Ça va vite!

La semaine a commencé en coup de canon avec des jobs en perspective, déjà des trucs qui s'accumulent et une préparation pour le Jack Fest. J'ai même réussi à gratter un peu de neige. Et la météo, glaciale depuis vendredi dernier, s'en va en se réchauffant pour nous amener encore de la neige et un peu d'autre chose. Bref, l'action ne manque pas! Les enfants recommencent l'école ce matin et ma douce part pour quatorze jours. Je n'ai qu'à suivre le courant, il va passer vite ce mois de janvier. N'empêche que ce sont des mois (janvier et février) durs pour le système. L'absence de luminosité, le froid, la neige, l'adaptation complète à cette variation climatique! Et, comme à chaque année, le printemps se pointera et tous, sans exception, se sentiront prêts à conquérir de nouveaux sommets! EN attendant, je suis préoccupé par la grisaille médiatique qui pollue notre quotidien. J'ai besoin d'entendre de nouvelles choses, de nouvelles idées; j'ai le sentiment qu'il se prépare des choses qui vont changer nos vies. Tout ça reste à voir, ou même à vivre. Je dois alimenter les gens du comité administratif, faire en sorte que la bonne humeur soit notre ligne à suivre. Que les tracas inhérents à nos entreprises deviennent une source de motivation pour arriver à faire prospérer notre quotidien. Car nous ne sommes pas des prospecteurs de subventions et nous sommes bien «groundés» à ce qui nous entoure. Aussi faudra-t-il encore mettre du temps pour arriver à nos fins. Et il y a l'impôt qui arrive, période fascinante où les gens oublient de dormir tellement ils ont peur de savoir combien cela va-t-il encore leur coûter de plus pour être citoyen du Québec! Pourtant, nous devrions être fier de payer de l'impôt... Je sais, j'ai l'air étrange, mais si nous payons de l'impôt, c'est que nous avons fait de l'argent. Par contre, la proportion que nous devons remettre, elle, dépasse l'entendement. Et c'est là que ça fait mal. On s'en reparle.