Un brin de panique...

HIer je me demandais ce que je pourrais bien faire pour améliorer ma situation de travail. Non pas que je sois malheureux, mais je suis épuisé. On dirait que je n’arrive pas à prendre le dessus. Mais rien de vraiment attractif ne m’a accroché. Embêtant d’y réfléchir, de trouver des solutions probantes. Il y a toujours la solution d’aller travailler pour quelqu’un. Jusqu’à maintenant, ce serait en dernier recours. Parmi les choses qui me fatiguent beaucoup, il y a la comptabilité. Les comptes recevables! Parlons-en! Comment se fait-il que certains clients, fidèles depuis des années, bon payeurs, deviennent soudainement silencieux et lent à payer. Toutes les raisons sont bonnes pour étirer un paiement. Au début, c’était la joie d’avoir un terminal de paiement, j’avais réussi à baisser les recevables de 5000$. Mais le temps passe, l’économie s’enlise, les gens ont de moins en moins de marge de manoeuvre. Mais je ne suis pas devenu entretemps une institution financière. Bref, les temps sont durs. Rien ne semble vouloir changer non plus pour améliorer le tout. AU contraire, le prix prohibitif de l’essence à la pompe est le sujet de tous. Cette catastrophe doit arrêter au plus vite! Et le dernier mois ne m’a permis de trouver de nouveaux moyens d’être heureux par rapport à ce cartel. Nous n’avons pas changé notre train de vie, mais nous n’avons plus les moyens de l’avoir. J’essaie de convaincre mon épouse qu’il faut faire quelque chose, je lui suggère des moyens. Elle est comme tout le monde, elle préfère faire semblant que ce n’est pas la réalité. Elle veut continuer sa vie comme si de rien n’était, sans augmenter ses revenus. Moi je commence à paniquer. En plus, quand je lui en parle, elle me dit que je pollue l’air ambiant. Il va falloir que je me force encore beaucoup plus pour trouver une solution. Les comptes rentrent sans arrêt, sont toujours un peu plus chers, mais nos revenus n’augmentent pas! Pas besoin d’être un comptable pour comprendre ça. J’ai hâte de trouver des solutions.