain de sable sur Henri IV ou encore sur de la Capitale, la ville est paralysée! Imaginez, ça dure depuis plusieurs années. Et je ne comprends pas comment ça pourra s'arranger avec tout ce qui se construit en périphérie. Derrière chez moi, la population augmente sans arrêt avec l'ajout de tous ces condos, ces jumelés et ses appartements. Il n'y a pas plus d'artères principaux pour les faire rejoindre la ville ou se rendre aux ponts. Alors l'attente le matin ne fait que grandir, l'insatisfaction aussi. Même chose pour revenir le soir. Et ce, sans accident ou anicroche, sinon la situation s'aggrave! Comment faire pour s'en sortir? Il faut agrandir les autoroutes, à quatre voies de chaque côté, le plus tôt possible. Ensuite, il faut une façon supplémentaire pour se rendre sur la Rive-Sud. Quand même que vous structurerez un moyen robuste en ville, rien dans nos problèmes ne se règlera! Et à quoi bon faire de nouveaux parcs? Pour aller relaxer pendant que le trafic passe? On est où là? Encore au moins quatre ans à se gruger les sens, à se demander comment faire, comment y arriver... Ouin...!

Assez!

Un autre matin endiablé, rempli de préparations, de choses à planifier. Dans ma tête, des tas de choses qui bouillonnent. La vague de dénonciations qui fait rage, des gens jugés par le tribunal populaire, rehaussée par les réseaux sociaux. Incroyable vous me direz? Pas si sûr. Des gens qui, depuis des années, se servent de leurs «pouvoirs», de leur saveur populaire, pour abuser des gens, pour les faire se sentir inférieur. Eh bien, le ménage se fait. Et tout ce qu'on entend, tout ce qu'on lit, ce n'est que ce qui circule, ce que les gens ont le courage de dire. Bien malheureux ceux qui ne dénoncent pas. Je crois que c'est la même forme d'intimidation que nous subissions à l'école, mais de façon «adulte». Il y en a partout de l'intimidation. Avant, on s'arrangeait chacun de notre côté avec le moyen du bord, ou on se taisait. C'était ça. J'ai échangé quelques coups de poings, plusieurs tiraillements et combien d'engueulades pour me sortir de ces contextes traumatisants! Mais je crois que ce phénomène de société doit se régler à mesure. Les campagnes de sensibilisation ne font que mettre une sorte de pansement sur la plaie. Ou encore, elles cachent les vraies choses. Je ne dis de s'en foutre, bien au contraire, mais je crois que c'est important que l'homme se défende par lui-même. Car en «aidant» ceux qui subissent ces choses doivent s'en sortir par eux-mêmes. Sinon ils n'acquièrent pas la force nécessaire pour continuer. Car des tyrans, il y en a partout. Quand vous acceptez l'aide, vous acceptez aussi une autre autorité que la vôtre. Suis-je clair? Je suis pour l'aide reçue, mais à un moment donné, il faut battre de ses propres ailes. On s'en reparle.

Une autre semaine qui s'amorce.

Après une fin de semaine encore une fois trop remplie à mon goût, nous revoilà lundi matin. Pas mal d'administration à faire, puisque la course de la semaine dernière m'a fait pelleter par avant. Mais je retiens bien des choses de positif de cette dénièrent semaine. Premièrement, la formation que j'ai suivie m'a donné des ailes par rapport au pare-pierres. Aussi, après deux semaines avec mon nouveau véhicule, je dois dire que je l'apprécie vraiment. Déjà deux semaines? Eh oui! Pas encore terminé de m'installer dedans, mais ça s'en vient. Et je ne parle pas du lettrage, qui lui, n'est pas encore commencé... Bref, ce sera, j'espère, un lundi de repos. Bien des choses à régler comme le terminal de paiement qui continue de vouloir faire des mises à jour sans toutefois réussir. Il s'imprime chaque jour un petit bout de papier... Connerie... Pour le reste, je dois réussir à fermer une semaine sans en garocher trop dans la suivante. Les journées passent à une vitesse incroyable et je dois avouer que c'est merveilleux d'aimer autant sa job. Où ça commence à me chicoter, c'est que toutes ces semaines qui défilent sans arrêt, ça me vieillit tranquillement. Et puis, nous allons sûrement entendre parler des «nouveaux» projets du Maîîttrre bientôt. Ouf! Aussi bien continuer à travailler! Nous sommes allés au Bora Parc hier, pour l'anniversaire de notre filleuil, amusant, pas tellement de monde, vraiment un bel endroit. En formule fin de semaine hôtel, ça doit être quand même amusant. Mais quatre heures, c'est amplement suffisant! Dommage que Monsieur Drouin ne soit plus là pour constater son chef-d'oeuvre! Sur ce, on se reparle demain!

