lundi 20 avril 2015

Comment faire?

Eh bien, avoir fait autant d'heures en pas grand temps n'aura pas été si payant que ça. J'ai été malade depuis vendredi soir. Fièvre, écoulement nasal, faiblesse et douleurs partout. Pourtant, je suis allé à la clinique vendredi en finissant pour renouveler mon concerta. Malgré que j'étais vraiment épuisé, ma pression était belle et aussi mes signes vitaux. Mais c'est du passé. Une nouvelle semaine s'amorce, j'ai beaucoup de travail et j'ai l'intention de passer au travers. Mais deux nuit d'affilée à combattre cette microbe, ça ralentit son homme. Imaginez notre province, elle combat aussi un microbe. CE dernier s'appelle l'endettement. Et la dette ne finit plus de grimper. Au lieu de régler le problème à la base, on préfère se la péter encore un peu. Microbe qui, au départ, semblait tout à fait inoffensif. Après plus de 45 ans, force est d'admettre que personne ne veut s'en débarrasser. Ce qui se voulait au départ une porte ouverte vers le monde est devenue une enveloppe scellée. À force d'étatiser la province, il n'y a plus d'argent neuf qui rentre. Il n'y a pas non plus de nouvelles idées qui arrivent. Ceux qui mènent ne savent pas pourquoi, mais ils savent que le plus longtemps ils demeureront en poste, le plus payant ce sera pour eux. Le creux entre les plus nantis et les moins nantis s'agrandit toujours. L'aide sociale rapporte trop, le salaire minimum est trop élevé, mais aussi le coût de la vie. Tout ça tourne en rond et ça fait une bonne pâte. Impossible de s'en sortir sans sacrifice. Maintenant, ceux qui mènent sont dans les biens nantis et ne semblent pas vouloir y changer quelque chose. Ébranler leur confort...

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Faire en sorte que chaque jour soit une réussite!

Oui monsieur! 20 heures 30, encore dehors en train d'écrire, en écoutant la nouvelle toune de Luke Combs! Sous le gazebo, il fait si bon...