vendredi 9 août 2019

Un autre coup à donner...

Vendredi matin! Seize beaux degrés pour aller pédaler. L’humidité commence à céder sa place, mais la chaleur aussi. Pour trois nuits consécutives de retour au travail, je pourrai dire sans équivoque que ce ne fut pas les plus faciles. Encore cette nuit, nous fumes incommodés par les bruits du voisin d’en face. Puis ma Douce s’est levée pendant environ deux heures pour travailler sur son projet de fêter mes cinquante ans. Depuis un mois, je me suis rendu compte de certaines fuites, mais aussi d’une certaine «intimité» dans ses textos et autres messages via les réseaux sociaux. Je trouve qu’elle se donne beaucoup de mal. Surtout que je lui avais dit qu’on pouvait sauter une année. Notre situation financière ne nous permet pas de grands projets, et de voir un grand nombre de personnes en même temps ne me plaît pas tellement. La première raison à cela : je n’ai pas le temps de parler vraiment à quelqu’un. Ensuite, c’est épuisant. Mais revenons à cette dernière nuit, pendant la quelle j’ai dû me réveiller des dizaines de fois. La porte de la chambre où ma blonde est allée travailler battait au vent. À force de faire de petits sauts, je me suis levé pour aller la fermer comme il faut. Ensuite, notre vieux chien, j’ai nommé le teckel, ronflait et émettait d’étranges sons, auxquels je n’étais pas habitué. Mais une fois levé, je constate que je me sens pas si pire. À part mon genou et mes intestins, je me sens bien. Du côté de mon genou, pas vraiment de progression. Il ne fait pas plus mal, mais ne va pas mieux. Ça reste à voir. Pour le reste, j’ai hâte de manger un peu moins. Les vacances nous font manger différemment et souvent un peu moins santé. J’ai mal aux intestins et les matins sont plus durs côté régularité. Dans les points positifs de la semaine, je dois dire que l’arrivée en ligne des photos officielles du Cyclo-Défi m’ont vraiment rendu heureux! Et le fait que nous soyons vendredi m’aide à sourire. Pour une petite semaine de quatre jours, elle fut très demandante. Vivement un peu de repos. Mais je constate que ce repos ne fait jamais avancer toutes ces choses qu’il reste à faire comme finir de laver les vitres extérieures, repeindre la salle de bain d’en haut, monter dans l’entre-toît pour vérifier l’étanchéité avant l’arrivée du manteau blanc, etc. Mon neveu n’est même pas encore venu faire le scellant sur l’asphalte de notre entrée! Mais que serait notre vie si nous n’avions rien à faire? Alors on sourit et on se concentre sur ce qu’il y a de prioritaire. Bon vendredi!

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Faire en sorte que chaque jour soit une réussite!

Oui monsieur! 20 heures 30, encore dehors en train d'écrire, en écoutant la nouvelle toune de Luke Combs! Sous le gazebo, il fait si bon...