Ouin...

Encore un beau matin à pédaler dehors! Quatorze degrés, ce sera une belle journée! Hier nous fumes les hôtes d’une fantastique journée, il a fait 25 degrés. Le pollen s’en donnait à cœur joie, ainsi que toutes les variétés d’insectes! Dans notre société «verte», il est important de sauver la terre avant l’homme! Comme si la terre était plus fragile que l’homme! Certaines gens pensent encore que 150 ans d’industrialisation a pu faire une différence! Les éruptions volcaniques en cours dans le bout d’Hawaï sont à eux seules une bien pire catastrophe que notre mode de vie! À écouter les emmerdeurs quotidiens, nous devrions respirer moins, vivre en symbiose avec les tiques, les puces de lit, les pissenlits, et si possible sauter quelques douches pour ménager l’eau! Aussi, penser à plus tard en consommant de moins en moins de pétrole. Faites l’exercice, identifiez tout ce qui contient et\ou est un dérivé du pétrole, et imaginez une de vos journées sans toutes ces choses. Alors? Pouvez-vous vous en passer? Dans une Chevrolet Cruze, qu’est-ce qui recharge les batteries quand vous êtes sur la route? Qu’avez-vous à proposer pour faire mieux? Moi je ne connais personne qui gaspille de l’eau. Je ne connais personne qui gaspille de l’électricité. Pour ce qui est du recyclage, ça coûte plus cher que produire du neuf et ça ne pollue pas moins... Et puis, je suis tanné de me faire dire quoi faire par de grands penseurs qui n’ont aucune idée de ce qu’est notre vie. Alors foutez-nous la paix!

Je reprends conscience

Incroyable! Plus la semaine avance et plus je prends du mieux! Je crois que je suis sur la bonne voie. La semaine dernière, je ne comprenais pas pourquoi j’étais aussi fatigué physiquement. Et puis, n’étant pas encore remis de l’augmentation insignifiante et complètement exagérée du prix de l’essence, je n’avais que de la rage en dedans. Ce matin, je me sens plus lucide, plus disposé à travailler. Je me sens prêt à travailler. Et c’est ce que je fais depuis lundi matin, prenant soin de bien terminer chaque chose. Difficile de savoir où je m’en vais dans dix ans, mais en prenant un jour à la fois et en faisant confiance à la vie, mais aussi en me faisant confiance, je peux continuer de voir le beau dans chaque chose. Et vous? Que pensez-vous d’un gouvernement avec M. Legault? Pensez-vous que cela changera quelque chose? Pensez-vous que ce sera la révolution? Je ne sais vraiment pas quoi en penser. Je veux en savoir plus. Je suis tanné de voter pour le moins pire. J’ai hâte d’être souriant au moment de voter. J’ai même hâte d’en être excité! Je crois que ce n’est pas demain la veille. J’essaie de voir le beau côté, mais je n’y arrive pas. Les antécédents de la Castafiore, la boîte à surprise du couillon, n’ont que diminué mon intérêt, au point d’en avoir mal au cœur! Je continue de dire à mes enfants de sacrer leur camp d’ici. Il n’y a rien pour eux ici d’invitant, rien qui les rendra heureux. Avant de vous attacher de tout plein de façons, partez! Ici, il n’y a pas un pouce carré qui n’est pas taxé. De plus, si vous gagnez de l’argent, en autant que ce soit plus que l’aide sociale, vous paierez de l’impôt, des congés parentaux aux autres, des frais d’accès au système de santé, etc. Alors si vous le pouvez, partez! On s’en reparle.

Un brin de panique...

HIer je me demandais ce que je pourrais bien faire pour améliorer ma situation de travail. Non pas que je sois malheureux, mais je suis épuisé. On dirait que je n’arrive pas à prendre le dessus. Mais rien de vraiment attractif ne m’a accroché. Embêtant d’y réfléchir, de trouver des solutions probantes. Il y a toujours la solution d’aller travailler pour quelqu’un. Jusqu’à maintenant, ce serait en dernier recours. Parmi les choses qui me fatiguent beaucoup, il y a la comptabilité. Les comptes recevables! Parlons-en! Comment se fait-il que certains clients, fidèles depuis des années, bon payeurs, deviennent soudainement silencieux et lent à payer. Toutes les raisons sont bonnes pour étirer un paiement. Au début, c’était la joie d’avoir un terminal de paiement, j’avais réussi à baisser les recevables de 5000$. Mais le temps passe, l’économie s’enlise, les gens ont de moins en moins de marge de manoeuvre. Mais je ne suis pas devenu entretemps une institution financière. Bref, les temps sont durs. Rien ne semble vouloir changer non plus pour améliorer le tout. AU contraire, le prix prohibitif de l’essence à la pompe est le sujet de tous. Cette catastrophe doit arrêter au plus vite! Et le dernier mois ne m’a permis de trouver de nouveaux moyens d’être heureux par rapport à ce cartel. Nous n’avons pas changé notre train de vie, mais nous n’avons plus les moyens de l’avoir. J’essaie de convaincre mon épouse qu’il faut faire quelque chose, je lui suggère des moyens. Elle est comme tout le monde, elle préfère faire semblant que ce n’est pas la réalité. Elle veut continuer sa vie comme si de rien n’était, sans augmenter ses revenus. Moi je commence à paniquer. En plus, quand je lui en parle, elle me dit que je pollue l’air ambiant. Il va falloir que je me force encore beaucoup plus pour trouver une solution. Les comptes rentrent sans arrêt, sont toujours un peu plus chers, mais nos revenus n’augmentent pas! Pas besoin d’être un comptable pour comprendre ça. J’ai hâte de trouver des solutions.

