mercredi 29 août 2018

Tout le temps des défaites!

Je trouve que certaines gens ont toujours des défaites pour ne pas avancer. Il y a toujours une raison pour remettre ça à plus tard. Les raisons les plus à la mode sont le TDAH, l’anxiété, le stress par rapport à une situation donnée, un petit côté autiste... J’aimerais qu’on y pense pendant deux minutes. J’aimerais qu’on s’arrête, histoire de comparer certaines choses. Depuis le plus loin que je me souvienne, les gens ont toujours eu le stress de la fin du mois, ou la fin de l’année. Un stress à la rentrée scolaire. Un stress quand on commence une nouvelle job. Un stress de parler en avant. Il y a aussi toujours eu des plus turbulents que les autres. Des énervés qui semblaient animés par une énergie inconnue, en quantité illimitée! Certains de ces énervés étaient plus distraits que d’autres. Cela créait toutes sortes de situations pour le moins incroyable! Et que de souvenirs à raconter! Mais c’était la vie. Ces situations, parfois très traumatisantes, «démèlaient» en quelque sorte les gens. Certains s’en sortaient plus facilement, d’autres restaient marqués pour la vie. Il y avait aussi des gens, qui semblaient plus dans leur tête qu’avec le reste du monde; pour eux, la bibliothèque était leur meilleur ami. Ils passaient souvent à côté de biens des choses...! Mais chacun arrivait à quelque chose. Et, sans diagnostique, sans pilule, ils accomplissaient une vie. Aujourd’hui, les choses ont changé. Elles ont changé d’apparence. Les gens ne veulent plus être jugés. Ce que les autres pensent est pratiquement un guide. Les jeunes savent ce qu’ils ne veulent pas. Ils savent aussi ce qu’ils n’aiment pas. Ils ne foncent plus tête première, ils demandent conseil, demande de l’aide, ils ont peur! Leur plus grand conseiller s’appelle «Google». Du plus loin que je me souvienne, j’ai toujours eu peur de bien des choses. Essayer quelque chose de nouveau, rencontrer le «dur» de l’école, aller chez un client qui a un gros chien. Peur d’avancer plus loin dans la vie. Peur d’affronter la vérité, peur de moi-même. Mais j’ai apprivoisé ces peurs. Mes plus grands conseillers étaient mes parents. Google est arrivé beaucoup plus tard! En tant qu’observateur, j’essaie de comprendre, mais je n’y arrive pas. Les jeunes ne se parlent pas, ils s’écrivent, se font des codes avec une béquille numérique! Autrefois appelé téléphone, le machin qu’ils ont tous dans les mains est le grand manitou. Il est le moyen de communiquer, le moyen de s’en sortir, sans cet article, la vie ne vaut plus la peine d’être vécue! C’est ce que nous avons créé! Eh oui! Et ce n’est qu’un début. On s’en reparle.

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Faire en sorte que chaque jour soit une réussite!

Oui monsieur! 20 heures 30, encore dehors en train d'écrire, en écoutant la nouvelle toune de Luke Combs! Sous le gazebo, il fait si bon...