Misère!

Donc la réalité est que PKP est devenu membre du PQ? Misère, qu'allons-nous devenir? Dois-je arrêter d'être abonner à videotron? Je ne sais pas comment m'en sortir. De plus, les élections ne sont pas cet automne, mais dans un mois. Mon idée est déjà faite, mais je vais être obligé d'endurer tout ce cauchemar. ce salissage, ce cherchage de poux! En plus, combien ça va nous coûter, encore? Toutes les fois que ce scénario se présente, le party d'en haut est une dépense sans fin! On a beau essayer de comprendre, de donner notre avis, aller voter, rien n'y fait. Imaginez le parallèle que je viens de faire : PKP au PQ. PKP en dessous des affaires de l'amphithéâtre. Tout ça en symboise avec le Maîîttrrre! Ouin, ça sent le poisson pourri! Curieusement, cette analogie ne me rend pas heureux, mais plutôt inquiet. Une folie de plus! Tout, sous nos yeux, mais bien dissimuler derrière une «épluchage de scandales», comme la commission Charbonneau. Mais où s'en va-t-on? Aller encore en référendum? Redire à nouveau que nous ne voulons pas séparer le Québec? Et si ça arrivait? Que doit-on faire? Tabarnak, je ne veux pas ça! Je serais en conflit d'intérêts! Me ferais-je expulser du Québec? Je pense que ça serait une bonne chose. Mais devra-t-on surveiller nos allers et venus? Car un nom de commerce qui sonne anglophone ne sera pas le bienvenue. Et les juifs de Montréal? Et les peuple immigrants? Il y a anguille sous roche. Quelqu'un place son jeu et ça va nous pèter au visage! J'en ai bien peur. Il faut finir nos journées sans oublier de se respecter. Finir ses journées avec l'impression de se mériter! La vie est trop courte pour subir de tels affronts! Depuis déjà 26 ans que je vais voter, je n'ai jamais vraiment gagner mes élections au provincial, ni au fédéral! Au CEGEP, trop pris avec mes émotions pour comprendre les enjeux. À l'université, trop en situation d'urgence pour réaliser ce que je faisais avec mon vote. Et à mon retour dans la vie, pris au piège avec des gens qui ne vont pas voter, qui ne savent pas où se garocher pendant les élections! La majorité trouvant que c'est un mauvais moment à passer, comme la période des impôts! Au secours! Je vais continuer de réfléchir jusque'à demain. On verra.