mercredi 28 février 2018

Ayoye!

À mon triste constat, le budget fédéral reflète bien mes inquiétudes. Pendant que notre PM s’amuse un peu partout, les chiffres parlent d’eux-mêmes. Aucun souci à se faire, l’économie va bien, nous sommes l’un des pays qui a le plus bas taux d’imposition! Pourtant, à voir la dette, on a le droit de se demander où va notre argent. Ce trou d’eau est en train de démolir le pays, comme l’a fait une certaine castafiore, ici, dans la belle province... Et, j’en profite pour souligner qu’avant, le devise du Québec, c’était «La belle province». Maintenant, peu importe ce qu’on peut en penser, on dit «Je me souviens». Mais je me demande de quoi les citoyens se souviennent? Se souviennent-ils du père au trou d’eau? Celui qui nous a endetté. Celui qui a instauré la taxe ascenseur sur le prix du litre d’essence. Maintenant que nous sommes trempés jusqu’au cou dans ce merdier libéral, que pouvons-nous faire? Les hausses de prix affluent aux portes, c’est une réalité déconcertante! Quand on pense à tout les efforts que nous mettons dans une année pour consolider notre budget, ce budget nous renvoie à la case départ. Au diable les dépenses, au diable les problèmes, l’important, c’est de bien paraître! Je vais difficilement m’en remettre. Hier, mon fils était ici, je le voyais devant son ordinateur, en train de remplir des tas de formulaires d’emploi. Pas de méthodes, criblé de dettes, il commence à sentir une certaine pression dans sa vie. On dirait qu’il veut un emploi qui ne nécessite pas d’aller travailler. Il a attendu d’être surendetté, que son téléphone soit bousillé, que sa confiance en lui soit épuisée pour commencer à faire quelque chose. Maintenant, il est épuisé, difficile à rejoindre et peu confiant de ses capacités. Comme le fait notre PM. Il attend que les choses aillent mieux. Mais il dépense sans arrêt. Pas besoin d’un diplôme en économie pour s’apercevoir que ça ne va pas marcher. SI vous attendez après les autres pour agir, vous risquez d’attendre longtemps...

mardi 27 février 2018

Ouin...

Bon, si je n’en parle pas, je serai le seul. Alors je vais vous faire part de mes impressions sur le dossier costumé de notre PM. Je ne dis pas que ça m’énerve, il est dans le même pays «libre» que nous. Mais en sortie internationale, il est là pour nous représenter. Y en a-t-ils parmi vous qui arborent les tenues traditionnelles lorsqu’ils vont à Cuba? En République? Ou encore dans d’autres pays? Ensuite, étant le modèle à suivre, je pense que ses faits et gestes sont épiés constamment; ce serait un point à tenir compte, étant donné les circonstances arrivées dans son propre pays. Donc c’était ce que j’en pense. Par contre, ce que je doute, c’est que pendant qu’il fait ses numéros personnalisés, c’est qu’est-ce qui se passe dans les hautes instances de notre pays? Oui j’ai une tendance parano, mais je dois vous faire part de ce que je pense vraiment. En plus, ça me libérera l’esprit de ces pensées négatives. Le prix du litre d’essence est passé à 1,25$. Personne n’a réagi, notre PM donnait un numéro... Le Maîîttrre continue sa croisade pour écœurer les citoyens, prenant de nous insulter au passage... Il a neigé dimanche dernier, nous fumes laissés à l’abandon, comme tout l’hiver, avec les conditions routières...Mais notre PM donnait un spectacle! Il faut comprendre que ce spectacle n’est pas gratuit; il nous coûte très cher! En plus, il nous fait passer pour des idiots. Pour un peuple soumis! Assez, c’est assez! Si personne n’a le courage de le remettre à sa place, qui osera? Il est tout à fait légitime de trouver ça un peu bizarre, mais ce sont les passe-passes qu’on se fait faire qui demeurent une inquiétude, alors restez sur vos gardes. Vos enfants seront dans ce monde...

