mercredi 3 juillet 2013

Nous voulons votre bien et nous le prendrons!

J'entends parler encore d'augmentation du prix de l'essence pour mettre encore plus d'argent dans le transport en commun. Paraîtrait-il que nous sommes bénéficiaires du fait que s'il y a des voix réservées, ça nous aide dans la circulation! Y tu quelqu'un pour arrêter ces âneries? Quelqu'un de bien  au courant de nos vraies batailles? Augmenter aussi les taxes foncières, il y a un colisée en préparation! Non mais j'ai tu voté pour ça, moi? Je veux bien qu'il y ait un Plaza Val-Bélair et d'autres moteurs économiques, mais ciblez des choses qui sont essentielles. Des choses qui vont nous faire progresser! En endettant la vile, la province, il n'y a pas de progrès! Il faut payer ses dettes avant de progresser, sinon, il y a du travail en double et en triple! Je n'arrive pas à comprendre, après des années d'endettement, tous les efforts que j'ai faits, que je me rende compte que je me fais endetter malgré moi! Assez de votre niaisage! Je veux seulement qu'on me laisse décider de ce que je vais faire avec mon argent. C'est mon argent, c'est moi qui décide! Nous payons déjà binque trop pour les autres! Quand j'allais au CEGEP, j'avais une voiture et je «marchais» chaque matin jusqu'au collège. La fin de semaine, je covoiturais! J'offrais à d'autres étudiants, à un prix moindre que l'autobus, d'embarquer avec moi. Comme ça, mon essence était payée et je faisais ma part! J'ai pris l'autobus pendant des années. Mais il fut un temps, dans le dédale des garderies, des écoles et de mon travail, prendre le transport en commun est devenu une impossibilité. Curieux comme ma vie a évolué en comparaison au transport en commun. Curieux aussi comme le prix d'embarquement a pu augmenter en comparaison avec ce que moi je réussis à gagner! Sans parler de la cent dans chaque litre d'essence et la contribution obligatoire une fois l'an avec nos immatriculation! Chers dirigeants, vous faites vraiment chier!

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Faire en sorte que chaque jour soit une réussite!

Oui monsieur! 20 heures 30, encore dehors en train d'écrire, en écoutant la nouvelle toune de Luke Combs! Sous le gazebo, il fait si bon...