mardi 15 août 2017

Acceptation

En continuant ma réflexion, je me pousse à aller plus loin dans mes interprétations. Là où je m'arrête le plus souvent, c'est au niveau des personnes qui ne s'acceptent pas. Je crois que si nous sommes sur la terre, c'est pour une bonne raison. Bien sûr, il m'a fallu une trentaine d'années pour le réaliser, mais aujourd'hui je suis fier de moi et j'espère pouvoir transmettre ce message à tous ceux qui en auront besoin. Toujours en se basant sur l'ouverture vers le monde grâce aux moyens de communication et d'information, les gens qui se cherchent, se retrouvent avec beaucoup d'hypothèses. Il y a tellement d'informations qui circulent par les réseaux sociaux, j'en ai le poil qui se dresse! Pourtant, je suis bien ouvert à ce que les autres pensent, à ce qu'ils font. Bien sûr, j'ai mon opinion, mon expérience de vie. En moi, je sens quelque chose qui me pousse à aider les autres, quelque chose qui veut donner. Difficile à interpréter. Mais j'ai fini par accepter ce fait. Je sens aussi l'énergie globale des gens autour de moi. Souvent, cette énergie me dérange. J'ai appris à composer avec ça. Quand j'étudiais au pensionnat, on m'a dit que c'était l'appel de Dieu. Moi je ne savais pas trop. J'aurais préféré ne pas ressentir tout ça. D'ailleurs, cela m'a souvent mèlé et j'ai mis les pieds partout où il ne le fallait pas. Puis le temps a passé et j'ai observé tout ça, comme j'ai observé les gens autour de moi. À force de me rebeller, d'avoir de la rancoeur, j'ai fini par comprendre au moins deux choses. L'une, c'est épuisant! L'autre, je pollue la vie des gens qui m'entourent. J'aurais voulu être missionnaire, loin des gens qui me faisaient peur. J'aurais voulu être un pasteur, prendre le temps d'écouter les gens, de les rassurer. Donner ma vie pour les autres, mais pas ceux que je côtoyais. Aujourd'hui je crois sincèrement que ma place est ici, près de ces gens qui me font peur. Mais aussi près des mêmes gens qui m'ont tellement appris de choses. Ces mêmes gens qui ont besoin de se ressourcer, de croire au bonheur. Le bonheur est en chacun de nous. Car la personne la plus importante pour moi, c'est moi! À moi de choisir d'être heureux! Le contraire est une option difficile, épuisante et emprisonnante. Je ne dis pas que c'est facile, ni que c'est vite fait. La vie est une école en constante évolution, comme l'être humain. Parfois, quand je suis fatigué, je me prends en train de chiauler, de monter sur mes grands chevaux; Alors je respire, je me pose des questions, je cherche ce qui me rendrait heureux et je viens à moi tranquillement. Car il y a en moi beaucoup d'énergie, vraiment beaucoup d'énergie...!

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Faire en sorte que chaque jour soit une réussite!

Oui monsieur! 20 heures 30, encore dehors en train d'écrire, en écoutant la nouvelle toune de Luke Combs! Sous le gazebo, il fait si bon...