lundi 26 février 2018

Bon début de semaine

Quel fin de semaine encore une fois! Quand je suis parti dans le sud, je me disais que ça couperait l’hiver en deux et, que nous serions un brin en dehors de la course quotidienne. Mais ce matin, après une semaine passée ici, de retour dans notre quotidien, force est d’admettre que je suis complètement dépassé par tout ce brouhaha. La semaine passée fut une marche rapide incessante, à laquelle j’ai participée! J’avais l’impression de ne pas faire le poids. Et, finalement, j’ai atteint les objectifs en me demandant si c’était vrai. Tempête de verglas, les écoles qui ferment, le courant qui manque pendant plusieurs heures, les routes «cabossées» de glace, des accidents partout. Incroyable! Et la bordée venteuse d’hier après-midi a pris tout le monde par surprise. Rien n’allait plus! Même ma femme n’a pas pu se rendre à destination. L’avion ne pouvait pas se poser à Val D’Or, trop de verglas. Elle est restée à Montréal pour la nuit. Très dommage. Maintenant encore du pelletage. J’aurai pelleté beaucoup cet hiver. Et je dois prendre le dessus cette semaine, car on dirait que je suis parti pendant un mois. Il faut faire attention à soi et à ceux qu’on aime, la vie va vraiment vite, et elle ne reviendra pas! Comme la neige au soleil, elle fond un peu chaque jour. Celle qui va retomber ne sera pas la même! Et nous revoilà lundi matin. Une nouvelle chance de partir en neuf, de se valoriser une fois de plus! Bonne semaine!

dimanche 25 février 2018

Le Jack Fest 2018

J’aimerais revenir que le Jack Fest. Cette dernière édition fut magique. Les gens qui m’ont aidé, les gens qui ont participé, ce que nous avons vécu. Bref, j’en suis tout retourné! Réussir à convaincre des gens à venir déguster des produits Jack Daniel’s, s’habiller pour rester dehors au moins 6 heures, en début février...Mais tout s’est enfilé comme par magie. Bien sûr, j’ai énormément travaillé, ne regardant pas combien de temps, ni d’énergie je prenais pour m’assurer que ce soit un succès. Dans mes prédictions, je me disais qu’il fallait absolument que je ramasse 3000$. Donc vendre des billets d’entrée pour participer à l’événement. Cet argent se rend directement dans la cagnotte de levée de fonds. Ensuite, toutes ces choses que je voulais faire goûter, des savoureux whiskey en passant par les différentes bouchées aromatisées et préparées avec Amour! Il me fallait absolument me trouver des commanditaires pour payer tout ça. Ce que j’ai réussi à faire. Mais il me fallait en redonner aux gens. L’objectif premier, ramasser le plus de sous possible pour financer mon cinquième Cyclo-Défi, Mais aussi celui de Joanne. Mais aller demander aux gens des sous, comme d’habitude, comme tous ceux qui font du porte à porte, loin de moi cette idée! Il me fallait trouver un moyen d’amuser les gens tout au long de mon événement, et qu’ils aient l’impression d’en avoir pour leur argent. De 15:00 à 21:00, ce fut tout un travail que j’ai mis en oeuvre pour y arriver. Animer les gens, les garder en haleine, faire en sorte que le froid ne soit pas un irritant majeur. La vente de billets pour le tirage de différents objets en rapport avec le Jack Daniel’s, mais aussi d’autres prix comme des gilets vintage de la ligue Nationale de hockey, des certificats cadeau des différents restaurants locaux, de l’argent chez d’autres commerçants, un kiosque pour ceux qui s’occupent de mon vélo, etc. Ces derniers faisaient essayer des «Fatbikes»; les gens ont bien aimé. J’ai réussi à trouver des commanditaires pour payer tout ça! Et sans l’aide de mon extraordinaire épouse, de mon ami Sylvain Germain, de mon bénévole par excellence, Martin Thibodeau, mon DJ très cool Gaëtan Guérin,  et tous ceux qui se sont impliqués pour faire cette activité une réussite. Mais quand j’écris «réussite», je sens que ce n’est pas suffisant pour décrire ce qui est arrivé. Toute cette énergie, orientée vers la même destinée! Quand on veut, on peut! L’union fait la force! Au final, nous avons ramassé 4000$, de quoi fêter pendant au moins un an cette véritable réussite! Merci à tous!

vendredi 23 février 2018

Ça va très vite!