Lundi matin

Bon matin! Je constate que je suis au bureau ce matin et pour toute la journée. Ce sera une semaine incroyable. Mais je dois réussir à me reposer le plus possible. La semaine dernière m’a fait réfléchir énormément. Je me suis senti très dépassé, et c’est peu dire! Seulement quatre jours, mais combien difficile je les ai trouvés! À quelque part, je sentais en moi que j’y arriverais, mais une autre partie de moi me tirait dessus. Me disait que je devais arrêter, prendre du temps pour moi. Pris au dépourvu devant cette situation, je ne souhaitais qu’une chose, me rendre à la fin de semaine. Ce que j’ai fait. Je suis fier de moi, j’ai remis une job à plus tard. Pas assez prêt et trop fatigué. Pour une rare fois, j’ai écouté mon corps qui criait au secours! J’avais comme une petite panique en dedans qui sévissait. J’ai resserré les cordeaux, resserré mes œillères, et je me suis concentré sur l’essentiel. Et nous revoilà lundi matin. Alors je vais reprendre le dessus dès aujourd’hui en facturant, et me gardant à jour sur mon horaire. Ce sera une semaine bien remplie, bien menée. Pour l’actualité, j’y reviendrai plus tard. Bonne semaine.

Petite montée de lait.

Vraiment intéressant de lire un bref historique du tramway qui circulait dans les rues de notre ville. Je n’arrive pas à comprendre que son trajet était si court. Autant d’efforts pour implanter et entretenir le tout pour si peu... Et même «démolir» la porte St-Jean pour faire passer les fils! Et la reconstruire par la suite, uns fois ce système révolu... Et maintenant, même si les médias n’en parlent plus, il semble que nous allons récidiver avec un système de transport qui s’apparente à un tramway. Bien sûr il sera plus moderne, mais l’hiver existe toujours, lui. Il n’est pas plus moderne, il est toujours imprévisible. Mais qu’ils fassent un tramway, ou encore un monorail, c’est de payer pour ça qui m’irrite le plus! Car je n’utiliserai pas ce système de transport. De plus, nous avons déjà un système de transport en commun. Un système qui devrait être modernisé, pour le rendre plus efficace. Je suis tanné de voir des autobus vides, des autobus qui prennent toute la place dans le trafic. En plus, je paie pour ça! Autre phénomène intéressant, les cyclistes. Je suis moi-même un cycliste, parcourant près de 2500 km par été. Pouvez-vous m’expliquer ce que certains «pédaleux» font au travers des voitures en pleine heure de pointe? Grillant des feux rouges, passant outre les arrêts? De plus, en l’absence de piste cyclable, nous sommes forcés, en tant qu’automobilistes, à changer de voie pour les doubler! Sachez messieurs les cyclistes que vos pieds peuvent se «déclipper» des pédales, que le code de la route ne change pas pour vous. Et que se promener au travers des voitures en pleine heure de pointe est très dangereux. Alors considérez-vous comme avertis! Et lâchez les médias... Bref, respectez le code de la route.

Petit train va loin.

Encore une autre journée qui va passer aux anales de Lado Lettrage. Après seulement deux jours, je me sentais plus «démoli» qu’après une semaine à «wrapper» des wagons de train! Inutile de vous dire que c’est dur à accepter. On dirait que je suis rouillé! Dans le sens d’avoir perdu l’habitude de travailler aussi fort physiquement. Je pense que ça va se tasser, mais pour l’instant, je me sens pas super. Mais au moins j’ai bien dormi. Et ce projet d’enveloppement qui s’étire... Que d’imprévus! À commencer par les graphiques qui ne sont pas de la bonne dimension. Celui du panneau arrière est trop petit. Ceux des côtés, trop grands. Impossible des les positionner adéquatement. Chaque morceau  pour envelopper les pare-chocs est vraiment trop court, au moins de trois pieds! Pour ce qui est de celui qui va sur le hood, bien disons que l’image est imprimée trop large, je suis incapable de ne pas «couper» le logo ou bien l’image mise en vedette. Sans compter certains détails comme la plaque d’immatriculation qui ne veut pas se dévisser, même chose pour l’essuie-glace arrière! Et puis il y a une aile, celle avant gauche, dont la peinture m’inquiète, tellement elle ne tient pas en place. Il y a aussi le pare-chocs arrière qui est «démanché» du haut. Mais il sera beau! J’ai pensé à des stratégies pour y arriver. Mais le temps supplémentaire utilisé pour tout ça repousse encore une fois l’ouvrage dans la semaine prochaine! Un jour à la fois, on se calme! Hier soir, j’en avais mon voyage, je bougonnais pas mal! Aujourd’hui sera mieux! On s’en reparle!

