vendredi 9 octobre 2015

Méchante chire pour un vendredi!

Je pense bien aller voter en fin de semaine, par anticipation. Mon idée était faite le jour que la campagne a débuté. Ce n'est pas une semaine qui va changer quelque chose. En ces temps plus mous dans notre économie, mieux vaut se tenir tranquille, ne pas trop faire de changements. Continuer à avancer doucement. Mieux vaut faire de petits pas sûrs que de grands pas et tomber! Je ne dis pas d'être frileux, je dis seulement que certains ont démontré leur visage un peu trop à mon goût; ils me laissent sans mots. Est-ce leurs vraies idées ou est-ce seulement pour dire le contraire des conservateurs? Peu convaincant... À croire que personne ne s'en rend compte. Mais je n'ai pas tellement discuté avec les gens. Ils semblent très silencieux, comme des gens qui doutent. Et ça, c'est inquiètant! Je le suis, inquiet, depuis le début de la campagne. J'espère que certains auront appris de la situation en Alberta. Il ne faut pas mettre tous ses oeufs dans le même panier. C'est pourquoi, dans un accord de libre-échange, nous pourrons diversifier notre production à exporter. Se limiter à un seul produit, cela peut facilement nous entraîner vers une catastrophe. CE n'était pas une raison pour élire des NPD à la tête de l'Alberta. Cette ligne de parti aime bien emprunter de l'argent pour continuer les projets. Les libéraux ont toujours fait ça! Vivre au dessus de leurs moyens. Il faut commencer à s'ouvrir les yeux. Ensuite rejoindre les autres, courir à leurs côtés et si possible, les dépasser! Au lieu de jouer à la vierge offensée, opprimée, il aurait fallu se retrousser les manches, apprendre l'anglais et assurer l'avenir de notre province de façon prospère. Mais non, ce qu'ils ont assuré, nous le vivons actuellement. Province de fonctionnaires, qui tire son argent à même ses revenus internes. Pas besoin de chercher de midi à quatorze heures pour comprendre qu'à un moment donné, il faudra arrêter tout ça et recommencer autrement. Je voyais, hier, en ralentissant sur de la Capitale, des gens qui plantaient des arbres, dans un fossé. Et là, j'ai fait un constat. Avant, ces arbres auraient été planté par l'employé de l'entrepreneur engagé par la ville et\ou le gouvernement. Maintenant, ce sont des spécialistes, engagés pour planter des arbres exclusivement. Et c'est comme ça à la grandeur de la fonction publique. Et comme ces gens sont tous syndiqués, impossible de les mettre à pied. Cela crée des doublons un peu partout. Ce surplus d'employés, sans cesse relocalisés finit par nous coûter très cher. Et ce n'est qu'un exemple. On pourrait s'en reparler plus tard, je dois aller travailler!!!

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Faire en sorte que chaque jour soit une réussite!

Oui monsieur! 20 heures 30, encore dehors en train d'écrire, en écoutant la nouvelle toune de Luke Combs! Sous le gazebo, il fait si bon...