vendredi 12 septembre 2014

Quoi faire?

Comme la pluie a mouillé, qu'est-ce que le spasme de payer? Nelligan serait très malheureux dans sa poésie. Ne l'était-il pas déjà? Il me semblait plus dans la lune que triste.  Peut-être que c'est lui qui avait la solution, être dans la lune la majorité du temps. Comme ça, nous n'aurions pas à sentir que les dirigeants se foutent de nous. Nous n'aurions pas à pleurer que plus le temps passe et plus nos poches se vident à chaque année. Les taxes, l'impôt, la santé, l'électricité, les immatriculations, les prix «planchers», le prix du litre d'essence et j'en oublie tellement, ne finissent plus d'augmenter! QUe nous reste-t-il? La vie coûte tellement chère, jour après jour, un essoufflement se fait sentir. Il ne faudrait pas que les taux d'intérêts montent, je pense que les gémissements de certains nous empêcheraient de dormir. Pourtant, des solutions simples sont apparues avec le temps, mais personne n'est prêt à faire de sacrifices ou de changements. Où il ya des hommes, il y a de l'hommerie! De par sa nature, il est tenté d'en avoir toujours plus. À un moment donné, il ne reste plus rien dans nos poches. Mais semble-t-il qu'il faudra encore en trouver. Je ne sais où. Faire payer les citoyens n'avance en rien. L'épuisement général n'amènera que des baisses au niveau du PIB. Car les maladies professionnelles, les «burnout», les faillites ne feront que coûter plus cher au système. Sans parler de la population qui ne cesse de vieillir. Et ce n'est pas toutes ces augmentations qui favoriseront l'augmentation des naissances. C'est comme si, petit à petit, les décideurs coupaient la branche sur laquelle ils sont assis. Toutes leurs décisions sont vouées à un échec. Et le mécontentement général commence à miner l'humeur des travailleurs. Bon vendredi!

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Faire en sorte que chaque jour soit une réussite!

Oui monsieur! 20 heures 30, encore dehors en train d'écrire, en écoutant la nouvelle toune de Luke Combs! Sous le gazebo, il fait si bon...