Ouf!

Quelle énorme journée ce fut hier. J’ai terminé à 21:00. On redémarre la machine ce matin, encore un peu de gaz. Parlant de gaz, il n’y a rien de drôle avec le prix au litre d’essence. Les cartels nous font la guerre et semblent vouloir nous achever! Je ne sais pas combien de temps ce délire va durer, mais cela va briser tous les marchés. Cela m’attriste énormément, et ça me rend perplexe par rapport à notre avenir financier. Si on arrive jamais à prendre le dessus, c’est bien parce qu’il faut vivre au-dessus de nos moyens! COmment faire autrement? Toutes les fois que je m’impose une certaine austérité, il n’y a que moi que ça «punit». Et puis j’ai hâte de reprendre les commandes de mon bateau. L’hiver fut dur, le printemps l’est tout autant. Des coûts imprévus de chauffage, de voiture qui brisent, des factures d’essence qui ennuagent nos fins de semaines, des clients qui retardent de plus en plus de payer... Bref, il me faut pédaler un peu pour passer cette rage! C’est ce que j’ai fait ce matin, pédaler et constater qu’il faisait beau, malgré les nuages. Que le thermomètre indiquait 13 degrés! Vraiment génial! Et puis ça permet de mettre un peu de côté ces pensées négatives! Nuageux ce matin, mais au moins nous sommes en vie et prêt à travailler. On lâche pas!

Et vlan!

Après une fin de semaine de trois jours, remplie de multiples opérations pour rencontrer l’été, je me retrouve un mardi matin avec un horaire rempli au bouchon, incapable d’insérer quoi que ce soit dans mon temps. Honnêtement, je me sauverais en courant pour ne pas faire cette semaine. Wrap toute la journée et petit rendez-vous avec un client. Souper d’affaires ce soir pour un contrat ce samedi. Finalisation du wrap demain matin. Ensuite travail sur un Mustang vintage le reste de la journée. Spectacle stageband tout de suite après le souper. On est rendu à jeudi, nous allons rencontrer l’endocrinologue avec notre plus jeune. Le reste de la journée sera dédié à la production. En soirée je dois aller récupérer des meubles que nous avons achetés il y a un mois. Vendredi, je suis à Sainte-Marie de Beauce, à travailler sur des vitrines extérieures, je devrais en avoir pour la journée. Malgré tout ça, il serait pertinent de ma part de pouvoir imprimer certains trucs aujourd’hui , sinon je serai un peu serré. Mais comment tout cela a-t-il pu arriver? Et si mon souper est concluant ce soir, je vais travaillaer tout mon samedi! Voilà pour cette semaine. Alors ne me cherchez pas, je serai occupé. Mais je suis fier de ma fin de semaine alors que nous avons complété une plate-forme de huit pieds par huit pieds pour notre cuisine extérieure. Sans compter les deux balades en vélo de 42 km chacune. Mais hier soir, la personne à qui appartient le véhicule que j’enveloppe aujourd’hui est venue le porter vers 21:30. J’étais couché! J’ai pris le message qu’elle m’a laissé, (à 21:10), ce matin! J’ai trouvé ça un peu bizarre. AU moins le véhicule est ici. Je dois le préparer, ensuite m’en donner à cœur joie! Donc je vous laisse, le travail m’attend!

La semaine a été dure.

Déjà vendredi!  Zéro degrés, isshhh! Ça fait plusieurs semaines que je fait cette affirmation! Et combien de fois l’ai-je fait dans ma vie? Les enfants grandissent, ils occupent quand même nos pensées. Même que des fois je me demande pourquoi est-ce autant? Puis je reviens à la normale, essayant de comprendre le mystère de la vie. Le questionnement à propos du prix de l’essence qui augmente sans arrêt. Le questionnement à propos des personnes âgées qui ont fini de payer leur maison depuis longtemps, mais qui doivent vendre leur propriété parce qu’ils ne sont plus capable d’en payer les taxes. Questionnement à propos du fait que, si je devais acheter ma propre maison aujourd’hui, je n’en serais pas capable! Je veux bien me contrôler, mais je sens que certaines choses me dérangent très profondément. Je vois les choses aller, je comprends tellement trop ce qui se passe. De plus, je ressens l’énergie autour de moi qui oscille entre le noir et le blanc. QU’arrive-t-il donc? Personne n’est à l’abri du Maîîttrre. Il butine ici et là, renversant ceux qui ne pensent pas comme lui. Il finira par comprendre que certains obstacles sont plus durs, plus creux. Mais  pour l’instant, il dépense l’argent de la province comme si il en était le premier ministre. On dirait que les gens qui ont une tribune ont peur de lui. Ceux qui n’ont pas peur, il ne veut pas les rencontrer. Dans ma tournée de lundi chez les commerçants, certains me partageaient leur difficultés. Juste les taxes, c’est un casse-tête! Imaginez pour le loyer! Et il faut réussir à faire de l’argent. Sinon à quoi bon être en affaires? SI on regarde les services publiques, on dirait que ce sont les employés qui sont propriétaires! Ou même actionnaires! Car les organismes publiques ne font pas d’argent. Leurs employés, eux, peuvent en faire. Mais peu importe, tout ce qui est publique tombe en ruine, beaucoup de services sont déficients, et la dette, elle, elle augmente! Et puis, peu importe le genre de semaine qu’ils auront, ils seront payés quand même! Donc je dois continuer à me concentrer sur mes objectifs, resserrer mes œillères et sourire! Bon vendredi!

