mercredi 6 mai 2015

Ouf!

Hier je discutais avec un copain. Nous  parlions des restrictions qu'il y a au Québec. Si tu veux te bâtir une maison, toutes les étapes à franchir. Si tu as le goût de te partir une petite entreprise ou encore d'afficher ton entreprise! Que de surprises vous attendent. Et puis, les irritants sont plus qu'omniprésents, ils sont même en double et en triple. Toutes les taxes que nous payons, c'est absolument horrifiant! Sur l'essence, les immatriculations, notre permis de conduire, les plus grosses cylindrées, nos primes d'assurances, notre maison, notre service de santé, sur tous les articles au détail. Qu'arrive-t-il à notre province? Quand j'étais petit, il y a 40 ans, la taxe de vente au détail était de 7 pourcent. Il n'y avait pas de taxes sur les livres, ni les vêtements. Pas de taxe sur la nourriture. Les chaussures au dessus de 125$ étaient considérées comme du luxe, elles étaient taxées. L'essence coûtait 17 cents le litre. Les voitures polluaient, les gens allait jeter leurs cochonneries au bord de l'autoroute. Les frais dentaires étaient gratuits jusqu'à l'âge de 16 ans. Le pont de Québec se faisait repeindre chaque année. Aller à l'école publique, primaire et secondaire ne coûtait rien. Pourtant, c'était les contribuables qui payaient pour tout ça. Et il en restait à la fin de l'année. Je ne dis pas que c'était plus «green», mais je dis que nous étions plus libres. Libres de respirer à la fin du mois. Mais il y a eu la crise des taux d'intérêts. Un peu trop libres, les gens avaient abusé de leur crédit. Les taux d'intérêts avaient monté jusqu'à 22%. Imaginez! Cette situation a fait sortir les mères sur le marché du travail, a fracassé les familles. Nous sommes passés au travers. Mais il semble que les gens n'ont pas retenu la leçon. Car aujourd'hui, le sujet tabou est les dettes. Oui tout le monde en parle, mais c'est une source de stress omniprésente. Et avec toutes les méthodes de financement que le gouvernement nous impose, vivre au Québec demande une grosse dose de discipline et de courage. Sinon il est trop facile de sombrer dans les dettes.

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Faire en sorte que chaque jour soit une réussite!

Oui monsieur! 20 heures 30, encore dehors en train d'écrire, en écoutant la nouvelle toune de Luke Combs! Sous le gazebo, il fait si bon...