vendredi 3 juin 2016

Ouf!

Chaque jour qu'il m'est donné d'aimer, je le vis à 100%. Mais des fois, je suis au dessus de ce pourcentage, même trop souvent. Je me retrouve sans énergie, perdu entre le monde réel et mes pensées qui s'entrechoquent l'une contre l'autre. Comme si, au sortir d'une journée très productive, autant physiquement que intellectuellement, je me retrouvais piègé, seul, avec une sorte de brouillard. Mais c'est dur à expliquer. Un brouillard physique. Comme si mon corps était très détendu, mais à la fois très nerveux. Je vois les choses à la dernière minute, j'ai parfois d'affreux réflexes, tellement trop explosifs que je me fais peur. Si je suis au volant et que ce phénomène survient, j'ai peur de mes réflexes, je réagis par des gestes trop amplifiés. C'est très dangereux. Je dois, dans ces moments-là, trouver une façon de relaxer, de me reposer. Comme aujourd'hui, je me crinque à l'euphorie du vendredi. Souvent, à la fin de la semaine, je suis vidé, mais heureux. Et c'est là que ça se produit. Des fois, je m'organise pour que la journée soit terminée plus rapidement. Parlant de journée qui doive se terminer un peu plus vite, je dois y aller si je veux finir un peu plus de bonne heure!

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Faire en sorte que chaque jour soit une réussite!

Oui monsieur! 20 heures 30, encore dehors en train d'écrire, en écoutant la nouvelle toune de Luke Combs! Sous le gazebo, il fait si bon...