jeudi 18 février 2016

Analyse du jeudi

J'aurais aimé que ce soit vendredi ce soir. Hier, à l'heure du souper, j'étais tellement crevé. Mais plus la soirée avançait, plus je me remettais. Et j'ai pu assisté au spectacle à Chloé sans cligner de l'œil ! Mais il reste encore aujourd'hui et demain. Et je suis un peu en retard dans mon horaire. Comme ma femme me dit souvent, un dossier à la fois! J'aimerais que tous les chèques en retard arrivent cette semaine, cela m'aiderait. Travailler autant pis avoir en tête ces paiements qui tardent à rentrer... Il faut se rappeler pourquoi c'est ainsi. Être salarié pour quelqu'un ne m'intéresse pas et travailler pour réaliser les rêves de quelqu'un d'autre, j'ai assez donné. SI un jour je retourne travailler pour quelqu'un, c'est parce que ce sera mon rêve! En attendant, je dois composer avec des clients qui tardent à payer. Mon comptable me disait de ne pas trop les poivrer avec des intérêts, car ils peuvent ne jamais me payer. Le plus triste, c'est que je n'ai aucun recours pour récupérer mon argent. J'en connais qui me l'ont fait. Ils sont toujours en affaires, se foutent complètement de toi. D'autres ont tellement forcer la note qu'ils ont fermé. Mais ce sont des victimes, oui! Car le retour du pendule sera pour eux! Moi je n'ai pas le temps de m'occuper d'eux. Le gouvernement, lui, à tout son temps. J'ai payé mes prêts étudiants en onze ans. Imaginez la somme d'intérêts! Mais je suis libre de ça. Je ne dois rien pour mes longues études. Et j'entends bien continuer ainsi. SI je veux me payer quelque chose, je le paie comptant ou sur une carte que je paie chaque fin de mois. On s'en reparle.

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Faire en sorte que chaque jour soit une réussite!

Oui monsieur! 20 heures 30, encore dehors en train d'écrire, en écoutant la nouvelle toune de Luke Combs! Sous le gazebo, il fait si bon...