mercredi 15 novembre 2017

Inquiétude

C'est tellement tranquille au niveau de la politique municipale, ça sent la surprise (mauvaise), et je n'aime pas ça. Surtout qu'ils ont (les médias) commencé à préparer le terrain avec des articles «autour» du sujet, comme dire que la ville de QUébec est la seule à ne pas avoir de projet de transport en commun. Faudrait commencer par s'occuper de celui déjà en place, qui nous coûte des millions et qui, pour le prix, est peu efficace. Chaque fois qu'il y a un grain de sable sur Henri IV ou encore sur de la Capitale, la ville est paralysée! Imaginez, ça dure depuis plusieurs années. Et je ne comprends pas comment ça pourra s'arranger avec tout ce qui se construit en périphérie. Derrière chez moi, la population augmente sans arrêt avec l'ajout de tous ces condos, ces jumelés et ses appartements. Il n'y a pas plus d'artères principaux pour les faire rejoindre la ville ou se rendre aux ponts. Alors l'attente le matin ne fait que grandir, l'insatisfaction aussi. Même chose pour revenir le soir. Et ce, sans accident ou anicroche, sinon la situation s'aggrave! Comment faire pour s'en sortir? Il faut agrandir les autoroutes, à quatre voies de chaque côté, le plus tôt possible. Ensuite, il faut une façon supplémentaire pour se rendre sur la Rive-Sud. Quand même que vous structurerez un moyen robuste en ville, rien dans nos problèmes ne se règlera! Et à quoi bon faire de nouveaux parcs? Pour aller relaxer pendant que le trafic passe? On est où là? Encore au moins quatre ans à se gruger les sens, à se demander comment faire, comment y arriver... Ouin...!

Aucun commentaire:

Faire en sorte que chaque jour soit une réussite!

Oui monsieur! 20 heures 30, encore dehors en train d'écrire, en écoutant la nouvelle toune de Luke Combs! Sous le gazebo, il fait si bon...