mardi 3 mai 2016

Bon débarras!

La coupe est pleine. Il donne sa démission après une chefferie qui n'a rien donné, qui fut trop brêve de toute façon; bon débarras ! Mais dans le journaux, il semble que c'est presqu'une tragédie. On en parle comme s'il fut un messie, un souffle nouveau sur le parti. Eh bien, j'ai hâte que ça se calme. Pour moi, je n'y connais absolument rien, il fut quelqu'un qui s'est un jour trompé dans ses choix. Et, il vient de le réaliser. Il dit se retirer pour ses enfants, tant mieux, il est sûrement un meilleur père que chef d'un parti qui devrait ne plus exister depuis bien longtemps. Parti qui fut pour certains l'apogée de la politique au Québec, mais qui a coûté tellement cher! Et il continue de nous coûter cher: tout notre administration en double, la «pesanteur» administrative qui semble immuable, qui vide nos poches, année après année. Depuis que ce parti a pris pouvoir une fois, rien n'a jamais été semblable. Moi les histoires de celui qui pisse le plus loin... Depuis l'époque souverainiste de René Lévesque, trop de conneries sont devenues des lois. Des lois qui sont de véritables tares pour notre société. Quelque part, ceux qui ont dirigé le peuple vers toutes ces idées, furent vraiment excellents en convaincant les gens avec leurs idées. Mais aujourd'hui, on voit bien que ce fut un gros sac à merde, que plus personne ne peut vraiment se sentir libre au Québec. Nous sommes isolés par notre langue, par nos lois. Ceux qui le réalisent assez tôt, n'ont d'autres choix que de partir. Ici, les taxes et les impôts continuent leur ascension, comme si les gens pourraient payer encore à l'infini. Un jour, ça va casser, la chaîne va débarquer. Dieu seul sait ce qui va se passer. La mise en commun des biens, toujours à sens unique, ce n'est plus drôle. Partout ailleurs, les mentalités changent. Arrêtez de nous faire des acroires! Nous lisons l'anglais, nous le comprenons et même, nous le parlons! C'est juste que nous sommes enchaînés ici, par des dettes, des permis de travail, des «faux» avoirs comme le RRQ. Quand ça fait plus de trente ans que tu paies quelque chose, c'est sûr que c'est difficile d'y renoncer. C'est difficile de prendre sa famille, de la relocaliser ailleurs. Être célibataire, sans enfant, je serais déjà parti!

Aucun commentaire:

Je m’ennuie de ça.

16 degrés ce matin. Je ne sais pas pour vous, mais moi, de voir des vidéos apparaître sur tous mes fils de réseaux sociaux, peu importe leur...