lundi 11 février 2019

Lundi matin.

Ouf! Voir une photo de ce personnage de théâtre à l’assemblée nationale, c’est comme si je voyais les taxes monter encore un peu. Non mais on s’est fait fourrer pas à peu près aux dernières élections! Un gouvernement qui ne s’occupe en aucun cas des personnes qui l’ont élu! On dirait un remake des élections municipales! Pourquoi nous faire ça? COmbien de temps pensez-vous que l’élastique va continuer de s’étirer? Je ne sais pas pour vous, mais ke mien commence à perdre de sa souplesse. On dirait que ça commence à affecter ma santé mentale. J’essaie de comprendre ce qui arrive, de vraiment rester debout et affronter tout ça, mais j’ai bien plus le goût de partir. Laissez-nous tranquille avec vos rêveries qui nous coûteront encore plus cher! Vous êtes insatiables! Vous êtes comme les autres qui veulent syndiquer la terre entière! Vous avez oublié pourquoi vous êtes là! Vous avez mis de côté la vraie raison pour laquelle vous fûtes formés à la base! Je pense que les artistes veulent retourner dans le temps, alors que les meilleurs «séducteurs» vivaient à la cour du roi. Maintenant ils vivent dans le cercle des dirigeants. Les autres, ceux qui recrutent et signent des conventions, vous outre-passez l’entendement humain, vous vous foutez complètement de vos membres, seul les argents récoltés vous intéresse! Et c’est désolant! Je ne sais pas pour vous, mais pour moi, je ne vois aucune porte de sortie, seulement des façons «d’adoucir» ce mal. On dirait que nous avons une maladie incurable, à laquelle on ne peut qu’avoir un certain soulagement. Impossible de s’en sortir. EN tant que président de la chambre de commerce de mon milieu, je ne peux que me sentir mal. Voir ces gens, payer pour nous fourrer! Ils prennent notre argent pour nous étouffer! En œuvrant dans un milieu bénévole, je veille à ce que notre groupe ne gaspille en rien l’argent de nos membres. Je m’assure de redonner au maximum pour valoriser et bien représenter les commerçants. Ceux qui se mettent la tête sur le billot. Alors on s’en reparle le plus tôt possible, bon lundi matin, moins dix-huit degrés!

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Faire en sorte que chaque jour soit une réussite!

Oui monsieur! 20 heures 30, encore dehors en train d'écrire, en écoutant la nouvelle toune de Luke Combs! Sous le gazebo, il fait si bon...