lundi 14 août 2017

Je réfléchis...

Pour en revenir à la grande ouverture, je voudrais ajouter que plus le temps passe, plus nous avons accès à toutes sortes d'informations, bonnes ou mauvaises, vraie ou fausses, véridiques ou encore convergentes. Mais une chose est sûre, la vitesse de la communication a fait augmenter notre rythme de vie, notre façon de penser, et, semble drainer notre énergie vitale. Je ne dis pas ça de façon informelle ni officielle, il s'agit là de mon interprétation personnelle. Mais j'observe les gens depuis mon tout jeune âge et j'ai toujours pris des notes. Avec le temps, j'ai pu constater que les gens ne vivent plus comme avant. Oui les temps changent. Mais une chose a changé, la façon de communiquer. Depuis que l'histoire décrit la vie des hommes, les gens se sont toujours parlés. De vive voix, face à face, au téléphone, par C.B. Mais depuis environ 5 à 7 ans, les textos ont remplacé notre voix, nos émotions, nos sentiments. La vois de nos enseignants a été remplacée par l'information visuelle (télévision, You Tube, Facebook, Intagram, Snapchat, etc. Vous me direz peut-être que je viens de me réveiller, mais j'en suis conscient depuis longtemps. Ces réseaux sociaux ajoutent de la valeur à cette mentalité «jetable» développée par les millenials. Tout est éphémère, rien ne dure jamais bien longtemps. Même les émotions ne valent plus beaucoup sur le marché numérique. À croire que tout cela ira en augmentant. Quand j'y pense, ça me fait peur! Je suis d'accord pour que les gens s'informent par eux-mêmes, mais dans la grande marée numérique, il y a tellement de courants à suivre, il est facile de s'écarter. Avant, quand quelqu'un se perdait, tombait en dépression, se sentait rejeté par la société, les sectes religieuses venaient leur offrir refuge. On venait de changer de «mentor». Quand j'allais au pensionnat, la religion prenait tout en charge, l'évolution de l'être même. Je dirais même que parfois, c'était vraiment trop. Mais c'était aussi plus facile de suivre le courant. Puis, petit à petit, avec la libération des droits la femme, une bonne chose, s'en est suivi d'un boum extraordinaire qui a rompu les liens avec la religion. J'en constate que les gens ont toujours besoin d'un mentor, de quelque chose vers quoi se tourner, vers où s'orienter. Certains me diront le contraire, mais la société a besoin de guides, de personnes ressources. Là où c'est devenu bizarre, c'est que souvent, le guide «numérique» est erroné. Ou encore, ce dernier converge en secret vers autre chose que ce qu'il projette! Et c'est là que ça se complique. Me voilà bien parti, il me faudra continuer de réfléchir là-dessus. À plus!

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Faire en sorte que chaque jour soit une réussite!

Oui monsieur! 20 heures 30, encore dehors en train d'écrire, en écoutant la nouvelle toune de Luke Combs! Sous le gazebo, il fait si bon...