mercredi 1 juin 2016

C'est long!

Je regarde autour de moi, les gens, la technologie, l'évolution. On dirait qu'ici, au Québec, il est interdit d'évoluer. Et puis, rien ne sert de s'énerver avec un nouveau produit, il faut qu'il soit approuvé par différents organismes, avoir de la documentation en français et avoir payer des taxes avant de pouvoir penser l'utiliser. Les villes débordent de règlements, tellement qu'il est facile de croire qu'ils en ont créé pour s'assurer de donner des amendes, et ainsi faire des gains. Et que dire de notre réseau routier. Se désagrègeant de plus en plus en plus, personne ne semble être capable d'en venir à bout. Par contre, les taxes municipales viendraient à bout de n'importe qui! Qu'est-ce qui motivera les gens au changement? Personne ne veut couper nulle part. À force d'être «logés et nourris», les syndiqués ne parlent plus de travail, ils parlent de retraite, d'avantages sociaux, de bénéfices marginaux. Ils parlent de leurs achats, de leurs projets. Mais leur fonction publique, qu'en est-elle? Au bord du gouffre, l'économie du Québec vacille, mais personne ne réagit, c'est chacun pour soi. Alors il faut préserver notre bonheur, évoluer de façon discrète. Il ne faut pas réveiller les gens qui gèrent ce système. Mais qu'en sera le prix à payer? Je ne le sais pas. Mais je crois que je dois garder mes idées très claires, demeurer l'esprit vif; des changements arriveront sous peu. Depuis l'âge de seize ans que je dis que ça va sauter. Ça fait trente ans!

Aucun commentaire:

Faire en sorte que chaque jour soit une réussite!

Oui monsieur! 20 heures 30, encore dehors en train d'écrire, en écoutant la nouvelle toune de Luke Combs! Sous le gazebo, il fait si bon...