Encore une autre journée à courir.

Eh bien! Quand je me suis couché hier, il faisait un degré, je me suis vers 23:00, il faisait 3 degrés. Vers 2:30, il faisait zéro et à mon lever, vers 4:45, nous étions rendus à moins cinq! Vive ce coin de pays instable où nos dirigeants se foutent complètement de ce qui nous arrive! Ils disent vouloir changer quelque chose...Moi j'ai l'impression qu'à part leur nombril, pas grand chose qui les intéresse. Le copinage, la corruption, les dépenses inadmissibles, etc. En ces temps difficiles, avec une température tout aussi difficile, il serait bienvenu de faire pousser des sourires parmi ses citoyens! Rien ne va plus, mais peu importe, il faut rester fort. C'est ce que j'ai appris. Rien ne sert de paniquer, il faut accorder de l'importance à ce qui nous fait du bien, à ce qui nous fait avancer. Donc je vais continuer d'écrire encore longtemps sur toutes ces choses qui me font bouillir, qui me scandalisent. Et puis, ce fut une semaine tellement remplie, à croire que vendredi, aujourd'hui, le sera tout autant. Non seulement je n'ai pas le temps d'avancer des trucs au bureau, mais je suis encore absent du bureau. Rien n'avance, je pellete toujours dans la semaine suivante. Une certaine accumulation s'ochestre, je dois rester calme. Me concentrer sur ce qui est prévu et continuer d'avancer. Bonne journée, le devoir m'appelle!

La course!

Que de journées bien remplies, ça me donne l'impression d'être en pleine compétition pour ma vie. Pourtant, je suis bien intentionné. Mais ces deux jours de formation me donnent du fil à retordre. J'ai tellement de choses à faire, et aussi celles qui s'ajoutent. Sans parler de ce qui n'est pas fait en préparation pour l'hiver. Wow! Je me sens un peu prisonnier. Mais chaque fois que je prends du temps pour moi, c'est ce qui arrive. Peu importe le timing, on dirait que ce n'est jamais le bon. Alors je dois composer avec ça. Essayer de respirer le plus possible, trouver des solutions innovantes et voir le beau dans tout ça. Depuis plusieurs matins, je manque aussi de temps pour écrire, étant requis pour diverses choses, et aussi, le fait que Vicky se léve à 5:30. Bref, il faudrait que je change un peu mes habitudes. Vraiment difficile à faire dans un laps de temps aussi serré. Des fois je voudrais me reposer, en faire un peu moins. Mais bon, je me dis que ce «plus tard» là, c'est pour encore plus tard.

Deux jours de formation.

Hier j'ai fait le maximum pour ne pas souffrir des deux jours de formation que je prends aujourd'hui et demain. C'est comme si je prenais deux jours de congé. Personne ne travaille, mon bureau est fermé! Mais j'adore les journées de formation! Ça fait différent, mais aussi, c'est plus relaxe qu'une journée de travail. Il faut savoir apprécier la formation. Pour ma part, je suis enchanté. SUrtout que c'est moi qui me suis inscrit, alors ça doit m'intéresser quelque part. J'ai hâte de voir. Normalement, les formations que donnent les gens de 3M sont toujours enrichissantes. Et puis, à force de repousser l'ouvrage dans la semaine qui suit, ça finit par s'accumuler. Je suis seul à prendre des décisions, imaginez dans l'administration d'une ville! Avant qu'une décision soit rendue et finale, il faut être patient! Les médias sont tranquilles depuis dimanche, comme si tous, s'attendaient au pire avec la première déclaration du Maîîttrre. En tous cas, moi je crains plus le temps froid annoncé pour vendredi que le premier discours de la bombe. Encouragé par l'économie de mon nouveau camion, je me concentre sur ce qui m'apparaît positif. Y a rien de mieux que de se baser sur les meilleurs pour réussir. Se fixer des objectifs réalisables, histoire de ne pas se décourager. Il est beaucoup facile de se décourager, comme de perdre la confiance de quelqu'un! Mais c'est en persévérant qu'on peut arriver à ses fins! On s'en reparle.

