mardi 6 février 2018

Moment de prière...

Le temps passe vraiment vite! Nous sommes le 6 février, moins seize ce matin. J’ai passé une grosse heure à souffler hier, en prenant soin de ne pas entretenir les espaces prévus pour le Jack Fest. Incroyable de voir que nous avons reçu encore plus de 25 centimètres! Et ce matin, il neige! Hier en fin de journée, ce fut une réjouissance pour mon plus jeune. Nous avons reçu «la lettre» qui lui permettra de continuer son cheminement en hormonothérapie. Ensuite nous sommes allés manger au resto, histoire de souligner ce moment unique et extraordinaire. Dire qu’à son âge, je ne savais même pas qu’une personne pouvait être née dans un corps qui ne lui convenait pas. J’ai connu au moins trois personnes qui se sont suicidées par rapport à ce genre de sentiment. Prisonniers dans un corps qui n’a pas le bon sexe, pas la physionomie qui représente l’âme... Ouf! Malgré tous ces cheveux gris de plus, je me dis que nous sommes parents pour toujours. Que peu importe la situation, il faut continuer de les aimer. Je ne dis pas que c’est facile, je dis d’aimer. Depuis plusieurs mois, mes sentiments furent divisés, partagés. Alors je me suis réfugié dans la prière, je me suis recueilli pour accepter et comprendre. Parfois, ce ne sont pas les paroles, ni l’opposition qu’il faut utiliser, mais l’amour. J’ai bien des choses à dire sur la politique, sur l’économie, les façons de faire de notre société, mais dans ce cas précis, je crois que je dois me fier à mes idoles, Mère Terèsa, Ghandi et M. Lutherking. Alors je vous reparlerai bientôt de ces autres choses qui me font suer. À plus!

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Faire en sorte que chaque jour soit une réussite!

Oui monsieur! 20 heures 30, encore dehors en train d'écrire, en écoutant la nouvelle toune de Luke Combs! Sous le gazebo, il fait si bon...