vendredi 13 décembre 2013

Petite analyse

J'aimerais vous partager que j'ai quand même une belle année dans mon entreprise. Ne serait-ce que de l'obstacle informatique du mois d'octobre, en général, j'aurai fait mieux que l'an passé. Même au mois de mars, j'ai fait de bons chiffres, plus haut que les années antérieures. Et ce, en partie grâce à Stéphane! Mystère fascinant ce Stéphane. Un être d'Amour infini, rempli de gratitude. Il veut aider les autres en apprenant le plus possible. Et il a un moteur, ouf! Un vrai moteur! Une machine difficile à arrêter! Des fois je trouve que c'est trop. Mais il n'a de cesse dans ses projets. Tout ce qu'il entreprend, il aime le terminer. Il aime performer, être le meilleur! Pour lui, rien ne doit traîner, et, l'amélioration est constante! Et, il s'accroche à moi. Moi qui suit un homme heureux, mais avec une vie très tumultueuse! On peut dire que ça n'arrête pas tellement. Les situations au contenu émotionnel se succèdent à la vitesse grand V et je tente de gérer le tout sans toutefois pénaliser ma business! Bref, travailler à mes côtés ne doit pas être si facile! Moi je ne demande rien. Mais j'apprécie au plus haut point l'aide que les gens me donne. Je remercie chaque jour et je prie. Mais je crois que la patience de Stéphane s'effrite. Je crois qu'il est tanné d'attendre après moi. Il avait de grandes visions pour moi et mon entreprise. Il me parle de confiance, de courage, de détermination. Il est en quelque sorte frustré après moi. Pour lui, nous nous lancions dans une aventure de travail, pendant au moins 10 ans. Investissements, contrats et rentabilité. Mais je suis trop fatigué. Je vis au jour le jour depuis des années. Je ne prévois pas trop d'avance. L'expérience m'a révélé qu'en peu de temps, toute notre vie peut changer, et ce , du tout au tout! Je suis trop indépendant pour accepter une mise de fonds de sa part. Cela doit venir de moi. J'ai bâti cet entreprise et elle grandit au rythme que je suis capable de gérer! J'Ai beaucoup de peine. De sentir chez lui une frustration, une raideur, me tortille un peu le dedans. Mais je dois continuer. Vivre chaque jour comme un privilège. Le savourer comme un bon plat. Et comme toute chose, cela aura une fin. Alors chaque jour, chaque heure, chaque minute est importante. Et je dois aussi m'amuser! C'est une chose très dure à faire. Comme se reposer! Je crois que je m'amuse avec des accomplissements personnels. Pour le repos, bien c'est plus compliqué...

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Faire en sorte que chaque jour soit une réussite!

Oui monsieur! 20 heures 30, encore dehors en train d'écrire, en écoutant la nouvelle toune de Luke Combs! Sous le gazebo, il fait si bon...