Petite montée de lait!

Ouf! Différèrent d'hier matin! Alors que la pluie fouettait les vitres, que le mercure touchait les 12 degrés, il m'apparaissait impossible d'aller faire une balade en vélo. Et ce matin, devant un zéro degré, je me suis lancé! Ça s'est bien passé. C'était presque confortable. Et ça aide à faire sortir du méchant! Pas encore remis des élections, ni du prix de l'essence! Pour l'essence, ça fait au moins trois ans que les autres, en dehors du Québec profitent de prix réalistes, alors que nous, on se fait fourrer! Maintenant que le baril remonte un peu, nous sommes les premiers à sentir les vagues par en haut! Désolant. Ensuite, en constatant que le Maîîttrre a été reporté à l'avant-plan, force est d'admettre que personne n'est vraiment au courant de ce qui se passe! Alors les gens chiaulent, mais ne font rien. Donc ça reflète notre société, ce beau modèle que personne ne doit prendre en exemple! De toute façon, à moins de faire un petit 5 à 7 chez vous, difficile de bouger; Pour le reste, si vous voulez vous partir en affaires ou encore montrer au monde entier que vous êtes heureux, oubliez ça! Ça prend un permis! Ça prend un permis pour tout. Et il faut rendre des comptes de tout ce qu'on fait. Par contre, si vous voulez utiliser les services que notre système offre, il faut être patient. Comme quand l'état vous doit de l'argent! Impossible de leur charger des intérêts! Par contre, si c'est vous qui retarder pour payer, ils ne se gèreront pas! Avec le retour du Maîîttrre, il en sera sûrement ainsi. Les taxes continueront de leur ascension, les services poursuivront leur descente, et vous serez témoins de toutes sortes d'idées saugrenues, de projets coûteux, mais surtout, de dépenses faramineuses! Alors tenez-vous le pour dire...!

Lundi matin gris...

Que dire de plus en ce lundi matin pluvieux et doux. Le Maîîttrre est encore au sommet ce matin, je ne sais pas pourquoi. De ce que j'ai entendu, personne ne votait pour lui, tous étaient vraiment tannés de sa dictature douce et arrogante. Mais ce matin, le constat est très clair, il est de retour pour encore quatre ans. Je nous souhaite un hiver doux! Et j'espère que la collecte de déchets aura lieu ce matin comme prévu, car la semaine dernière, nous avons été oublié! Pour moi, ça suffisait pour savoir où mes pensées se dirigeaient au municipal. Mais il faut croire que parfois, les choses impossibles sont celles qui relèvent des miracles et nous apprendront d'autres facettes de nous-mêmes! Réussir à voir le beau? Eh bien nous sommes allés voir un film hier soir, en famille. «Thor, Ragnarok» Un chef d'œuvre  incroyable, truffé d'action, de bonnes blagues, quel divertissement!!! Chapeau à Marvel, qui réussit à me distraire et m'amuser depuis plus de 35 ans! Je crois que c'est vraiment une chose importante face à l'adversité de la vie. Mais je ne me laisserai pas intimider par cette nouvelle qui pourrait me rendre hargneux pour au moins deux semaines! Je vais laisser le temps faire baisser le prix du litre d'essence, laisser le temps instruire ceux qui viennent de se réveiller ou qui vont se réveiller bientôt. La parade de la rock star municipale se poursuit donc, laissant libre cour à ses combines les plus extravagantes et dispendieuses. Que ferons-nous? Nous continuerons d'apprécier les vendredis soirs et aussi les choses que nous avons bâties! Pour le reste, c'est à suivre! Bonne semaine!

Enfin vendredi!

