jeudi 3 janvier 2013

2012...

Dans ma poursuite de mon bilan de l'année 2012, tout vient à point à qui sait attendre! Je me disais que ce fut une année de sacrifices, comme les 5 dernières, de façon très difficile financièrement. Nous, la génération «X», devons faire face à ce gâchis que les «boomers» nous ont légué. Non pas que je les accuse, mais c'est difficile de constater qu'il faudra travailler toute notre vie, en survivant à des inégalités comme ceux qui ont cotisés à des fonds de pension, à d'autres qui ont choisis un chemin pavé en premier par leurs parents. Aurais-je dû travailler plus fort encore pour adhérer à un job au gouvernement et m'assurer des vieux jours plus tendres? Est-ce que ce sont mes véritables priorités? J'ai toujours pensé que celui qui signait une «permanence» dans un job job qui dépend du gouvernement venait de signer aussi un arrêt dans sa liberté de vivre. Il venait de fausser son libre arbitre! Malgré mon questionnement, je persiste à croire que mes choix, si durs furent-ils s'avèrent être les bons depuis quelques années. C'est sûr que la naissance de mon premier enfant pendant que j'étais au BAC m'a vraiment déculotté de tout ce que j'avais, autant moralement, physiquement et financièrement. À 43 ans, je cherche encore beaucoup de réponse, mais je cherche aussi comment j'ai pu être aussi fort. À suivre!

Aucun commentaire:

Faire en sorte que chaque jour soit une réussite!

Oui monsieur! 20 heures 30, encore dehors en train d'écrire, en écoutant la nouvelle toune de Luke Combs! Sous le gazebo, il fait si bon...