Moins quinze degrés ce matin, encore pas mal froid. Mais ces derniers jours furent très doux. Ça donne une chance de survivre à l’hiver. Ça fait une semaine que nous sommes revenus du sud. L’action n’a pas manqué. Nous avons couru sans arrêt pour rattraper le temps passé là-bas. Des fois j’aimerais mieux que ce soit différent, de continuer à relaxer tout en recommençant à travailler. Mais ça n’est pas arriver encore! Rien de dramatique, mais toujours intéressant. Intéressant parce que nous réussissons toujours à faire plus! Oui, à en faire plus et souvent, mieux! Voici le genre de constat qui décrit bien l’être humain. Chercher de nouvelles façons, optimiser ces dernières et les améliorer. Mais la vitesse d’éxécution commence à être insoutenable, alors l’homme impose des machines pour nous aider. C’est là que ça se corse. Avec la venue des ordinateurs quantiques, le traitement des données sera décuplé, voir au delà de l’imaginable. Avec de nouveaux algorithmes, ces derniers seront en mesure de se perfectionner eux-mêmes, et aussi de s’auto-recréer. Plus vite, plus performant. À l’image de ses créateurs. C’est là que nous verrons si l’intelligence artificielle viendra nous prendre ou nous seconder. Ça dépendra des programmeurs. Je vais loin en ce vendredi, mais je sens que ce n’est pas si loin tout ça. Donc à vos marques, prêts, tenez-le vous pour dit! Quand l’automatisation, provoquer par les milleniaux arrivera, nous ne pourrons pas retourner en arrière. Et nous, les «X», seront trop vieux pour y changer quoi que ce soit. Ceux qui savent coder, l’avenir vous invitera à partager bien des secrets. Des fois je me dis qu’il n’est pas trop tard, que je devrais m’y mettre, histoire de ne pas me laisser dépasser. Mais le poids de mes responsabilités me ramène souvent à d’autres fins plus terre à terre. Au moins mes enfants auront connu des parents présents pour eux. Le reste, ils le découvriront par eux-mêmes. Ça reste à voir!

jeudi 22 février 2018

Constat

Tout a vraiment été vite depuis trois semaines. Le mois de février aura été très occupé, même si nous sommes allés dans le sud une semaine. Et puis, les journées de travail furent très bien remplies. Le sommeil est dilué par l’insomnie de ma tendre épouse. Avant, ça me dérangeait moins, de pas trop dormir. Mais une fois dans le feu de l’action, les choses s’enchaînent, tout va pour le mieux. Et dire que je ne voulais pas d’une vie avec de la routine. Pourtant, sans elle, il serait difficile d’y arriver. Tout ce qui se fait grâce à la routine nous libère tellement. J’essaie de penser à plus loin, mais c’est plus difficile. Par contre, Je m’interroge toujours sur les choses auxquelles je pourrais y apporter mon grain de sel, ma saveur. Comme le Jack Fest. Cet événement reflète bien, je trouve, ce que je veux apporter au monde. Le partage, l’hospitalité, la joie d’être ensemble, pour la même cause. Si je réussis à faire de cet événement une réussite, je dois être capable de d’autres réussites, en y mettant ma touche. Donc il me faut me détacher un peu de la réalité. Difficile d’y arriver, surtout en ces temps d’impôts. L’énergie que les gens dégagent me tiraille tellement. Mais le fait d’être allé dans le sud m’a redonné du pep. De plus, m’absenter des lieux présents, au profit d’une autre énergie, une énergie plus relax, où les gens ne se cassent pas le bicycle autant qu’ici. Oui ils sont plus pauvres, mais ils ont moins de soucis. Moins de paiements, moins de dettes. Le climat est plus vitaminé. Les priorités ne sont pas les mêmes. Ici, nous courons tellement dans une journée, des fois je me demande pourquoi il n’y a pas plus d’accident. Je ne changerais pas de place avec eux, mais aller leur rendre visite m’a fait du bien. Hier soir, j’ai réussi à retourner mes courriels, aujourd’hui je vais tenter de retourner mes appels. Je me rends bien compte que c’est dur de se rembarquer dans cette course. De courir pour pouvoir se reposer. Un marasme important dans notre société. Alors vivement la fin de semaine, même si mon épouse part pour dix jours dès dimanche midi. Il faut trouver du bonheur où il y en a! À plus!

mercredi 21 février 2018

Tellement vite!

