dimanche 7 mars 2010

Le budget ou la péréquation?

J'ai beau lire sur le budget, je ne vois rien de négatif. Où je vois des trucs négatifs, c'est dans les réactions québécoises. Remarquez, il y en aura toujours. Mais ce qui ressort du lot dans les commentaires et réactions, c'est la péréquation. Même M. Bonnardel de l'ADQ a parlé de «notre argent». Je suis désolé, mais pour moi, ce ne sera jamais notre argent. Je croyais que l'ADQ se voulait autonomiste? Les gens semblent aimer dépendre des autres. Assez! Le meilleur moyen pour perdre le contrôle de sa vie, de ses objectifs, c'est de dépendre des autres. Mais ça peut être une réaction normale: au Québec, les gens attendent après le gouvernement pour faire quelque chose. C'est tellement malheureux. La péréquation ralentit notre économie, elle fait en sorte de retarder les solutions économiques qui stimuleraient notre province. De plus, il ne devrait pas y avoir d'augmentation dans tous les programmes. Payer quelqu'un à rien faire, c'est le tuer. La péréquation serait supposer aider l'économie, pas payer pour des lâches! C'est trop, et tout le monde le sait! Mais personne n'est prêt. On préfère se cacher derrière nos arrière-petits enfants en les endettant! Et charest, lui, préfère se cacher derrière sa femme(2003)...

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Faire en sorte que chaque jour soit une réussite!

Oui monsieur! 20 heures 30, encore dehors en train d'écrire, en écoutant la nouvelle toune de Luke Combs! Sous le gazebo, il fait si bon...