jeudi 7 mars 2019

La fin de semaine approche.

Incroyable comme la journée d’hier est devenue une sorte de course! Loin de me douter que les choses iraient aussi bien, le téléphone s’est fait aller pas mal et j’ai plein de nouvelles choses à faire! Cela m’enchante. Car ma douce sera absente pas mal dans les prochains jours et je vais me tenir occupé. Si le soleil avec un peu de chaleur peut venir nous aider aussi, ça serait merveilleux! Encore moins vingt et un ce matin, soleil qui se pointe. C’est sûr que je choisis le soleil avant les nuages, mais j’ai hâte qu’il fasse un peu plus chaud. On avance l’heure en fin de semaine, avec autant de neige, ça fait bizarre! Mais les journées vont nous paraître un peu plus longues. N’empêche que je suis un lève-tôt, et que j’ai toujours hâte de voir le jour se lever! J’ai aussi hâte de pédaler dehors, de sentir l’air autour de moi, un peu de liberté... Quel grand mot! Ma mère me disait toujours : «Ta liberté commence où celle d’un autre finit» Et c’est tellement vrai! Ce mot, une utopie en soi, signifie que c’est bon de se sentir un peu libre dans la jungle qui nous entoure. Car être heureux est une façon d’être libre; car ressentir une restriction, être gérer par des lois, avoir ce sentiment d’être observé, ça peut devenir très lourd! Mais avec un sourire au visage, la vie devient plus facile, plus agréable et les semaines de travail sont plus productives! Par contre, malgré nos sourires, avoir les poches vides finit par faire une pression quelque part. Ce n’est pas en donnant tout ce qu’on gagne au gouvernement et à ses différentes ramifications qu’on réussit à garder le sourire! Et il y a sûrement des journées qui sont plus dures, plus choquantes. Payer la retraite des autres, alors que je n’ai pas le moyen de m’en payer une, c’est un peu l’inverse d’être libre. Il y a toujours la possibilité de prendre des raccourcis, mais Big Brother et ses sympathisants surveillent en cachette. Ici, si tu fais de l’argent, les dirigeants veulent une cote! Exemple, quand nous faisons le concours d’achat local annuel, il faut demander un permis à la régie des courses et loteries, permis qui coûte dix pourcent du montant que nous faisons tirer. Nous ne faisons pas tirer de l’argent comptant, mais bien des chèques cadeaux échangeables chez les commerçants membres et participants au concours! Le gouvernement, lui, récolte des vrais sous! Peu importe de quelle façon vous respirez, le gouvernement veut le savoir et il veut une part de vos gains. En venant au monde, c’est un contrat signé à vie : un pourcentage de vos gains seront retenus d’une façon ou d’une autre...Dans certains films, ils appellent ça la Mafia...

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Faire en sorte que chaque jour soit une réussite!

Oui monsieur! 20 heures 30, encore dehors en train d'écrire, en écoutant la nouvelle toune de Luke Combs! Sous le gazebo, il fait si bon...