Ce matin je me rends compte que mon petit break d’une semaine m’a rattrapé. J’ai un CA tantôt, ensuite un peu de production. Et en PM, une installation en dehors. Mais je suis complètement dépassé! Verglas depuis hier après-midi, un couloir de glace ce matin. Déjà des pannes d’électricité. Lamentable de la part d’un fournisseur qui a le monopole. À quand les fils enfouits? Et pour les abrasifs, le mystère se poursuit... Mais nous ne laisserons pas les choses nous ruiner la journée, il faut composer avec les éléments en place. J’ai des tas de choses à dire, mais je manque de temps. Les loisirs passent toujours en dernier. Quel retour au quotidien! Ça coûte moins cher vivre dans un tout inclu une semaine qu’ici. Et ça permet d’oublier bien des choses. Mais le retour est toujours un choc. Vivre au Québec, ce n’est pas toujours facile. Mais surtout, vivre à la vitesse des communications, ça prend des nerfs d’acier. Lundi, j’ai terminé à 21:15. Hier, vers 19:30. Et je suis en retard dans mes retours d’appels. Ça ne sert à rien de paniquer, une chose à la fois. Et puis, paniquer ne m’avantage pas du tout. Donc on suit la tendance et on se mène de ses affaires. Dans une de mes thérapies, celui qui me donnait des conseils me disait toujours, tu «scannes» trop large, mets tes oeillères et concentre toi sur la route. Ce que je m’efforce de faire depuis.

mardi 20 février 2018

En questionnement

Hier soir, j’ai résolu le mystère du clavier. Je suis toujours stupéfait de voir que des réglages numériques peuvent changer, comme ça, sans avertir. Puis j’ai commencé à me demander très sérieusement, sur les choses auxquelles je pourrais m’impliquer, passer du temps et changer quelque chose! Car en écoutant le Maîîttrre hier soir, je sentais en moi monter une sorte d’amertume. Utiliser nos propres mots pour venir contredire les citoyens. Et dire qu’il a peur à des dépassements de coûts! Et si on parlait de la dette de la ville? SI on parlait du vaisseau des Satellipopettes? De Clotaire Rapaille? Dépassements de coûts... Et tout le monde va avaler ça, comme si de rien n’était? Il se prend vraiment pour le représentant de Dieu sur terre! C’est là que je m’interroge, dois-je continuer à frapper sur le clou, ou bien m’intéresser à autre chose? À des choses que je peux réaliser; à d’éventuelles projets sur lesquelles j’ai de l’influence. Où je peux changer la donne. Il est important pour moi de ventiler ce trop plein de conneries, mais j’ai aussi besoin d’accomplir des choses plus concrètes. Auxquelles je pourrais me valoriser. Car de donner mon opinion sur différentes choses ne me rapporte pas tellement, mais au moins je peux me dégager l’esprit avant de commencer ma journée! Depuis que je le fait, mes journées sont meilleures, mon humeur aussi! Alors je continue ma réflexion et pour ce qui est de mes opinions, j’en ai toujours eu, je crois que je vais continuer à les partager sur ce blogue. À plus tard.

lundi 19 février 2018

Pas trop vite ce matin.

