mercredi 6 décembre 2017

C'est comme ça!

C'est ce matin que c'est arrivé. En sauvegardant mon texte, mon blogue s'est «déconnecté». Alors j'ai perdu tout mon texte. Cela arrive au moins une fois par année. C'est le genre de chose qui me fait hésiter avant de mettre ma comptabilité en ligne. C'est correct de demander le mot de passe de temps en temps, mais ce serait mieux au moment où j'ouvre l'application. Ou quelque part dans la journée. Car perdre mon texte ne m'enchante jamais. Je ne parlais que de météo, mais cela me garde des référence pour les années à venir. Et puis, écrire, c'est comme étendre sa mémoire. Le même principe qu'un disque dur externe. Quand ton cerveau est fatigué, ce qui est écrit reste écrit. Depuis la première commotion, ma mémoire courte en a pris un coup. Je me demande comment les joueurs de football font pour finir leur vie. Il n'y a rien de facile là-dedans. En ce matin «trempé», maintenant que la pluie s'est arrêtée, difficile d'accepter que le froid va revenir. Froid égal coût de chauffage. Dépense inévitable! Ce serait plus facile à accepter si nos dirigeants nous aidaient un peu. Comme en mettant de l'abrasif dans la rue qui nous sert de patinoire ce matin. En faisant respecter les réglements de stationnement dans notre rue. Juste ça, nous faciliterait l'hiver. Une rue déneigée tout croche n'a rien de plaisant. Bon, je dois y aller, je sens que je vais gâcher mon sourire, à plus!

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Faire en sorte que chaque jour soit une réussite!

Oui monsieur! 20 heures 30, encore dehors en train d'écrire, en écoutant la nouvelle toune de Luke Combs! Sous le gazebo, il fait si bon...