Une personne qui doit écrire ce qui déborde dans sa tête et dans son coeur. Car vivre au pays de la grande supercherie, devient, jour après jour, de plus en plus difficile...
dimanche 20 octobre 2024
Isshh!
Dimanche soir, je viens de rentrer. Je m'étais allumé un petit feu. Le vent ne s'était pas couché, alors c'était un peu froid pour les mains. Ma Bibi est enfin revenue; je suis allé la chercher à l'aéroport vers 14 heures trente. Elle s'est foulée un doigt de la main gauche. Jointure enflée en maudit! Ce matin je me suis gâté en lavant les 2 véhicules. J'ai fait la découverte de rouille sur mon camion, je dois dire que ça me surprend, même que ça me fait de la peine. Mais je vais m'en occuper de mieux que je peux. J'ai réussi à nettoyer aussi les mags, en essayant le nouveau produit que j'ai acheté l'autre jour, un produit des «Chemical Guys» spécialement pour les roues de mags. Et j'ai sorti la vielle Volks! Je suis allé faire un petit tour, juste pour la réchauffer. J'ai dîné, des burgers au porc effiloché. Très bon! Et mon intention était d'aller chercher ma douce en décapotable. Mission accomplie! Et je l'ai amenée au Dairy Queen pour un bon lait frappé! Elle était contente. Moi aussi! Nous avons travaillé autour de la maison, pour continuer notre stratégie pré manteau blanc. Joanne s'est amusée avec la tondeuse en déchiquetant des feuilles. Pendant ce temps, j'ai sorti ce qu'il fallait pour monter le frame du garage. Et nous avons commencé à l'assembler. Il est presque terminé. Ma Bibi est allé préparer une rencontre qu'elle et Sandra ont prévue, en vue de leur conférence de mercredi. Quand je suis rentré, parce qu'il faisait trop noir, j'ai préparé le souper; côte levée et patates en paillette. C'était très bon, encore une fois. Et c'est juste après que je suis allé allumer mon feu. J'ai pris le temps de réfléchir, à la semaine qui s'en vient. Il y a des rumeurs de rénovations, mais aussi bien du travail pour LADO Lettrage. Ma chérie est venue me rejoindre, le temps d'une petite eau chaude. Comme le vent n'arrêtait pas de souffler, nous sommes rentrés. Je repensais aussi à mon père; je n'ai pas tellement de pouvoir sur la situation actuelle. Si j'avais plus de sous, beaucoup beaucoup plus de sous, peut-être que je pourrais changer la donne, mais actuellement, nous sommes tous victimes du système socialiste de l'ancienne belle province. Pas vraiment d'aide à la maison, pas vraiment d'argent pour relocaliser mon père et Nicole. Dieu du ciel que c'est compliqué d'être aussi dépourvu de moyens! Que puis-je faire de plus? L'essence est tellement chère, juste aller le voir me coûte trop cher! Et je ne parle pas du temps que ça prend. Je comprends que je dois passer du temps avec mon père; et je veux prendre du temps avec lui! Mais une heure et quart pour me rendre à St-Georges, la même chose pour revenir, ça diminue la portion qui me reste de temps pour le reste de la journée. Et comme tout continue d'augmenter, le temps de vivre est souvent un cadeau qu'il faut compter d'avance. C'est vraiment triste! Vais-je sortir de marasme avant de quitter ce monde? Je commence à en douter fortement. Et même si la situation s'améliore, je continue de prendre de l'âge, et les possibilités que j'aurai de vivre de façon décente, continuent de diminuer, jour après jour. Isshh!
S'abonner à :
Publier des commentaires (Atom)
Génial!
Quelle belle journée d'été! Ce matin, nous sommes allés au chalet des Petitclerc. Nous avons fait un tour de ponton, ensuite nous avons ...
-
Je trouve que les partis de l'opposition sont très muets depuis que la Castafiore a fait son entrée. Donnez-nous espoir que ça va arrête...
-
il fait 12 degrés, un ciel à demi couvert. Une belle fin de semaine, très belle fin de semaine! Elle a commencé vendredi soir avec la visite...
Aucun commentaire:
Publier un commentaire