mercredi 17 avril 2019

Prise de conscience.

Bon matin! Je me suis levé un peu tôt ce matin, mais je me sentais prêt à foncer dans ma journée. Hier je me suis senti particulièrement mal, envahi par un sentiment particulier d’impuissance. Impuissant devant nos gouvernements, prisonnier du marasme imposé par la dictature douce de notre province. Harcelé par les médias, les réseaux sociaux, le cœur qui fait mal de déceptions. De toutes mes forces, j’essaie de ne pas avoir d’attentes, de ne pas trop espérer de la vie, de peur d’être déçu. Mais il y a toujours des limites à ce que l’humain peut endurer. Je qualifierais tout ça de «névrose» collective. Autant les enfants que les parents sont confrontés à eux-mêmes, essouflés de courir on ne sait où. Certains ont des problèmes d’anxiété, d’autres refusent de faire quoi que ce soit, de peur de raté son coup. Bref notre société distincte se laisse porter par la vague, naviguant entre deux régimes, entre laïcité et bonnes vieilles valeurs. Désorientés, désabusés, rien ne réussit à apporter un équilibre dans tout ça. Les grands prêtres de l’environnement sont en train de «démolir» notre économie, mais aussi la conscience sociale. Certains en font leur religion de ces conseils verdoyants, mais d’autres font tout le contraire. Rester soi-même, avec ses défauts et ses qualités, pourquoi ne pas garder tout ça plus simple? Accepter le fait que nous sommes des humains, mais aussi des mammifères, des êtres imparfaits. Arrêter de vous laisser endormir par des pilules ou encore un régime quelconque, qui peut vous aider autant que vous détruire. Sortez dehors, respirez un bon coup! Faites de l’exercice, lâchez un peu la télé et\ou les réseaux sociaux. Penser à soi-même pour sourire. Montrer aux autres votre vous-même! 

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Faire en sorte que chaque jour soit une réussite!

Oui monsieur! 20 heures 30, encore dehors en train d'écrire, en écoutant la nouvelle toune de Luke Combs! Sous le gazebo, il fait si bon...