mercredi 8 octobre 2014

Les habitudes

Être devant une feuille blanche ne m'a jamais angoissé. Si je ne dessine pas, alors j'écris. De toute façon, j'ai toujours quelque chose à dire. Et puis, depuis le plus loin que je me souvienne, j'ai toujours eu un opinion sur tout. Certaines gens trouvent que je parle vraiment beaucoup. Même que parfois, ils sont inquiets lorsque je ne parle pas beaucoup dans une conversation. Moi je trouve que ça va bien. Avec le temps, j'ai appris à mieux écouter les autres, même que certains m'ont dit que j'avais l'air de les écouter. C'est vraiment merveilleux de constater que l'être humain peut évoluer tout au long de sa vie. Peu importe les circonstances, peu importe son âge. Vu sur cet angle, on dirait que je me mets à dos pas mal de personnes. Tous ceux qui m'ont dit qu'ils étaient trop vieux pour changer. Jamais je ne les ai crus. À force de s'entêter, à coup sûr, on s'empêtre dans nos habitudes. Les habitudes sont typiquement humaines. Mais force est d'admettre qu'une habitude qui ne mène à rien doit être changée. Encore plus une habitude qui éloigne nos amis, nos connaissances! 
Et si notre politique était une habitude, alors il faudrait changer ses habitudes. Car avec la politique, viennent les pots de vin, les enveloppes brunes, le copinage, etc. Je ne suis pas contre, mais cela doit faire avancer les choses! Souvent, les jaloux vont se plaindre que ce sont toujours les mêmes qui ramassent la manne. Ce n'est pas en restant là, les bras croisés, la yeule ouverte, que les choses vont changer. Elles ne peuvent que ralentir, s'emmèler. À quoi bon jalouser les autres. Il faut agir dans notre intérêt. Cela inclut les gens qui nous aident. La personne qui vole son patron n'a rien compris. J'entends par voler, prendre des journées de maladie sans être malade de façon abusive. Fournir son cercle d'amis de toutes sortes de choses disponibles à son travail. Voter des conditions de travail qui indisposent son patron; c'est lui qui paie votre salaire! J'en aurais des tas d'exemples, mais ça prendrait pas mal trop de place. D'accord, où il y a des hommes, il y a de l'hommerie, mais trop, c'est toujours trop.  Prenez le temps de vivre, ne vous cassez pas la tête avec des projets qui, pour le moment, sont inaccessibles. Quand la pluie arrivera, on trouvera bien un moyen d'être à l'abri.

Aucun commentaire:

Faire en sorte que chaque jour soit une réussite!

Oui monsieur! 20 heures 30, encore dehors en train d'écrire, en écoutant la nouvelle toune de Luke Combs! Sous le gazebo, il fait si bon...