Jeudi matin.

Hier je finissais la journée avec un peu de comptabilité. Nous avons fait le tour des comptes recevables, mais aussi de certaines anomalies. Des factures non envoyées, ou encore qui ne se sont pas rendues... Histoire de récupérer un peu d’argent. Ce matin, après un peu de vélo, je trouve que je dois vraiment travailler plus. C’est sûr que j’ai mon imprimante à payer, mon camion et bien d’autres choses, mais je dois m’encourager à y arriver. Qui le fera anyway? Des fois je me demande, des fois je me remets en question... Finalement je continue comme ça va. Un jour à la fois, en essayant de garder une certaine cadence. Mais je sens qu’une certaine fatigue commence à me tirailler pas mal. Armée de sa tristesse, elle me tire énormément de jus! Et le téléphone qui sonne tellement! Ce sera un bel été. Pour la température, on verra, il n’y a rien de plus imprévisible! Pour l’instant, c’est un peu moche comme chaleur et comme ensoleillement. Les hausses de prix, de taxes et d’impôts continuent de nous enlever ce que nous gagnons jour après jour. Je ne dis pas que je suis découragé, mais je trouve que nos dirigeants ne nous donnent aucun répit. Il est facile de l’échapper un fois le premier verre dégusté! Donc je me rabats sur mes écrits et mes dessins. Je suis un peu coincé dans mes pensées, les gens perçoivent en moi une certaine tristesse. J’espère que ça va passer bientôt. Un jour à la fois, rien ne sert de courir. À plus!

On travaille, on travaille...

Zéro degrés ce matin. En 2016, il avait neigé! Mais comme il faut vivre le présent, je suis allé mettre de l’essence hier soir... C’était plus cher qu’en 2016! Bientôt, ça coûtera 100$ pour faire le plein d’une sous-compacte! Vraiment pas drôle! Qui mêne dans ce monde? Les plus forts? Exact! Ceux qui trouvent que ce sont les autres qui doivent payer! Car c’est ça depuis que je suis tout petit! Par contre, cette façon de faire a fait son temps. SI payer les salaires de l’état fait augmenter le prix des biens à la consommation, alors ça ne me convient plus! Je veux devenir utilisateur payeur. Je suis tanné de payer pour les autres. Et, ne trouvez-vous pas ça étrange, que des médecins soient en politique? Qu’ils gagnent un salaire annuel «déclaré» très inférieur à celui de leur profession? Qui croit ça? Suis-je le seul à me sentir flouer de toutes parts? Je suis brûlé, à bout de ressources. Je ne sais plus comment y arriver. J’ai beau faire attention pour ne pas trop dépasser les limites, ça ne change rien. Le coût de la vie montre beaucoup plus vite que mon produit annuel. Je ne suis pas capable de fournir. On dirait que je cours, sans arrêt, avec aucune chance de rencontrer l’arrivée. Que je cours depuis des jours, sans jamais m’arrêter. J’ai développé une certaine endurance, mais les ravitaillements commencent à se faire rares,la cadence n’a pas diminué et mon corps s’use... Voilà ce que je pense! Je suis à la recherche de nouveaux projets, dans lesquels je serai heureux, avec carte blanche sur les moyens d’y arriver. Car tous les sacrifices qu’il a fallu faire depuis dix ans se doivent de ne pas être en vain. On s’en reparle, je dois aller travailler!

