Toujours en réflexion.

Très mouillé ce matin, il fait vingt degrés. Difficile de dormir, même avec la grisaille. Mon corps se suffisant amplement de six heures de sommeil. Hier nous avons profité pleinement de notre journée. Nous sommes allés chercher des matériaux pour le toit du gazebo, à St-Jean-Chrysostome, chex Matériaux Lavoie. Mission accomplie, nous avons un toit en polycarbonate! Très content du résultat! Il a fallu jouer un peu avec la fin, mais bon, rien n’est jamais vraiment parfait. Ensuite nous sommes allés souper chez Ginette et Alain. Il a bien tombé quelques gouttes de pluie, mais pas assez pour nous arrêter. Par contre, en ce moment même, il tombe toute une averse! Nous avons projet d’aller à l’Ile-aux-Coudres, pour dîner et faire le tour de l’île en vélos. Ça me semble amusant. Nous ne forçons pas pour aller faire des commissions, étant donné que le port du masque occupe tous les endroits où nous pourrions aller. DIfficle de composer avec une restriction qui ne fait aucun sens. Nous vivons une situation sans précédent, alors que toutes ces mesures continuent de «démolir» notre société. Économiquement et socialement. Nous portons un masque pour que nos commerçants demeurent ouverts; pour que nos commerçants continuent de faire de l’argent. Qu’en est-il de notre gouvernement? L’état providence? Une machine qui a faim, une entité qui se nourrit vingt-quatre heures sur vingt-quatre, sept jours sur sept! Vous n’avez plus d’argent? Nous allons vous en prêter! Et vous continuerez de nourrir la machine en payant des intérêts! Plus on tente de fermer les écoutilles, plus le bateau se fragilise! On finit de «boucher» un trou, on en trouve trois autres! Quelle réalité morbide! moins de gens qui travaillent, donc moins de production! Essait-on de créer une sorte de société paresseuse où tout le monde reçoit de l’argent? Nom de dieu, comment s’en sortir? Comment faire pour se bâtir un monde parallèle et préserver son bonheur? Nous discutons de commander l’épicerie en ligne et d’aller la chercher, et non de la faire livrer. Le coût de la vie augmente, les endroits avec des sourires se cachent derrière une mascarade obligée. Obliger une société à faire quelque chose à laquelle elle ne croit pas, ça ne pourra durer! Mais en affamant les gens, ils tentent de les rendre plus dociles. Je n’ arrive pas à croire que j’écris ça. À la vitesse où vont les choses, l’été sera passé et, les restrictions nous auront enlever le goût de vivre pleinement! Ensuite, s’encabaner pour l’hiver, ouin... Sortez dehors le plus possible, façonnez votre bonheur avec peu de choses. Je sens que des temps plus durs s’en viennent!