Écrire pour survivre.

Donc mercredi matin, il fait actuellement moins degré. Il fera beau soleil! Je suis allé en vélo dehors. Ce fut fantastique. J’ai mis ma gaine, comme je l’ai fait en fin de semaine. Ça commence à être très «piquant» en surface, cette chose-là. Comme je ne sais pas quand je serai opéré, je dois m’endurer du mieux que je le peux avec ça. Le gouvernement parle de déconfinement, il parle de toutes sortes de choses, mais il ne parle pas d’économie. Par contre, il tient le prix de l’essence très haut. Ma blonde me dit d’arrêter avec ça. Mais moi, je me dis que je me suis fait fourrer toute mon existence, alors quand je peux en avoir un peu plus dans mes poches, je veux que â dure le plus longtemps possible. Le prix du litre s,est mis à baisser en mars. Pendant que la baril descendait de prix, nous, ici, vendions le litre d’essence au même prix que nos voisins du sud le vendaient au galon! Et c’est toujours comme ça! EN pleine crise économique, vendons-le plus cher! Et quand le dollar baissera encore, ils pourront nous dire que c’est la force du dollar américain qui nous pénalise. Si je le peux, je veux m’en aller! Près des frontières ontariennes, dans un recoin tranquille, où les médias pourraient me foutre la paix. Je suis là, en train d’attendre un signe, une sorte de lumière qui me dirait quoi faire, En questionnement par rapport à mon avenir. Mon corps me donne des signes évident d’usure et je dois en tenir compte. C’est sûr, ça me rend craintif. Et qu’est-ce que je pourrais bien faire comme travail? Je continue d’y réfléchir! EN me disant que je vais être prêt à faire le grand saut. Maintenant je dois me concentrer sur ce qui me reste de semaine de travail à gérer! On s’en reparle!