Beurk!

Je me disais que la farce avait assez duré, mais la castafiore en remet en déclarant être satisfaite de son premier bout de chemin! Encore une fois, personne ne fait de déclaration à ce sujet, personne ne dénonce son incompétence. Il est vraiment dommage de voir que de gens qui ont une tribune et qui ne font rien! Pas d'opinion, pas de réplique, pas de débat. Par contre, on tente de sortir des idées, complètement saugrenue (vallée technologique), alors que les priorités de la province sont évidentes. Quand allez-vous sortir de vos tours d'ivoire et vous attarder au quotidien québécois? Nous croulons sous les taxes, nous n'arrêtons pas de payer des impôts! C'est de plus en plus dur de se sortir du crédit. Plusieurs doivent très mal dormir! C'est plutôt redondant, mais je veux du changement, de grands changements! Je m'efforcerai de parler de solutions (encore) un peu plus tard.

Je divague?

Aujourd'hui fut une dure journée! Aucune patience, gaffes par dessus gaffes! Des fois je pense que je devrais me filmer pour bien m'en souvenir! Et puis, en fin de semaine, j'étais complètement épuisé. J'avais vraiment du mal à comprendre ce qui m'arrivait! Tout était un effort et peu importe ce qui arrivait, rien ne réussissait à me donner de l'énergie! Et ce n'est pas l'actualité de ce lundi matin qui m'a aidé! C'est vraiment déprimant de se voir prisonnier d'un régime de castafiore, une dame qui continue de démolir le province, sans conscience apparente! J'aimerais lui faire goûter à notre quotidien. Lui faire réaliser ce que c'est d'être régit par des gens qui n'ont aucune idée de ce qui se passe. Il y a Montréal et le reste du Québec. Montréal a besoin d'aide. Mais les moyens qui sont utilisés dans cette ville ne peuvent être réutilisés ailleurs. L'économie de Québec n'a rien à voir avec celle de sa grande soeur! Ouvrez vos yeux, ouvrez votre coeur! Ça ne nécessite pas tellement de discernement pour comprendre quels sont les enjeux de Montréal, et, quels sont ceux de Québec. Donc, monsieur le Maîîttrrre, arrêtez vos histoire de tramway, mettez dehors la société de transport qui nous pollue la vie et cessez de nous casser les oreilles avec votre amphithéâtre!

Facebook...

Quand je vois sur Facebook, tous les gens qui tentent de nous démontrer comment notre premier ministre, monsieur Harper, est un tyran sans scrupule. Ou encore, la récente allégorie avec «Back to the future», je ne peux m'empêcher d'identifier qui laisse le message et surtout, je ne peux m'empêcher de me questionner sur la nature et les fondements de leur message. Mais je n'arrive pas à comprendre. En quoi, quelqu'un qui n'arrive pas à se trouver sur le marché du travail, peut-il être contre le resserrement du chômage avec les travailleurs saisonniers? Cette personne qui aimerait tellement qu'on trouve un job pour elle? Cette personne qui n'est jamais contente de son sort? Voilà, j'ai compris, peu importe, cette personne suit toujours les autres, n'a pas vraiment d'opinion, ni de ligne de pensée! Donc, le message qu'elle laisse n'est qu'un réflexe suivant l'opinion populaire. C'est vraiment pathétique. La pitié est un sentiment trop dur, mais je n'en suis pas tellement loin! Retroussez-vous les manches, arrêtez d'écouter les médias québécois et, surtout, arrêtez de vous plaindre sur Facebook! À moins que vous vous complaisiez dans vos choix...

Wow! Quelle pensée dominicale!

