Une personne qui doit écrire ce qui déborde dans sa tête et dans son coeur. Car vivre au pays de la grande supercherie, devient, jour après jour, de plus en plus difficile...
mercredi 17 février 2016
Évolution
Ces jours-ci, je n'entends que des gens qui vivent des deuils. Des deuils de certaines choses. Ils semblent avoir de la peine que la vie évolue. Ils refusent de quitter leurs vieilles habitudes. À vous tous, je vous souhaite beaucoup de bonheur. Car la terre entière évolue. Et vous devez vous organiser, sinon quelqu'un vous organisera! Vivez ce que vous avez envie de vivre, mais n'oubliez pas, votre liberté se termine où celle de l'autre commence! Ma mère me la disait souvent. Et moi qui croyait qu'être libre, c'était quitter la maison, voler de mes propres ailes! Comme beaucoup d'entre nous, j'ai réalisé que la liberté, ça n'existe pas vraiment. C'est un grand mot à saveur utopique qui soulève les foules, mais qui, une fois des enfants, un conjoint et une maison arrivés, ne représente qu'un rêve. Je ne dis pas ça parce que je suis triste, vraiment pas, mais je le dis par constat. Et je travaille tous les jours pour rendre les autres heureux, ce qui me rend aussi heureux. Ainsi va la vie. Les grands modèles de sociétés comme celui des boomers n'a plus sa place. Payer pour les autres, payer des taxes, payer et repayer, c'est fini. Mais je crois que de mon vivant, je ne verrai pas ça. Le temps seul me le démontrera.
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