lundi 10 avril 2017

Quand tu nous tiens...

Quand tu penses que la fin de semaine te sera un repos, pis que rendu au dimanche soir, tu es brûlé raid, prêt pour enfin te reposer, prêt pour la fin de semaine! Et, en ce lundi matin, dix avril, un blitz de quatre jours s'impose pour accomplir cinq jours de travail! Un dossier à la fois. Ma blonde a toussé jusqu'à 2:45, et finalement, le sommeil nous a emporté. Donc je me sens un peu coma ce matin, mais physiquement pas trop pire. Je dois m'enligner assez vite pour ne pas faire d'erreurs. Et puis, la fin de semaine m'a quand même permis d'oublier un peu toute ma colère de vendredi passé. Loin d'avoir oublié, mais plus calme face à la dictature douce. Naïf que j'étais de penser qu'une dictature, c'était une façon de diriger un pays en imposant une ligne de conduite, une façon de penser, comme ça. «Vous devez respecter votre chef. Vous devez marcher de telle manière, porter ces vêtements, etc. Mais non. Qui respecterait ça? Le gouvernement nous tient «en otage» avec des taxes, des lois, des amendes, des permis. Si le gens ne se conforment pas, ils doivent payer! Mais là où ça fait mal, c'est que même si on se conforme, on doit payer aussi! Où est la logique? Est-on obligé de rester ici? Non, théoriquement, non. Mais quand on y réfléchit bien, oui. Car pour quitter, il faut faire une croix sur tout l'argent qu'on est obligé de donné, en RRQ depuis qu'on a commencé à travailler. On doit aussi oublier l'assurance maladie, l'assurance médicament, et des tas d'autres choses, écrit dans des petites lignes, comme dans un contrat de «crosseurs». Donc, partir, c'est recommencer en neuf une vie. Et, plus le temps passe, plus il devient difficile de quitter ces valeurs, ces amitiés, ces liens d'affaires, tout ce qui nous a pris «une vie» à bâtir! Et cette pression, imposée par des permis, des lois, des impôts, des taxes, etc, finit par changer notre façon de penser. Oh.... Dictature! Des fois, je me sens mal d'avoir des projets. Souvent, la fin de semaine, quand je réussis à arrêter un peu, je me sens coupable, coupable de ne rien faire! Qu'est-ce que le spasme de vivre? Comment trouver son bonheur?

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Faire en sorte que chaque jour soit une réussite!

Oui monsieur! 20 heures 30, encore dehors en train d'écrire, en écoutant la nouvelle toune de Luke Combs! Sous le gazebo, il fait si bon...