Enfin vendredi! Il reste tellement à faire encore dehors. Demain serait la journée pour continuer tout ça. Hier fut une journée de pluie constante, où sortir était toujours l'os de la journée. Et il semble que les gens de la météo se sont légèrement trompés sur le mercure; il n'y a que le litre d'essence qui a monté! Bref ce matin, il fait 14 degrés, mais il pleut encore. Je crois que nous partirons le chauffage central demain. Les journées de 10 degrés et plus sont pas mal terminées. Quel automne incroyable, avec ses hauts et ses bas. À mon avis, plus beau que l'été. Ça fait du bien quand tu as l'impression, en début septembre, que tu attends encore l'été... Mais il reste encore les élections dimanche, J'essaie d'effacer mes attentes au maximum, car avoir des attentes, c'est pire que tout! Après une semaine de grisaille aussi intense, couronnée par une augmentation de 13 cents sur le litre d'essence, vive vendredi soir! Il sera temps de refaire le monde, de dénoncer les choses qui nous font chier. De ventiler ces irritants quotidiens, ceux qui grugent nos sourires. Et puis, ceux qui ne se rendent pas compte de ce qui se passe, leur absence au bureau de vote sera une cassure dans les résultats. ALors il faut se concentrer sur le moment présent et faire de cette journée, une autre merveilleuse journée! Amusez-vous!

Isshh!

Bon matin! Il semblerait que les gens n'ont pas assez d'intérêt envers leur vie. SI la tendance se maintient, le Maîîttrre reviendra à la mairie pour au moins deux autres années. Quel merdier! Déjà ensevelis sous les taxes, ça ne fera que s'empirer. En bonus, le prix du litre d'essence a fait un bon de quinze cents! De quoi convaincre ceux qui pensaient venir ici, investir pour quelconque raison, de rester chez eux. La bonne nouvelle, j'ai changé de véhicule. Le nouveau est beaucoup plus économique en matière de litre au cent. Plus économique en immatriculation, car moins de taxes sur ces dernières. Car sur mon ancien véhicule, il y avait une surtaxe à cause d'une forte cylindrée, au-dessus de 4,2 litres; et une autre parce que au dessus de 5,2 litres. Histoire d'écœurer encore plus ceux qui paient déjà plus! Car en consommant plus, avec les taxes exponentielles sur le litre d'essence, je payais déjà plus de taxes! Mais bon, nos politiciens sont ancrés dans cette vieille méthode, celle de faire payer tout le monde pour avancer. Le problème, c'est que nous n'avançons plus depuis plusieurs années, embourbés dans des taxes, des permis, une poutine administrative incroyable! Bienheureux celui qui réussit à passer au travers et survivre! On ne fait que tourner en rond! Au lieu d'évoluer, on cherche des façons de continuer, d'y arriver! On court à longueur de semaine, sans jamais vraiment arrêter. Et quand il faut changer, évoluer, les gens sont réfractaires, ils n'ont pas eu le temps de vivre avec ce qu'ils ont bâti! Wow! Alors je garde les doigts croisés pour dimanche prochain!

Milieu de semaine

Loin de penser que la semaine est finie, je suis dans le constat d'une fatigue imprévue. Hier, alors que j'étais en pleine production, je me disais que je devrais opérer à une vitesse supérieure le wrap de cette semaine! Et c'est là que les graphiques sont arrivés. Alors j'ai tout mis de côté pour commencer ça. Mais hier c'était Halloween, alors j'ai terminé de bonne heure. Le vent ayant soufflé toute la journée, ainsi que toute la soirée, il fallait faire un entretien sur les décorations. Mais nous n'avons pas battu de record cette année. Une dizaine d'enfants sont passés, laissant notre générosité à l'œuvre! Et nous avons écouté un film, en se faisant du popcorn. C'était quand même bien. Alors une grosse journée m'attend avec le wrap complet à terminer, et si possible, quelques pancartes à coller. Je suis déjà en train de pelleter dans la semaine prochaine. Le temps passe vite et je n'arrive pas à planifier tout ce que j'ai à faire. Les fins de semaine sont là pour autre chose que travailler. Il faut continuer à se préparer pour l'hiver. Quelle course effreinée pour s'enfermer! Il y a les pneus d'hiver à poser, les essuie-glaces à changer, le silicone à étendre sur les caoutchoucs de portes, certaines lubrifications à effectuer. Tout ça juste pour les autos. Il reste les toiles de garages à tendre, encore des feuilles à ramasser, «habiller les arbres» pour les protéger, finir de laver les fenêtres. Ouf! On en a pour un mois encore. Mais j'aimerais pouvoir aller plus vite, histoire de se reposer un peu avant la venue du grand manteau blanc.