jeudi 25 février 2016

Ouin...!

Hier, les médias nous ont obligé encore une fois à voir des choses qui ne sont pas obligatoires. Une belle photo dans le journal, sur les internets! Moi je pense que si vous montrez une image de deux monsieurs, dont un militaire, et que vous en faites un moment historique, alors il faut en faire d'autres avec d'autres minorités visuelles. Pourquoi ne pas montrer une personne autiste dans son quotidien, avec ses réalités à elle? Pourquoi ne pas montrer une personne handicapée physiquement qui va travailler tous les jours, avec ses réalités à elle? À qui ça rapporte, ce lobbyisme? Qui ramasse les sous? Moi je n'arrive pas à comprendre que nous avons de l'argent pour accueillir des gens d'ailleurs, leur fournir des vêtements, un logis et une chance de se faire une vie, ici. Mais une personne qui a un diagnostique de TSA (trouble du spectre de l'autisme), elle, n'a pas ces privilèges! Pourquoi? Ne vaut-il pas mieux leur donner une chance, payer des gens pour les aider à s'intégrer? Pas payer des gens pour les écouter, les regarder, leur donner des conseils. Ça ne les aide pas, leur cerveau ne traite pas l'information comme nous. Soit ils demeurent dans leur famille jusqu'à leur mort, soit ils demeurent en résidence, ou encore finissent quelque part, mais on ne sait où. Il y différents niveaux, mais les personnes qui ont le syndrôme d'Asperger, elles, peuvent réaliser de grandes choses. Mais ils ont besoin d'une routine, d'encadrement. Mais nous pourrions aussi parler des personnes qui sont nées avec la trisomie 21. Ces personnes aussi sont capables de grandes choses. Mais on préfère louanger un militaire qui embrasse son amoureux. On préfère aussi prendre une chance avec des étrangers, des personnes qu'on ne connaît pas du tout. Et je pourrais en rajouter en parlant des personnes âgées. Quand tes enfants te disent que ces dernières seraient mieux traiter en prison, je crois qu'il y a matière à poser des actions, et vite!

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Faire en sorte que chaque jour soit une réussite!

Oui monsieur! 20 heures 30, encore dehors en train d'écrire, en écoutant la nouvelle toune de Luke Combs! Sous le gazebo, il fait si bon...