jeudi 27 avril 2023

Je me cherche un peu.

Il fait trois degrés, espérons que le soleil va se montrer le bout du nez! Je me sens un peu fatigué; la levée du corps fut plus dure que d'habitude. Je n'arrive pas à me l'expliquer. Oui je sais que je me donne beaucoup dans tout ce que je fais, que la vie est dure à gagner! Il me semble que ça déjà été plus facile! Je n'ai pas pris de bière hier soir, j'ai terminé de travailler à 17h30. Je n'ai pas souper trop tard, et je ne suis pas couché plus tard. D'accord la journée fut physique, comme celle de mardi, mais je m'entraîne pour ça! Je crois que mon corps me parle, qu'il me transmet ses impressions, son usure! Sinon, je m'ennuie de Bibi. Pourtant, elle n'est partie que lundi matin! Je travaille fort, je me cherche un peu, dans ma tête, avec toutes mes interrogations, mes inquiétudes, face à l'avenir. Il me semble que tout est à refaire, que lorsque je sors de la maison, les «safe places» sont devenues une denrée rare. Partout, je peux voir et ressentir l'atrocité du gouvernement, le manque de volonté de la ville! Ce n'est pas endurable! Il faut réussir à se soustraire de cette supercherie, cette plaie qui nous effrite peu à peu. Cela m'attriste beaucoup, et ça me siphonne de l'énergie, c'est pas croyable! Il ne semble pas y avoir apparence de changement, de la lumière au bout du tunnel... HIer après-midi, je suis allé travailler avec François et sa gang. Ça fait du bien d'envelopper un char! Tout reste à voir pour aujourd'hui. Les jobs s'accumulent, je commence à stresser un peu. À plus!

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Faire en sorte que chaque jour soit une réussite!

Oui monsieur! 20 heures 30, encore dehors en train d'écrire, en écoutant la nouvelle toune de Luke Combs! Sous le gazebo, il fait si bon...