Comme un virus…

Autant il faisait beau la semaine dernière, autant c'est sombre et mouilleux cette semaine! Il fait trois degrés, tout est mouillé. Pas si grave, ça pourrait être bien pire! Comme legros et sa gang, qui continue de travailler contre nos intérêts. Construire un lourd de structurant électrique, abandonner l'essentiel pont manquant entre les deux rives, sans oublier toutes les sornettes qu'ils essaient de nous rentrer dans la gorge, jour après jour. J'en ai tellement plein mon cass de tout ça! Sans oublier le charmant, le crosseur socialiste à shoeclacs qui voyage à nos frais! Quel gland sans scrupule! Et au dessus de cette mèlée, siège le trou d'eau, véritable traître à la nation, une sorte de clown très dangereux, mais surtout, pas drôle du tout! Je n'ai jamais voté pour ces conneries, j'ai fait l'erreur de voter une fois pour legros, il y a cinq ans; mais le cancer était déjà pris dans la machine, et plus le temps passe, je me rends de plus de plus compte que je n'y peux rien, mais que je suis aussi prisonnier de ce merdier... Bon, de retour à la vie quotidienne, j'ai encore bien du travail à accomplir, des prix à réviser à la hausse, mais surtout du bonheur à cultiver, un jour à la fois! Je ne sais pas trop quoi penser, l'incertitude qui gagne encore un peu de terrain, comme un virus qui gagne du terrain, éliminant ses adversaires, un à un. Mes inspirations, la clarté du matin, la neige qui est presque toute fondue, et ma fiabilité personnelle. Alors je continue de me concentrer du mieux que je peux sur ce que j'ai à faire.