mardi 6 août 2013

Réflexion

Pendant mon vélo de ce matin, je me disais qu'il faisait déja plus noir à 5h00. Je voyais l'été qui a franchi sa deuxième partie. Quelle saison magnifique! Bien sûr, pour quelqu'un qui habite en Californie, notre été n'a rien de si merveilleux. Mais nous, québécois que nous sommes, avec les hauts et les bas de notre climat tempéré, il y a de quoi fêter lorsqu'une journée nous offre un beau 25 degrés avec du soleil. Eh bien j'ai hâte qu'un politicien nous offre ce sentiment; un beau climat politique, avec de belles prédictions «réalistes». Nous faire ressentir un renouveau, une vision des choses qui nous rendrait heureux. Pas des histoires à gauche et à droite, basées sur des hypothèses impossibles! Pas de rêves utopiques, où tous, nous serons gagnants. Je suis épuisé de penser à mon avenir en contournant toutes ces conneries! Quand je regarde la castafiore, je la vois dans sa Californie. Elle semble trouver notre été bin ordinaire, elle semble aussi nous trouver «bin ordinaire». Elle ne vit que pour son cercle fermé de copineries. Elle n'en a rien à foutre de nous, les travailleurs. Elle n'a pas besoin de travailler pour avoir ce qu'elle veut. Elle n'a pas à déneiger l'hiver. Elle n'a pas à se demander si le prochain trimestre sera rentable au Québec. Elle n'habite pas ici! Elle fait des apparitions ici et là, avec une allure de reine. Mais ce n'est pas notre reine. Retourne dans ta Californie, nous allons nour arranger!

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Faire en sorte que chaque jour soit une réussite!

Oui monsieur! 20 heures 30, encore dehors en train d'écrire, en écoutant la nouvelle toune de Luke Combs! Sous le gazebo, il fait si bon...