Le narratif s’implante comme un parasite…

Ce matin il fait moins treize. Content tout de même qu'il ne fasse pas aussi froid qu'en 2013! J'ai des tas de souvenirs de cette fin d'année, alors que ma mêre nous quittait trop rapidement... Mais ce matin, en revenant de m'entraîner, de voir les étrons sur le plancher de la cuisine, je peux dire que ça m'a fait de la peine. Hier soir, je n'ai pas eu le courage de laisser le chien seul, me disant que c'était triste pour lui! Simonac, c'est comme ça que je suis remercié...J'ai l'impression que je suis content de ne plus avoir de chien. Et c'est parce que je sais que tout ça se termine lundi prochain; je ne pourrais continuer comme ça. Et ce chien est tellement mou, on dirait qu'il est fait en caoutchouc! Pourtant, je l'ai sorti deux fois après le souper, hier, et aussi deux ou trois autres fois dans la journée. Mais je pense que ce chien s'ennuie; il a hâte de revoir sa maîtresse. Moi j'ai hâte de revoir ma Bibi. Oh que oui! Elle semble se reposer un peu, là-bas, en terre libre. Ici, la diktat continue de faire du chemin; le narratif s'implante comme un parasite, intoxicant les gens de diverses façons, par le biais des médias. Ma blonde m'a dit que sa mère écoute TVA là-bas, en Floride! Tabarnak! Il faudrait que la dictature se taise, une fois sortie du dôme! Mautadite maladie mentale, comme une sorte de «slim», qui s'infiltre partout! Dire que j'en ai ma claque, serait un euphémisme. Mais dites-vous une chose, je veux ravoir ma vie, ma vie à moi! L'entroutecutage de mouche, ça suffit! Laissez-nous tranquille! Vous répétez la même chose que l'an dernier, ce qui n'a rien changé! Je suis tanné de la soumission, tanné de votre discours à sens unique. Votre vie à vous, legros, n'a pas changée, mais la mienne, oui! Vous me l'avez volée, vous m'avez bafoué, vous m'avez manqué de respect au plus haut point! Vous ne méritez pas d'être un premier ministre! Arrêtez de tester des gens vaccinés, arrêtez de faire peur au monde! Et surtout, redonnez-moi ma vie!