mardi 9 février 2016

Trouver sa voie

L'urgence de vivre n'est pas une dépendance, c'est un accomplissement. Je connais des gens qui sont accrocs à l'adrénaline, d'autre à l'endorphine. Les sports extrêmes, les activités hors contextes qui dérangent le quotidien sont leur dada. Moi je préfère demeurer loin des médias, loin de la caméra. Il n'y a pas si longtemps, j'adorais être en avant, attirer l'attention. AUjourd'hui, je sais tout ce que ça comporte. Avoir une tribune, «entretenir ses fans», quel dur mandat! Voir à ce que personne ne soit offensé, ne pas se compromettre non plus. Écrire tous les matins une petite phrase sur Facebook, savoir que des gens lisent, m'en reparlent, ça me suffit! Autant il fallait que je me place devant quand j'étais adolescent, autant ça ne m'intéresse pas beaucoup aujourd'hui. Mais si je crois que je dois être devant, que je dois prendre le lead, alors je le fais! Mais si quelqu'un se porte volontaire, alors je reste derrière. J'en connais d'autres qui devraient laisser leur place à ceux qui voudraient être des leaders. Car un mauvais guide, une personne qui n'a pas le «chien» pour diriger ses troupes, finit par l'échapper. Comme j'ai de la vieille fatigue qui traîne en moi, je ne veux pas être leader de quoi que ce soit. Et puis, je suis capable d'être un collègue travaillant, fiable et amusant. Des fois, il fait bon d'être ce bout en train qui rassemble les autres pour le mener à bon port. À plus!

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Faire en sorte que chaque jour soit une réussite!

Oui monsieur! 20 heures 30, encore dehors en train d'écrire, en écoutant la nouvelle toune de Luke Combs! Sous le gazebo, il fait si bon...