Songes

La semaine débute en lion! Hier j’ai fait la tournée pour le tournoi de golf des gens d’affaires, aujourd’hui je dois revenir dans mes affaires et produire au maximum! J’ai une installation ce matin chez Roulottes Chaudière et en après-midi, des autocollants à installer sur un Mustang vintage. Mais aussi un tas d’autres trucs à faire en même temps! Je ne dis pas que c’est dur ou que c’est facile, c’est intéressant. Chaque journée a son lot de nouveautés. Je dois créer chaque jour, innover pour mieux y arriver. J’aurais besoin de plus de temps pour faire du «PR» dans mon quartier, pour promouvoir le tournoi de golf et pour éclaircir certains dossiers qui me chicotent, mais c’est la famille en premier, ensuite ma business. Le reste, c’est du bénévolat. Ça doit s’apparenter un peu avec les loisirs, sinon ça peut devenir lourd. Très lourd. Mon métier me garde alerte, toujours à l’affut de l’inconnu. J’ai beau me laisser plus de temps dans mon horaire, des fois, ça devient serré quand même. Et c’est la période des appels téléphoniques, les gens veulent tous leurs choses en même temps, le plus vite possible, et le moins cher possible. Des choses que je ne suis pas toujours capable de livrer. J’essaie de choisir des projets qui me font du bien, qui gardent la passion bien éveillée. Comme je dessine un peu plus ces jours-ci, on dirait que ça me garde loin de certains soucis, comme l’avenir de mes enfants. Et puis, le camping qui prend vie tout doucement, cela aide mon sourire à devenir plus présent. Bien sûr, il y a beaucoup à faire, mais cela est bien différent du quotidien. Le quotidien, c’est le stress, c’est gagner sa vie. Le camping, c’est les loisirs. Donc ce que j’y ajoute est pour mon bien. Donc je pense une journée à la fois. Dix degrés ce matin, encore du vélo dehors, ça fait du bien! Chaque matin a son cachet qu’il faut savoir apprécier. Cela détermine souvent le reste de la journée.

Lundi matin!

Nous revoilà revenu lundi matin! Six beaux degrés, soleil! La fin de semaine trop remplie fut agréable. Vendredi soir, une revue musicale au Juvénat suivie d’une petite bière chez les barons. Très plaisant! Samedi matin, visite au Costco pour quelques victuailles et surtout un nouveau Barbecue pour le camping. Une fois sur place, malgré un vent très (trop) frais, nous vidons le camion de sa cargaison. Une heure plus tard, force est d’admettre que nous étions pas mal chargé! Quel bon temps ensemble, juste nous deux, les parents! Travailler ensemble, partager un breuvage ensemble. Nous avons assemblé le BBQ, il est beau et chauffe très vite! Je ne regrette pas mon choix. AU début, j’hésitais, me disant que ce serait mieux avec grilles en acier inoxydable. Mais avec du recul, et aussi avec un budget plus réaliste, je trouve que notre acquisition est vraiment bien! J’ai aussi fait quelques petites retouches sur notre frigo, que je voulais faire l’an passé. Au camping le temps s’arrête, plus rien ne presse. Et puis, de retrouver notre roulotte, c’est comme retrouver la liberté. Le droit de vivre sans personne pour nous dicter comment faire. Ces jours-ci, j’ai bien de la misère avec la convergence que notre société provoque. L’augmentation drastique du prix de l’essence, celle qui suivra dans pas long de tout ce qui est relié à ce coût; l’augmentation du salaire minimum et toutes les conséquences que cela entraînera. À long terme, ça ne me dit rien qui vaille. Ensuite, la politique qui s’emballe. Les partis qui se déboîtent d’eux-mêmes, se sentant coincés par leurs décisions sans queue ni tête. Les auteurs de tous nos malheurs qui se garochent en bas du bateau; bateau qui coule sous le poids des dettes, bateau percé qui prend l’eau, «grugé» de l’intérieur... Bravo à tous ceux qui se sont impliqués de près ou de loin à l’effondrement de nos avoirs, à ce gaspillage maladif. Je ne peux que constater vos exploits, incapable de changer quoi que se soit. C’est très malheureux. SI je faisais un bilan des deux dernières années, je crois que ça gâcherait ma semaine tellement c’est triste et dur à prendre. Mais il parait que des gens ont voté pour eux, alors la majorité l’emporte! Amusez-vous bien!

Ça commence à être vraiment trop...

Alors que je ne m’étais pas encore remis de la dernière augmentation du prix de l’essence, voilà que le prix grimpe encore! Cette fois 1,399$!! Comme nous ne pouvons rien faire pour que ça change, aussi bien rester à la maison et ne rien faire. La catastrophe se poursuit. Il n’y a rien de comprenable dans tout ça. Taxe du carbone, alors que nos chemins sont les pires au Canada! Et puis, qu’en a-t-il à foutre, le PM, avec tout ce qu’il nous refile en péréquation! Malgré que son mandat est en partie à cause des québécois. Pour une raison obscure, bien des gens ont voté pour lui. Je n’en connais pas, mais comme la castafiore dans le temps, il a été élu par des votes. Lesquels sont impossible à vérifier. Donc nous sommes à la merci de ces tyrans, qui se foutre complètement, aveuglément de nous! Je pense même qu’ils se foutent de tout. Leur politique économique n’a aucun sens. Garder le prix de l’essence aussi haut va débalancer l’économie. Les gens vont cesser de consommer. Les gens vont devenir hargneux, certains vont partir. Qui veut d’un pays au climat nordique, où le coût de la vie est nettement supérieur aux salaires gagnés par son peuple? Ce n’est pas en augmentant le salaire minimum que âge va s’arranger, ni en légalisant de nocives substances! Je suis tannant que mon pouvoir d’achat converge vers le plus bas, je suis tanné que certains groupes influents me dictent quoi faire. Nous avons sorti la religion de nos vies parce que c’était assez! Le «green» a pris la place de la religion, nous sommes à ses genoux, impuissant devant la dictature du Trou d’eau, du couillon et du Maîîtttrrre... Je suis vraiment bien dans mon bureau. Bon vendredi!

