dimanche 8 août 2021

Partager du bonheur!

Avec les années, j'ai compris que je pouvais prendre des vacances sans recevoir de quatre pourcent. J'ai compris que l'important, c'était de réussir à me reposer. Tout ça, c'est comme une leçon, un apprentissage. Pas tellement évident de relaxer, de réussir à se reposer. Et une fois dans le mood, difficile de revenir à la routine; même que des fois, le retour au travail semble une véritable fiction! Vraiment étrange comme sensation. Hier soir, j'ai allumé un bon feu, le vent était présent, mais nous étions bien. Le temps passait doucement, comme si rien d'autre que d'être ensemble ne comptait. Nous étions seuls, amoureux et liés par une mutuelle symbiose qui se perpétue avec les années. Je viens de passer des vacances très douces; ce temps partagé avec ma Bibi, mais aussi avec des gens que j'aime, m'a fait du bien. Des fois, mon esprit me guide en des lieux plus ou moins rassurants; comme si j'étais condamné à demeurer moins que moi-même. Pourtant, le désir de vivre, de m'exprimer est toujours là. Je le sens, jour après jour, semaine après semaine, il vient me chatouiller, me donner de l'inspiration. Pour vivre il faut choisir d'être heureux! Maintenant, je recommence à travailler demain; J'ai peur de retourner me «brancher» au monde qui m'entoure, à l'actualité. Je ne me sens pas prêt. Je n'ai pas peur de la critique, loin de là, mais plutôt de voir des histoires à dormir debout, et d'entendre un discours incohérent, et ce, contamment. Je travaille de la maison depuis le printemps 2008, mais comme les choses se sont corsées depuis quelques temps, je tiens à défendre ma paix farouchement! Je me sens prêt pour reprendre un travail que j'aime. Je me sens reposé pour donner mon 100%, jour après jour. Mais lorsque je sors de mon milieu de travail, quand je quitte le nid d'amoureux, rien n'est plus «écrasant» que d'avoir des commissions à faire. Même avoir le goût d'aller voir du monde, de faire une petite ballade, est devenu un sorte de pensez-y bien. AUjourd'hui, ma mère aurait eu 75 ans. Dans cette folie que nous vivons depuis plus d'un an, je suis content qu'elle soit au ciel. Qu'elle puisse vivre doucement, au dessus de cette folie contrôlante. J'ai toujours eu des parents avec une pensée de droite. De par leur vécu, ils croyaient en une société plus travaillante, avec moins d'aide gouvernementale. Laissant à chacun sa façon de faire les choses. Bien sûr il y a des lois, mais il y a aussi des valeurs. Le respect, l'Amour et l'hospitalité. Qu'il fait bon de revenir à la maison, ou de se sentir chez soi quand on arrive chez des amis. Partager des tranches de vie avec des gens qui ne vous jugent pas. De ressentir une sorte de paix d'esprit en présence des certaines gens, c'est rassurant. Comme ces moments sont précieux, il est important de s'en rappeler, de s'en inspirer! Je ne sais pas combien de temps il me reste, mais je veux continuer de vivre avec un sourire. Je ne veux rien enlever aux autres, mais j'entends bien partager du bonheur jusqu'à ma mort! À plus!

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Faire en sorte que chaque jour soit une réussite!

Oui monsieur! 20 heures 30, encore dehors en train d'écrire, en écoutant la nouvelle toune de Luke Combs! Sous le gazebo, il fait si bon...