mercredi 1 mai 2019

À chacun ses choix.

Ouch! Voir les images du Venezuela, des gens qui se font «écrasés» par les autorités en char d’assaut... Continuez d’user de discours communiste, ça va vraiment pas bien dans les endroits où cet endoctrinement a le pouvoir. Même si vous cassez du sucre sur le dos de la religion qui a bâti notre société, servez-vous du gros bon sens dans vos affirmations! Essayez de nouvelles choses, mettez de côté la gestion de l’offre, le protectionisme et le trop plein de maternage gouvernemental! Soyez fiers de vos accomplissements, et non d’avoir conserver «vos acquis»... Prenez conscience que des batteries, ça gèle ici. Ayez comme objectif d’être les meilleurs, pas juste correct. Je me demande où on s’en va. Au rythme que les prix augmentent partout, serons-nous encore capable de suffire à la demande? Et puis, où peut-on trouver de la valorisation à payer les congés des autres quand on ne peut s’en payer pour nous-mêmes? J’écris depuis des années, me permettant de faire une réflexion sur ce que je pense. Parmi les gens que je côtoie, je n’en connais aucun qui écrit. Encore moins qui écrit tous les matins de semaine. Moi, ça me fait du bien. Au moins si je l’ai écrit, c’est comme si je l’avais déjà dit à quelqu’un. C’est plus facile d’avoir les idées claires, d’être plus concentré sur sa journée de travail. Et je me répète souvent, sans que personne ne me le reproche. C’est un peu de liberté dans une société chacun pour soi, où se cache des crosseurs, des opportunistes et des gens sans scrupules prêts à tout. Plus je réfléchis au fait que je vais retourner aux études en septembre, plus je me dis qu’éventuellement, je devrai travailler pour quelqu’un. Que je perdrai une certaine «liberté» dans ma vie. Mais cette vie, celle que j’ai choisie, coûte chère. Elle me coûte presqu’aussi cher que ce que je réussis à gagner. Perdu dans le délire des taxes, des impôts, des frais de livraison, et d’administration, j’arrive à peine à suivre la cadence. Après dix-neuf ans de travail autonome, je dois admettre qu’il n’y a rien de facile. Se botter le derrière pour continuer, penser continuellement aux sacrifices à faire pour le bien-être de ma famille, trouver des solutions d’impression qui conviennent à mon équipement, à ma façon d’installer, sont des facteurs qui deviennent très lourds par moment. Même si je suis capable de vivre seul, il m’arrive de m’ennuyer, de pleurer tellement la solitude me pèse. Et puis, des fois, je suis tellement fatigué, irrité que je n’ai plus le goût de parler à personne. Plus le goût de répondre au téléphone. Et c’est là que le vieux dicton «le temps finit par arranger les choses» entre en ligne de compte. J’ai hâte d’aller apprendre à coder, de savoir comment ça fonctionne! Et si ça m’ouvre des portes vers de nouveaux horizons, alors je choisirai.

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Faire en sorte que chaque jour soit une réussite!

Oui monsieur! 20 heures 30, encore dehors en train d'écrire, en écoutant la nouvelle toune de Luke Combs! Sous le gazebo, il fait si bon...