Vraiment tanné.

Que pensez-vous du trou d’eau que vous avez élu? Sa grande ouverture, ses selfies, sa façon de s’adresser aux gens, etc. Je crois que la farce a assez duré. Il y a quelques jours, j’ai pogné les nerfs sur le fait que j’étais tanné de me faire dire comment vivre. Et entendre notre PM dire que les prix très prohibitifs de l’essence à la pompe est bon pour nous, pour que nous ayons un bon comportement, c’est vraiment de la dictature. De quoi se mèle-t-il? Qui est-il pour juger de ce qui est bon pour nous? En quoi de telles déclarations nous représentent? Je ne sais plus quoi penser. Le prix de l’essence est une catastrophe pour tous les canadiens. Car cela fait augmenter le coût de la vie beaucoup trop vite! Ceux qui récoltent des taxes, eux, sont morts de rire, car l’argent coule à flots... Nous sommes pris au piège, pris en otage, et nous ne pouvons rien faire. Comme mardi prochain, le 15 mai. Le transport scolaire sera en grève! La commission scolaire nous a avisé de ce fait et nous a dit que nous étions responsables du transport de nos enfants. En quoi nous faire un coup de cochon pareil règlera le problème? Pourquoi nous priver d’un service que nous avons payé? Peu importe le conflit, leurs revendications, en quoi est-ce que ça nous regarde? Est-ce à cause des enfants qu’il s font la grève? Est-ce à cause des parents? Même chose pour les enseignants, «l’enseignement sous pression»! Faut-il pleurer? Quand j’allais à l’école, les professeurs surveillaient aux récréations, ils dînaient avec nous, se souciaient d’être un bon exemple pour nous. Vous oubliez l’essentiel : c’est un privilège d’avoir un travail. Réveillez-vous! Écoeuré en simonac!

Ouin...

Bon matin! 8 degrés ce matin, je suis allé pédaler dehors! Ouf! Inutile de dire que j’ai trouvé ça dur. Mais c’était enchanteur! Quand je termine ma saison, je pédale deux mois en noirceur. C’est un peu triste et le décor, très plate. Mais ça garde la magie du dehors! Mais dans mes notes, je vois que l’an dernier, il avait neigé! Comme les saisons passent, mais ne se ressemblent pas. Ça fait partie des charmes de la vie. À force de toujours s’orienter sur les belles choses, on finit par y arriver automatiquement! Mais si chaque saison revenait, année après année, en étant toujours pareille, ce serait plutôt moche. Mais une chose est sûre, côté politique, c’est toujours la même rengaine! Bourrer le monde de menteries, faire des promesses qu’ils ne tiendront pas, faire semblant que tout va bien et qu’ils ont la cote! Je ne sais pas si tout ça est de la politique, mais je sais en tous cas que ça ne marche que pour ceux qui font les promesses; ça ne marche que pour ceux qui content des menteries. En tant que citoyen, nous sommes complétement désabusés, à bout de ressources. Quand nous entendons les publicités à la radio concernants les enseignants, que faut-il en penser? Quand on apprend que le transport scolaire sera en grève mardi prochain et qu’il faudra «voyager» nos enfants, que faut-il tirer comme conclusion? Que les chauffeurs ne soient pas contents de leur sort, ça se peut, mais en quoi ça justifie de couper le service qu’on paie? Que les enseignants soient mal dans leur situation, ça se peut, pourquoi nous écœurer avec ça? Nous on continue de payer! Je comprends qu’ils sont gérer par des syndicats, mais je comprends aussi que cette façon de faire est dépassée. Pendant que ce cirque continue, les routes sont toujours en décrépitude! Le prix de l’essence continue de nous brimer! Je pourrais encore en dire, mais je suis un peu tanné de taper sur le clou... On s’en reparle.

En feu!

Remarquable est le mot pour ce matin! Il faisait clair à 4:45, le ciel complètement dégagé! C’est la première fois de l’année 2018! Et c’est merveilleux! Je crois que bouger un peu chaque jour est une responsabilité personnelle, gérée par chacun de nous. Quand tu ouvres les yeux, qu’il fait clair, qu’il fait beau, ça donne le goût d’accomplir des choses, de faire de sa journée une réussite! Oui, le soleil, la luminosité accentuée, aident à garder le moral; ça donne envie de grandes choses! Ça c’est merveilleux! Et comme le printemps semble enfin arrivé, à mi-chemin de sa course, autant en profiter! Nous sommes allés au camping hier, petit souper et quelques préparatifs. Le terrain avait perdu au moins la moitié de l’eau qu’il contenait la veille! Incroyable! Nous avons ouvert les extensions, drainé les tuyaux de leur antigel, installé le propane, l’électricité. Ça commençait à ressembler pas mal à une zone de relaxation! Et ça, c’est un «must» pour la saison qui s’en vient! Le téléphone sonne beaucoup, les contrats entrent pas la grande porte! Il ne me reste qu’à travailler! Et oui! Plein gaz! On se reparle bientôt!

