mardi 20 janvier 2015

Protégez-vous!

Je pense que je suis accro à l'écriture! D'autres sont accro au sexe, à la boisson, aux drogues, etc. Sans blague, je survivrais sans écrire, mais je dois laisser aller ce flux en moi qui veut donner son opinion. Mon opinion, pendant que je peux encore l'écrire, pendant que je peux encore le penser! Car c'est un privilège d'en avoir un. Mais aussi une liberté de pouvoir l'écrire. Avec l'avènement du numérique, la vie privée n'existe plus. Bientôt, ma ligne de pensée non plus. Il y aura même des profils qui se développeront à même vos réponses à certains sondages. Et puis, votre façon de penser sera facile à deviner, facile à déterminer. Mais ce n'est rien, si vous saviez à quel point vos «données» personnelles se promènent de par le monde entier. Chaque fois que vous installer un logiciel, que l'installateur vous pose des questions, que vous dites «OK» ou oui sans lire, vous faites cadeau de vos données personnelles à des milliers de personnes. Ce ne sont pas des criminels, en général, mais où il y a de l'homme, il y a de l'hommerie! Et puis, une des faiblesses de l'homme, c'est l'argent. Si obtenir de l'argent facilement s'affiche comme une opportunité, eh bien la porte est ouverte et advienne que pourra! Récemment, je me suis rendu compte que les gens pouvaient publier à loisir sur mon journal de Facebook. Donc, les gens qui passaient sur mon fil d'actualité pouvaient m'associer avec cette publication. Quelle horreur! Alors j'ai revu cette chose. Maintenant, personne ne peut publier sur mon journal. Oh, je ne suis pas sauf pour autant, mais je tiens à mon opinion! À chaque fois que vous remplissez un formulaire, sur le net, pour ouvrir un compte, pour payer un article, pour installer un «plugin», essayez de passer en revue ce que vous venez de faire. Avec les années, je me suis rendu compte que c'est la fuite par excellence. Oh je sais que les «hackers» ont bien d'autres moyens, mais donnez-vous une chance.

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Faire en sorte que chaque jour soit une réussite!

Oui monsieur! 20 heures 30, encore dehors en train d'écrire, en écoutant la nouvelle toune de Luke Combs! Sous le gazebo, il fait si bon...