mercredi 6 janvier 2016

Passage à vide

Que de coups de pieds dans le derrière pour me lever ce matin! Visite hier juste avant le souper, visite aussi après, je n'ai pas eu le temps de me ramasser. Mais j'y compte bien aujourd'hui! Mais je ne suis pas encore en 2016. Que de nostalgie quand j'y pense. J'ai travaillé comme jamais. J'ai aussi utilisé mon sourire pour de vraies raisons. J'ai aimé la vie et les gens qui la façonnent. J'ai aussi fait de nouveaux constats en économie et en politique. Certaines journées furent plus dures à passer au travers que d'autres. Mais j'ai réussi à garder le cap vers l'avant et c'est ça qui compte. Car même si on change d'année, quelque part, ce n'est qu'un chiffre. Pour le reste, la vie continue. Par exemple, hier, alors que je sortais de chez Peterbilt, il fallait que j'aille mettre de l'essence. Le poste à gaz le plus près était au Costco. Mardi après-midi, quatorze heures, ça va être tranquille, pourquoi pas? Eh bien non! Au contraire, la file était longue, les gens pressés. Quel bon divertissement de voir ces gens qui sortent à moins treize, petite veste détachée, nu-tête, pas de gants. Stationnés avec la trappe à gaz de l'autre côté, c'est un délice! Mais je n'irais pas mettre de l'essence là si ce n'était pas sur mon chemin. Je suis content d'être mon propre patron, cela me garde de certaines tares dont le monde est pourvu. Mais je dois aussi être un peu dans le vent, histoire de me sentir bien au travers des autres. On s'en reparle.

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Faire en sorte que chaque jour soit une réussite!

Oui monsieur! 20 heures 30, encore dehors en train d'écrire, en écoutant la nouvelle toune de Luke Combs! Sous le gazebo, il fait si bon...