Déjà lundi!

Comme le temps passe vite! Peu importe la circonstance, le lieu, la date, ça passe tellement vite! À peine arrêter un vendredi soir, nous voilà lundi matin! Mais ce fut une fin de semaine extraordinaire. Nous avons réussi à enlever les deux garages de toile et râcler une partie du terrain! Nous sommes allés à Sainte-Rose porter un foyer et aussi un congélateur à mon père. Nous avons mangé comme des rois! J’ai pu apprécier mon petit camion sur la route! J’ai aussi préparé ma tondeuse pour l’été, ainsi que «ranger» la souffleuse pour un bon dodo. En espérant ne pas m’en servir avant le mois de décembre! Nous avons lavé les autos, étant donné que la pluie semble nous laisser tranquille pour quelques jours. Nous sommes allés au camping constater que l’hiver fut très dur. La toile protectrice du gazébo a probablement donné son dernier souffle. Les toiles transparentes ont souffert énormément du vent et du froid. Le terrain est tellement imbibé d’eau, difficile de dire quand ce sera mieux. Même sous la roulotte, le sol est très mou. Je ne sais pas si c’est un bon temps pour mettre le tout au niveau. Et, pour faire simple, j’avais oublié les clés du cabanon! Donc nous n’avons pu récupérer le fil pour l’alimentaion électrique, ni les réservoirs de propane! Nous avons planifié d’y retourner ce soir. Car la fin de semaine arrivera très vite, et comme c’est la fête des mères, il serait plus intéressant d’avoir avancer un peu plus les choses! Tout reste à voir, mais je crois que ce sera une belle saison. Car si on fie aux médias, la vie ne pourrait être qu’un mauvais moment à passer. Bonne semaine!

Qu’arrive la fin de semaine.

Quatre degrés ce matin. Hier quand je suis allé faire le plein, je n’imaginais pas me rendre à soixante dollars. Mais le gouvernement se dit impuissant devant les cartels. Pis moi, je suis le petit chaperon rouge! S’il ne fait pas partie de ce cartel, il en profite! Alors comme je suis content d’avoir changé mon gros camion! Bien sûr, j’ai maintenant un paiement chaque mois, mais mon véhicule ne brise pas, il est plus récent et surtout, plus économique! Bref, j’ai trouvé ce côté plus joli dans mes pensées! Car en allant faire l’épicerie, quelle dure réalité il faut affronter. La hausse constante des fruits et légumes, et le reste qui va suivre, à cause du prix de l’essence et de la hausse du salaire minimum. Car ce ne sont pas les employeurs qui absorberont la hausse à long terme, c’est nous! Alors il faut s’accrocher à la vie, continuer de la trouver belle. Et puis, nous sommes vendredi! Il faut s’encourager en trouvant le tour de dire quelques niaiseries. Jouer un bon tour, rire à en pisser dans ses culottes! Tout à l’heure, j’ai une réunion avec le CA des gens d’affaires, ça va faire différent. SI la tendance se maintient, je n’ai pas prévu d’installations aujourd’hui et je n’ai pas l’intention de me lancer dans de gros projets. Bien sûr je devrais en profiter pour avancer des choses à la maison, mais la température, jusqu’ici, semble ne pas vouloir être très docile pour nous aider la fin de semaine ou certains soirs. Et comme je n’ai pas tellement d’énergie en réserve, je ne fais pas trop de zèle! Bref, je ressens le besoin d’accéder à du repos!

Inquiet.

