Dépourvu

17 degrés, nuageux, j'ai fini par me rendormir, et je me suis levé un peu plus tard. L'ouvrage commence à me tirer du jus, mais surtout, à me stresser! Donc il faut que ça se termine aujourd'hui! Bien des choses ne seront pas terminées, mais ça m'en fera à compléter en revenant. Hier, alors que ma soeur était là pour compléter la remise de taxes, je ne voyais plus clair! On dirait que j'ai atteint ma limite de compréhension. En me levant, j'ai constaté que j'avais laissé la porte patio ouverte toute la nuit. Je sais, il y a la moustiquaire, mais l'humidité est entrée toute la nuit! Je suis allé dans mon bureau pour vidé mon déshumidificateur, je ne l'avais pas parti, j'avais laissé le climatiseur rouler...Eh bien! Il me reste des impressions à faire, finir les panneaux à Will, aller au bureau de poste pour un numéro de bateau, peut-être encore un coup chez Vasco et peut-être aussi au marché de Ste-Foy pour les Copines. Ça me semble impossible à réaliser, mais je ferai le maximum que je pourrai. Pour le reste, je veux réussir à arrêter de penser à l'ouvrage, penser à moi. Je veux laver les chars et les cirer! Je n'ai pas encore pris le temps de le faire. Il faut dire que la colle sur mon hood, laissée par l'excellent vinyle Avery, m'a refroidi les ardeurs! Et je me sens tellement dépourvu devant la situation... Quel tas de marde! C'est moi le lettreur, mais c'est moi qui est pris avec des résidus de colle! Je dois trouver une solution. Nous partons avec le camion lundi matin au plus tard. D'ici là, bien de choses de prévues. Je ne sais pas si nous pourrons tout faire; aller chez Patricia et Mario demain; aller à St-Georges samedi; peut-être partir en avance dimanche pour arrêter voir des amis. En tous cas, tout ça me semble un peu abstrait pour le moment! Donc je fonce dans cette dernière journée de travail avant des vacances méritées. Depuis que nous sommes revenus du sud, l'ouvrage m'a déboulé dessus et ce fut extraordinaire de contribuer à ma réussite.