mercredi 4 août 2021

Trente-cinq ans après le monopole.

Dix-sept degrés ce matin, je m'installe dehors pour écrire un peu. Comme j'écris tous les matins que je travaille, on dirait qu'une fois en vacances, ça me manque! Alors je cherche à trouver un moment où je peux m'asseoir et écrire un peu. Le fait d'écrire les choses m'aide à mieux les comprendre. Comme si je les «attrapais» au vol, pour les coller sur une feuille de papier, pour mieux les regarder! Une métaphore, mais c'est un peu ça. Il est presque huit heures, je me sens bien. Cette nuit, j'étais «pris» dans une sorte de rêve qui «continue»; le genre de truc qui se poursuit, même après avoir été aux toilettes, même si tu te réveilles, complètement écoeuré, attristé du contexte, puis, en te rendormant, ça continue encore. Ce que je vivais, dans ce rêve, une oppression sans limite. Avec ma Bibi, nous avions été «tranférés» vers un autre endroit, dans lequel nous devions travailer très dur physiquement. Déménager de la roche, ramasser des structures d'habitations détruites, etc. Nous avions trouvé un endroit pour dormir, où nous avions établi une sorte de place pour «survivre». Ça ressemblait à un grenier de maison abandonnée. C'est un gars qui nous avait suggéré cette place-là. Nous étions les seuls à y avoir établi une sorte d'endroit où les gens étaient les bienvenus. Mais nous étions aussi dans un autre endroit, comme dans une dimension parallèle; en plein conflit politique, où des gens se faisaient tuer selon leur façon de penser! Cet endroit faisait peur, on se croyait en pleine guerre civile. C'était vraiment stressant, difficile à accepter, mais aussi, tellement troublant! Ouf! Je n'en pouvais plus. Donc je me suis levé. Incroyable de constater que lorsque je réussis à relaxer, mon sommeil étant plus calme, mon subconscient me rappelle où je suis, qu'est-ce que je vis. Et que dire des détails dans ce rêve; malgré le fait que j'étais conscient, je n'arrivais pas à m'en sortir! C'était très révélateur de ce qui me hante, enfoui au fond de moi.

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Faire en sorte que chaque jour soit une réussite!

Oui monsieur! 20 heures 30, encore dehors en train d'écrire, en écoutant la nouvelle toune de Luke Combs! Sous le gazebo, il fait si bon...