Chronique du dimanche matin. Hier, Georges St-Pierre a démontré encore une fois qu'il faut garder la tête froide dans toute situation. Ok, il oeuvre dans un domaine plutôt dangereux, mais je crois qu'au quotidien, dans notre jungle où nous courons tous, c'est aussi dangereux, à un autre niveau. Garder la tête froide, chose très difficile. La vie va si vite! Prendre le temps, prendre du recul pour bien comprendre la situation. Avec les années, j'essaie de plus en plus de bien peser mes mots, de prendre mon temps pour décider. Décortiquer le problème, en trouver la source et bâtir une solution. Il est important de transférer nos connaissances ainsi que nos aptitudes dans chaque facette du quotidien. Je cherche les bons alliés, les bons contacts. Il est vrai qu'il faut s'entourer de personnes plus compétentes, mais c'est dur à évaluer. Il y a un certain «danger» à naviguer au travers des autres sans se faire «voler». Combien de fois je me suis fait avoir en ayant confiance aux autres. Tellement de peine et d'argent perdu! J'ai eu bien de la difficulté à m'en remettre. Je me suis promis de faire mieux. J'entends respecter cet engagement envers moi. D'où l'idée de garder la tête froide, ne pas laisser les émotions guider son entreprise. Faire des affaires n'a rien d'émotionnel! Il faut évaluer la portée de nos actes, nos façons de procéder et refaire ces démarches de temps à autre pour se garder à jour et compétitif! Bon bin assez, méchant dimanche matin!

On continue de courir!

Taxes par-ci, taxes par-là... Tranquillement, le coût de la vie grimpe et presque sans trop s'en rendre compte, nous payons plus de salaire, de gâteries et de luxe à nos dirigeants qu'à nous tous. Chaque semaine, nous épluchons les circulaires en vue de dépenser le moins possible. Je n'ai pas encore commencé à m'acheter des vêtements à mon goût, trouvant ça un peu inutile, mais il faudra attendre. Et que dire du prix de l'essence qui reste bien trop élevé par rapport au reste du Canada, par rapport au reste du monde! Depuis le 21 décembre, l'essence est tellement surévaluée que les biens et services qui nécessitent du transport ont tellement augmenté! Le Maîîttrrre et la castafiore sont en train de nous monté un méchant bill, et, par dessus tout, on ne peut pas le payer de notre vivant! Nous, ceux de la génération «X», auront à travailler jusqu'à notre mort pour payer vos âneries! Ça ne me dérange pas de travailler jusqu'à ma mort, mais pour moi, pas pour les autres! Pour mes enfants et ma femme, pas pour le confus et trop garni panier de services québécois! Allez donc passer une semaine dans la vraie vie pour voir! Aller travailler dans un Tim Hortons à la place du proprio! Allez travailler dans une PME qui a un, deux ou trois employés! Allez! Vous verrez que ce n'est pas si drôle! Allez remplacer une femme ou un homme en situation de séparation, sans le sous, allez! Arrêtez de dépenser notre argent pour des publicités inutiles et onéreuses! Accrochez-vous à la réalité! Vous seriez obligés de perdre du poids et d'abaisser votre petit ton arrogant! Vous ne feriez pas une semaine! Pfft!!

Bilan après trois mois de concerta.

Je me sens tellement faible, sans ressources, mais mon travail me garde sur coche! Je m'agrippe à mon énergie vitale et me dit que je vais réussir à me reposer! Après une visite chez mon médecin hier, le bilan est positif: il trouve que ça va bien et que ça s'améliore bien. Concerta, petite recette qui me permet de pouvoir être plus calme, de dormir moins nerveusement. Même dans les temps plus morts, où je travaille à l'ordinateur, il ne m'arrive plus de «cogner» des clous. Je dors plus profondément, probablement à cause que je suis calme. J'ai l'impression de moins passer tout droit par moment; D'autres fois, le temps passe tellement vite, on dirait que je me suis assoupi! Mais ce n'est pas le cas, c'est juste qu'on dirait que je permets une petite pause. Ce sont des choses auxquelles je ne suis point habitué. Alors que je pensais finir ma vie en courant et en attendant après les autres, on dirait plutôt que j'apprends à conjuguer avec eux! Non pas que je ne suis pas à l'écoute de ceux qui m'entourent, bien au contraire, mais on dirait que je peux me ralentir pour leur donner plus d'attention. Depuis 40 ans, je n'ai jamais vraiment arrêter. Tout était prétexte pour courir, s'énerver et s'en mettre plein la gueule! Vivre à pleine vitesse. Mais aussi, en vieillissant, n'être pas capable d'arrêter la machine, ce moteur qui tourne sans arrêt, avec ou sans huile; avec ou sans essence! Avec les conséquences que cela comportent! Aujourd'hui, après trois mois de complicité avec le concerta, force est d'admettre que je fais du progrès. Un progrès discret, pas trop vite, que j'essaie d'apprivoiser! Merci ma soeur, mon épouse et les autres pour vos suggestions!

Lundi...