De retour après une semaine de vacances, inutile de dire que je serais resté à Cuba. Encore sur l’effervescence du Jack Fest, partir au loin comme ça, oublier tout! Maintenant il faut revenir à la réagir et s’activer pour pouvoir y retourner !! Là-bas, pas besoin de se casser la tête, juste d’être heureux, apprécier tous les petits moments! Mon premier billet depuis ce retour, mon clavier externe refuse d’écrire en français. Je n’y comprends rien, car ça n’est jamais arrivé ! Donc un peu handicapé d’écrire avec le clavier virtuel. Ça va pas tellement vite et ça brime mon inspiration! Mais il y a pire, alors je ne m’en fait pas trop. J’en aurais beaucoup à raconter par contre, sur ce voyage, sur le Jack Fest et aussi sur le film que nous sommes allés voir Black Panther! Malade! Alors je ne m’éterniserai pas, je vais retourner à mes pénates et chercher la solution pour mon clavier. À plus!

mercredi 7 février 2018

Ayoye!

Moins vingt-deux ce matin. Huit degrés de moins qu’à Montréal. Voilà, c’est commencé. Il en sera ainsi pour les prochains mois. Cette différence marquée, pour une distance de deux cent kilomètres est difficile à croire. Et dans notre congélateur, la vie est plus tranquille. Les gens sont plus réveillés, plus attentif à ce qui se passe autour d’eux. Moins de monde, plus de nature, et un Maîîttrrre qui fait son numéro. Un numéro qui commence à coûter cher. Des autobus à 800 000$, des abris bus à 750 000$. Et ce ne sont que ce que les médias nous rapportent! Dans sa saga pour recueillir les fonds publics, il est le meilleur! Mais il commencerait à être temps que quelqu’un lui ferme le clapet! Et qu’il prenne le chemin de la porte. Les clés de la ville, il faudrait les récupérer au plus vite! La dette prend de l’expansion, son arrogance aussi. Ceux qui ont voté pour lui, j’espère que vous retenez votre souffle. Le massacre qu’il fait est digne de la Castafiore. Mais je n’entrerai pas dans ce sujet. Je pars pour le sud dans vingt-quatre heures et je tiens à rester le plus zen possible! On s’en reparle!

mardi 6 février 2018

Moment de prière...

Le temps passe vraiment vite! Nous sommes le 6 février, moins seize ce matin. J’ai passé une grosse heure à souffler hier, en prenant soin de ne pas entretenir les espaces prévus pour le Jack Fest. Incroyable de voir que nous avons reçu encore plus de 25 centimètres! Et ce matin, il neige! Hier en fin de journée, ce fut une réjouissance pour mon plus jeune. Nous avons reçu «la lettre» qui lui permettra de continuer son cheminement en hormonothérapie. Ensuite nous sommes allés manger au resto, histoire de souligner ce moment unique et extraordinaire. Dire qu’à son âge, je ne savais même pas qu’une personne pouvait être née dans un corps qui ne lui convenait pas. J’ai connu au moins trois personnes qui se sont suicidées par rapport à ce genre de sentiment. Prisonniers dans un corps qui n’a pas le bon sexe, pas la physionomie qui représente l’âme... Ouf! Malgré tous ces cheveux gris de plus, je me dis que nous sommes parents pour toujours. Que peu importe la situation, il faut continuer de les aimer. Je ne dis pas que c’est facile, je dis d’aimer. Depuis plusieurs mois, mes sentiments furent divisés, partagés. Alors je me suis réfugié dans la prière, je me suis recueilli pour accepter et comprendre. Parfois, ce ne sont pas les paroles, ni l’opposition qu’il faut utiliser, mais l’amour. J’ai bien des choses à dire sur la politique, sur l’économie, les façons de faire de notre société, mais dans ce cas précis, je crois que je dois me fier à mes idoles, Mère Terèsa, Ghandi et M. Lutherking. Alors je vous reparlerai bientôt de ces autres choses qui me font suer. À plus!

lundi 5 février 2018

Ouf!

