Vider l’esprit.

Moins 9 degrés, le vent a continué de refroidir les lieux cette nuit. J'ai eu beau vouloir gratter hier, le vent, lui, ne voulait pas que mon entrée et les marches soient dégagées. Et j'ai refermé la porte de mon garage de toile, sinon, il aurait été plein de neige! Après un séjour au chalet de Lac Delage, le temps était venu pour nous de revenir à la maison pour relaxer un peu. Tout le monde commençait à tousser, et malheureusement, le père de Danielle démontrait des signes de faiblesses troublants; Elle et sa soeur, Martine, sont parties pour être près de lui. Nous sommes partis, en faisant un lift à Serge. Nous en avons profité pour visiter leur nouvelle maison, pas très loin d'ici, dans le chemin Bel Air. Une fois revenus à la maison, ma Bibi voulait voir ses enfants! Vicky est venue faire sont tour; elle était très de bonne humeur. Moka aussi! AUssitôt partie, les garçons sont arrivés; nous avons joué à Match Madness. Ce fut vraiment amusant! Souper de tout ce qui reste, et il en reste encore! Ce sera bon! Je me rends bien compte que nous sommes vendredi et que l'arrêt des fêtes se termine. Bien que j'ai réussi à me ménager au maximum, le simple fait de manger à n'importe quelle heure, de se coucher tard, se lever aussi plus tard, c'est vraiment trop pour mon corps qui aime mieux se prélasser dans la routine, et se sentir en forme! La nouvelle année est commencée, je n'ai pas encore prononcé de voeux officiels, je n'ai pas écrit de bilans, je n'ai pas réussi à dessiner, je reste perplexe par rapport à tout ça. Je tiens à avoir du temps pour moi, pour réussir à vider l'esprit. Dans les conversations que j'ai eues depuis 2 semaines, je suis obligé de tirer certaines conclusions. Les gens sont tannés de l'inflation, ils sont tannés de payer pour les idées saugrenues de tous les politiciens, lesquelles ne représentent en rien la vie de tous les jours d'un payeur de taxes. Et plus il y a de taxes, plus la vie coûte chère, plus les gens sont irrités! Alors je laisse ça un peu mijoter, mais je sens que la pression de tout ça va me rattraper, mais bon, pour l'instant, je me laisse porter. J'ai hâte de commencer, mais en même temps, pas trop. À plus!