Une personne qui doit écrire ce qui déborde dans sa tête et dans son coeur. Car vivre au pays de la grande supercherie, devient, jour après jour, de plus en plus difficile...
mercredi 29 mars 2017
Intolérance, quand tu nous tiens...
Encore une grosse journée hier qui s'est terminée vers vingt heures. La semaine s'annonce comme sa précédente. Alors je ne lâche pas l'entraînement! Mais j'ai besoin de soleil, de chaleur, pour recharger mes batteries. J'ai besoin de continuer de prendre soin de moi. Mine de rien, le temps passe et nous accumulons du kilomètrage! Une bonne nouvelle au niveau des connaissances, de l'expérience et l'acquisition d'une certaine sagesse. Par contre, je me dois de maintenir mes oeillères bien en place. Je dois aussi «masquer» la pensée de certains qui, par leur énergie, remplissent l'air ambiant d'intolérance! Curieusement, les gens intolérants sont souvent ceux qui la créent. Car avec la tolérance vient le respect. Depuis que notre société a mis de côté la religion, les valeurs se sont «diluées» ici et là. Elles sont toutes mèlées. Les gens veulent être respectés, mais sans toutefois respecter les autres. Le bon sens, une façon de penser universelle, semble avoir disparu. Notre société aseptisée, remplie de fausses informations, de pensées convergentes, annonce une ère inconnue, ou l'hospitalité, l'amour, le respect et la confiance devront refaire surface. Actuellement, les gens qui nous dirigent ne nous représentent pas, ne nous écoutent pas, et, ne sont pas rassembleurs. Ils sont, par leur façon de faire, diviseurs. Donc c'est chacun pour soi. Et la force des médias sociaux exerce une pression sans précédent sur différentes couches de la société. Alors les gens ont en quelque sorte perdu leur «liberté». Mais la liberté commence où celle des autres se termine. D'où l'importance de se respecter, de s'entraider, de développer la confiance mutuelle. Ensemble, nous pouvons accomplir de grandes choses. Seul, bof... C'est là que je m'arrête souvent. Depuis très longtemps, j'ai des idées de changement, mais seul dans une majorité, les changements ne sont possibles que rarement. Et l'on doit les considérer comme un privilège. Depuis l'apparition d'une certaine charte des droits, les gens se sont imaginés, se sont laissés convaincre qu'ils avaient le droit. Laissant de côté le fait que, pour avoir ces «droits», ils avaient des comptes à rendre. Ces comptes à rendre s'appellent des devoirs. Des devoirs de citoyens. Mais il semble que ce soit aussi une chose qui se soit diluée avec la disparition de la religion. À revoir.
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Génial!
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