Quelle fin de semaine remplie! Épuisante, mais tellement stimulante! Maintenant que le Jack Fest est passé, réussi, on passe à autre chose. Tous ces préparatifs, toutes ces heures, données pour la cause, mais aussi pour y arriver! C’est bien beau organiser un événement, mais il se doit d’être attractif, d’être rentable. N’empêche, convaincre des gens à venir geler, boire et dépenser, pour la cause, j’ai réussi! Sans l’aide de ma famille, de mes amis, des bonnes gens qui ont bien voulu m’encourager par des dons, des commandites et bien des sourires! Merci!
Il faut croire en ses rêves, il faut croire aussi en ses passions. La vie, c’est un privilège, un cadeau; quoi faire ensuite, cela dépend de vos aspirations. Laissez votre cœur parler. Laissez votre âme aimer! J’aimerais continuer à vous aimer encore bien des jours, mais pour tout de suite, je dois y aller, on se reparle! Bonne semaine!

vendredi 2 février 2018

Vendredi occupé!

Petit souper d’amoureux au Barolo hier. Ce fut très plaisant et très bon! Pourquoi en faire plus? Nous partons pour Varadero jeudi prochain. Merci à nous deux d’avoir économiser des sous pour y aller! Il faut avoir des nerfs d’acier et une constitution très particulière pour rester ici, au Québec. Car si on attend après les autres pour réaliser nos rêves, alors on risque d’être déçu. Donc après un maigre réchauffement d’à peine 18 heures, nous revoilà revenu au congélateur! Demain je serai l’hôte du Jack Fest 2018, alors que le mercure se situera au alentours de moins dix-huit à son plus fort. Une activité dehors, vraiment spécial! Nous dégusterons pour la cause, alors santé les amis. Je vous ferai un compte-rendu! Pour l’instant, j’ai tellement de chose à faire, y compris faire rouler mon entreprise, je vais m’absenter De ce blogue et aller continuer mes préparatifs!

jeudi 1 février 2018

1er février

Premier jour de février! Toujours un rendez-vous agréable depuis vingt-et-un ans déjà! Vingt-et-un ans de mariage! Toujours aussi heureux de vivre avec ma charmante épouse! Toujours aussi content d’être à ses côtés! Ouf! Ce matin, mon cadran m’a réveillé! Je crois que je dormais dur. J’étais coma solide! Hier fut une grosse journée, pas physiquement, mais tellement de choses à régler. L’ouvrage rentre en fou et les préparatifs du Jack Fest envahissent mon horaire à la vitesse grand «G»! Et, une fois l’événement passé, un dimanche de répit et trois jours de travail carabinés. Ensuite nous partirons  pour Varadero. Depuis que Joanne travaille pour l’INSPQ, son horaire tend à changer souvent et nous sommes limités pour ce genre de déplacements. L’important, c’est d’arrêter. Je commence à montrer des signes de fatigue, et je dois m’arrêter un peu, faire une sorte de «reset». Il a neigé cette nuit, moins douze ce matin. Selon MétéoMédia, il fera moins un ce soir, mais moins treize demain matin. Quand même étrange! Un réchauffement soudain et sournois, mais pour retourner au congélateur. Bah, une petite pause dans les coûts de chauffage. Inutile de dire que ça va quand même faire du bien! À force de courir pour tout faire, tout payer, on a l’impression d’être des serviteurs de l’état. Nous travaillons pour nourrir la «machine» gouvernementale. Étrangement, ce serait aux élus de travailler pour nous. De faire en sorte que notre vie soit agréable, que leurs actions favorisent une économie florissante, un climat social agréable. Mais bon, on a le droit de rêver! Les rues sont glacées depuis la dernière chute de neige. En ajoutant celle d’aujourd’hui, ce sera encore plus merveilleux! Mais le Maîîîttrre parle de structurer un moyen costaud très coûteux de transport, muni de rails... C’est l’hiver ici. Vous n’êtes pas capables de déglacer les rues, imaginez le reste! Tout reste à voir, mais je crois que tout ça est très farfelu. Par contre, ce théâtre coûte très cher! Vraiment cher. Alors je vais savourer mon break vien mérité qui s’en vient. Et je dois aussi redonner à la communauté, par le biais des gens d’affaires, mais aussi en sensibilisant les gens à se garder en bonne forme! On s’en reparle!

Je continue de vivre au jour le jour.

Il faisait 3 degrés en vélo, mais j'avais l'impression qu,il faisait plutôt zéro! C'était cru! Mais une fois parti, l'excita...