J'arrive à peine à comprendre ce qui se passe. Comment sont les gens qui m'entourent? Qu'ont-ils vécu? Qu'est-ce qui fait qu'ils sont si peureux? Pourquoi manquent-il autant de courage? Est-ce un problème de volonté? Bref, rien qu'à voir, on voit bien que rien ne bouge. Pour vrai, ça bouge, mais dans les sous-couches... J'ai de la difficulté à rester objectifs, je manque parfois de retenu quand je donne mon opinion. C'est un défaut qui devient parfois une qualité. J'aime mieux quand c'est une qualité! Sombre est le ciel depuis les derniers mois. Six mois! Six mois de nuages, de tristesse. Il y a des jours plus durs que d'autres. Le poids de nos soucis est proportionnel à l'endettement de notre nation. Au fil du temps, je me dis d'arrêter d'être négatif, de voir le bon, de saisir ce que j'ai à apprendre dans ça. Ce n'est pas toujours facile.

Faut-il pleurer?

Hier j'ai pété ma coche en parlant à ma mère! Elle me disait que c'était terrible ce que Harper faisait aux travailleurs saisonniers! Non mais, je ne comprends vraiment rien! Avec le vécu que mes parents ont, comment peuvent-ils penser de telles choses? Ce sont ceux qui ont choisis que c'était OK que les travailleurs saisonniers aient du chômage aussi longtemps par année! Voyons! Pourquoi ne pas répartir leur salaire sur 52 semaines? Pourquoi les autres travailleurs doivent se rapporter disponibles et sont «vérifiés» dans leur déclaration? C'est inadmissible! Ce sont des demi bien-être! Pourquoi payons-nous pour eux depuis des années? Où est le problème avec le resserrement de la loi? Moi je suis pour cette loi. Je suis tanné de payer pour les autres, je suis pour l'utilisateur-payeur! Je ne veux en aucun temps dépendre des autres. Vive l'autonomie!

Est-ce qu'on avance?

Qui veut du changement? Tout le monde?! Mais alors, pourquoi monter aux barricades chaque fois que le gouvernement veut changer quelque chose? Mon épouse fait un virage sans papier au bureau et c'est comme une conscription, une catastrophe. Les gens remettent quasiment en question leur travail! Vous savez, l'effort fait partie intégrante de la vie. Et on ne peut évoluer sans effort, sans travail! Pour ma part, j'adore les changements.Et puis, plus il y a de gens qui utilisent une méthode de travail et qui se trouvent confrontés à du changement, plus ça semble dur! Alors vous avez le choix, continuer de trouver que le gouvernement vous vide les poches ou de vous retrousser les manches et d'évoluer vers de nouvelles solutions!

La relâche.

La semaine de relâche, c'est une sorte de congé. Les enfants sont à la maison, je n'ai pas à les lever, leur pousser dans le derrière pour qu'ils avancent, les faire déjeuner! Être à l'heure tout le temps pour les repas, le coucher, les activités! Je peux commencer une heure plus tôt. J'ai plus de temps à moi! Pourtant, quand je discute avec les autres, c'est une semaine où ils doivent prendre congé, trouver des solutions s'ils ne peuvent arrêter. Du stress! Merci. Mes choix me donnent cette qualité de vie. Et les enfants grandissent, gagnent en autonomie. Bref, cela est merveilleux. Avant, je trouvais que c'était une perte de temps, une façon de perdre le focus. Je crois que j'étais le seul à penser ainsi. Mais je suis une personne de volonté, d'accomplissement! Et je ne vais pas arrêter demain. Et puis, j'adore être mon propre patron et ne pas dépendre des autres.

Passons à autre chose.

Donc je dois admettre que je me suis trompé. Depuis des années que je tente d'inculquer certaines choses à mon fils. Mais il y a un détail que je n'avais pas mis en évidence : l'acceptation de soi! Pour pouvoir avancer, il se doit d'accepter sa condition. Tant qu'il s'entêtera à vouloir nous ressembler, à vouloir bâtir quelque chose par la fuite, cela ne marchera pas! Je reste derrière lui, mais je ne m'impose plus. Voilà! Nous verrons ensuite. Pas tellement dormi cette nuit, coucher tard hier, je crois que j'en profiterai pour réfléchir encore un peu sur mes enjeux. Je passe à autre chose, tentant ainsi de libérer les énergies prisonnières de ce dossier.