lundi 13 juin 2011

Délire de découragement

Lorsque je suis très fatigué, la patience et la retenue ne sont pas au rendez vous! Hier, lendemain du Relais pour la vie, tout me tombait sur les nerfs! Dans ce temps-là, ma femme me trouve tellement pas de service, elle changerait de mari! Je pars à discourir sur la politique, les moeurs des gens, leur façon de conduire, leur
manque de respect... Bref, je deviens un mautadit chiâleux ! Inutile de vous dire que dans ce temps-là, les hauts dirigeants de notre province passent au cash! Parfois, tout en radotant à haute voix, j'y trouve même des solutions! À croire que le Quebec ne peut être diriger autrement ! Il faudrait effacer les 10 dernières années et repenser tout de a à z! À croire que qu'il faut absolument laisser la province s'échouer! Laissez faire le temps, mentalité de boomers, il arrange tout! Bin oui! Tellement de gens dépendent du gouvernement, c'est épeurant! Mais il faudra tôt ou tard faire quelque chose. La dette monte sans arrêt! Tous ces beaux programmes, toutes ces subventions, il faudra un jour les couper, puisque nous ne pouvons travailler assez pour payer tout ça. D'ailleurs, plus personne ne veut travailler. Et lorsqu'on engage des immigrants, soit on est des estis qui font travailler d'autres que les québécois, ou encore, nous sommes encore des estis, mais parce qu'on exploite de pauvres gens qui devraient se syndiquer!! Imaginez! Quel cercle vicieux! Plein mon cass des vieilles idées, plein mon cass des mauvaises politiques, pu capable de voir mon argent se faire gaspiller par les autres! Je suis capable de le faire tout seul, ça!

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Faire en sorte que chaque jour soit une réussite!

Oui monsieur! 20 heures 30, encore dehors en train d'écrire, en écoutant la nouvelle toune de Luke Combs! Sous le gazebo, il fait si bon...