Hier, il a fait 18 degrés! Soleil. Mais ce fut de courte durée, car vers 14:30, il s’est mis à pleuvoir. Ce matin, avec six degrés au compteur, il pleut et c’est très gris. On dirait que je prends le dessus un peu sur ma fatigue. Je déteste me sentir aussi fini. Je poursuis mes journées, ancré dans une certaine routine, mais tellement «pas là» que je n’arrive pas à me rappeler la moitié de ce que j’ai fait. Ça m’inquiète vraiment. Donc je tente de me reposer le plus possible. Ce matin, je me suis réveillé par moi-même, ce qui est bon signe. La semaine avance bien, je me demande quel genre de vendredi j’aurai. Je n’ai rien mis à l’horaire, mais comme il annonce de la pluie, je vais sûrement me trouver un peu de travail... Difficile de se trouver des congés, difficile d’arrêter. Et avec le coût de la vie qui monte plus vite que n’importe où sur la terre, comment arrêter sans se sentir coupable? Nous vivons au dessus de nos moyens, sans toutefois exagérer. Si on se fie à ce que nos dirigeants proposent, nous devrions être à l’aise avec 65 000$ par année pour une famille de quatre. En est-il la même chose pour lui? Est-ce que nos dirigeants vivent bien avec ce salaire annuel? VOulez-vous me faire pleurer? Nous travaillons jour après jour, sans jamais voir le bout. DEs fois je pense à ce que ce sera dans dix ans...et j’arrête immédiatement. Je me concentre sur le présent, le beau, ensuite je repars! Je me garde en forme, prêt à travailler encore bien des années. Mais je ne sais toujours pas comment y arriver. Je ne pourrai garder cette cadence jusqu’à mon départ de cette vie. Mais les années passent, rien ne s’améliore vraiment. Je n’arrive pas à prendre le dessus. Tout augmente, que ce soit les biens à la consommation ou le prix de mon matériel, impossible de passer au travers. Le dernier trimestre fut vraiment déficitaire, et j’en essuie les dégâts depuis. Pourtant la fin de l’année fut pas si mal, le bilan de l’année aussi. Mais pas exceptionnel. Et ça, je travaille vraiment fort pour y arriver! Et j’apprends chaque jour, ça me garde allumé, mais pour combien de temps?

Beaucoup tanné...

Déjà mercredi! Six degrés, très gris. Encore une autre journée qui sera bien remplie. Le prix de l’essence demeure au dessus de 1,30$ le litre, et ne semble pas vouloir redescendre. Je crois que la farce est de très mauvais goût, je crois aussi qu’avec le salaire minimum qui est passé à douze dollars, rien ne va plus. Qu’est-ce qui justifie cette augmentation de 75 cents de l’heure? Et est-ce que j’ai une augmentation, moi? Est-ce que mon épouse a droit à une augmentation? Jusqu’à maintenant, être devenu saisonnier au camping relève d’un coup de génie par rapport au prix de l’essence. Avoir changer de véhicule aussi! Et cette hausse du salaire minimum me confirme que je n’aurai pas encore d’employé cette année. Je crois même que certains ont perdu et\ou vont perdre leur emploi à cause de cette hausse. Non mais quelle province de tarés! Je le répète, un taré, c’est quelqu’un qui ralentit l’évolution de la société. Les gens, ici, veulent payer plus de taxes! Ils pensent que de faire «payer» des taxes à des multi nationales, c’est faire valoir ses droits et faire entrer de l’argent nouveau! QUi va payer les taxes selon vous? Merci aux grandes gueules qui continuent de faire en sorte de presser le citron... Peu importe les solutions que nous apportons, il n’y a aucun moyen de s’en sortir! Chaque fois qu’on pense avoir trouver une façon de rendre la vie plus «facile», il y a quelqu’un qui s’y oppose, et hop! La police du fun intervient et on cherche le prochain dossier à taxer! Je vais continuer de me concentrer sur l’essentiel, mais je crois que je fais déjà de mon mieux. À plus!

Sur mes gardes.

Bon matin! Encore un petit 4 degrés ce matin avec une grisaille digne de Londres. Ce sera encore une journée bien remplie! Depuis quelques temps, sûrement à cause d’une certaine fatigue, je vois ces âmes, celles qui nous étudient, qui nous espionnent. Elles sont là pour une raison précise. Je n’ai jamais su vraiment pourquoi, mais plus jeune, je mettais toujours un fond de musique pour «masquer» leur bruit. On aurait dit que j’entendais une sorte de bruissement, et parfois, des coups de planche, très distincts. Mais comme ce n’était pas tellement fort, je ne l’entendais qu’une fois le silence venu. Alors je me privais de silence. Des fois, je me surprends à être dans un certain silence, et j’adore ça! Par contre, l’habitude de la musique est restée; j’aime en écouter, cela m’aide à me concentrer. Cela m’a aidé aussi à surmonter bien des épreuves! Donc je vois ces «silhouettes», qui attirent mon attention. Chaque fois que cela arrive, ce n’est pas bon signe. Mais je m’efforce de passer à autre chose, de tenter de les ignorer. Ressentir l’énergie autour de moi, surtout pendant la période des impôts, c’est difficile! Surtout quand j’ai besoin d’énergie nouvelle, positive. Mais je me demande ce qu’elles veulent me dire. Avec le temps, je n’ai pas réussi à les apprivoiser, mais je sais que leur façon de se montrer n’est pas tout à fait involontaire. Alors je reste tout de même aux aguets. Leur manifestation m’agace énormément, et pendant des années, j’ai cru que c’était moi qui était malade, «dérangé». Aujourd’hui nous sommes le premier jour de mai, la période des impôts est terminée, j’espère que tout rentrera dans l’ordre. Et puis, ça commence à sentir les élections un peu trop à mon goût, une autre période «d’énergie» difficile à gérer. Alors je me concentre et je me garde occupé! On s’en reparle.